S. Francesco di Sales – Œuvres de S. Francois de Sales – Tome 13 – Vol.3-Lettres

TABLE DES MATIÈRES

  • Lettre d’approbation de M°r Campistron, Evêque d’Annecy
  • Avant-Propos
  • Avis au Lecteur

ANNÉE 1605

  • LETTRE CCLXXI — À Mme de la Thuille. — Bénédiction temporelle et spirituelle souhaitée à une jeune épouse. — De qui faut-il l’obtenir et par quelle prière ?
  • CCLXXII — À la Baronne de Chantal. — Convalescence du Saint. — Il a besoin d’un secrétaire. — Les “petitz livretz” de la Baronne. — Salutations à tous ses amis en Notre-Seigneur. — Sympathie pour une malade opérée.
  • CCLXXIII — À la MÊME. — Lettres et porteurs. — La patience parfaite exclut l’inquiétude et l’empressement. — Avoir “les yeux fichés sur Celuy qui nous conduit.” — Ne pas trop considérer son mal. — Grand pouvoir devant Dieu que de pouvoir vouloir. — Penser à “la grande déréliction” du jardin des Olives. — Servir Dieu comme il veut : moyen de le bien servir. — La simplicité chrétienne dans l’accusation des péchés. — Quand il s’agit de vocation, communiquer avec son directeur et ouïr Notre-Seigneur en esprit d’indifférence. — Les tentations qui viennent de Dieu et celles qui n’en peuvent venir : conduite à tenir à l’égard de ces dernières. — “Le donjon imprenable.” — Mépriser les tentations, embrasser les tribulations.
  • CCLXXIV — À l’Abesse du Puits-d’Orbe. — Dieu console ses amis en même temps qu’il les afflige. — Les “livrees” de Notre-Seigneur et les bagues de ses épouses. — Marques d’intérêt et de sympathie. — Les véritables idées du Saint pour la réformation du monastère du Puits-d’Orbe. — Prendre les lumières d’un Religieux Visiteur.
  • CCLXXV — À la Présidente Brulart. — Projet d’entrevue ajourné. — L’obéissance et le martyre. — Donner du contentement aux siens, servir Dieu avec gaieté : deux choses très louables. — La volonté de Dieu doit nous servir d’étoile « en ceste navigation. » — Eviter la fréquentation des hérétiques; le négoce avec eux n’est pas défendu
  • CCLXXV — À la Présidente Brûlart. — Projet d’entrevue ajourné. — L’obéissance et le martyre. — Donner du contentement aux siens, servir Dieu avec gaieté : deux choses très louables. — La volonté de Dieu doit nous servir d’étoile « en ceste navigation. » — Éviter la fréquentation des hérétiques ; le négoce avec eux n’est pas défendu.
  • CCLXXVI — À la Baronne de Chantal. — Plus la croix est grande, moins elle pèse. — Pieux souhaits, ardentes aspirations à propos d’une « image devot » [dévote].
  • CCLXXVII — À la Présidente Brûlart. — Don du Saint pour pénétrer rapidement les consciences. — On ne se guérit pas en un jour des mauvaises habitudes. — Danger d’orgueil pour une âme, si d’esclave elle devenait soudainement maîtresse. — La patience avec soi-même. — La plus belle harangue des mendiants. — Les statues dans les palais. — L’amour-propre se fourre partout. — Où est « le blanc de la perfection. » — Il faut affaiblir peu à peu les répugnances intérieures et leurs manifestations extérieures. — Les désirs dont il convient de se défier. — Quels sont les désirs utiles et comment les régler. — Le moyen efficace de persuader la perfection aux autres.
  • CCLXXVIII — À l’Abesse du Puits-d’Orbe (Fragment inédit). — La tribulation : ses roses et ses épines. — L’infirmité du corps donne des ailes à l’âme. — Les délices surnaturelles de la souffrance.
  • CCLXXIX — À Mlle de Villers. — Dévotion de Mme de Boisy pour l’Hostie miraculeuse de la Sainte-Chapelle de Dijon. — Dispositions à prendre pour entretenir le Saint avec plus de commodité. — Invitation à venir au château de Sales
  • CCLXXX — À l’Abesse du Puits-d’Orbe. — Nouvelles rétrospectives de la maladie du Saint et de sa guérison. — Témoignages de compassion à une infirme. — Pensées consolantes sur les souffrances. — La tribulation, « l’école de l’humilité », nous fait voir le fond de « notre néantise ». — Ne pas se troubler dans les tentations. — La paix de l’âme ; ses deux ennemis : l’amour-propre et l’estime de nous-mêmes. — Trois avis pour avoir la paix. — « En tout, vivre paisiblement. » — L’humilité : description de cette vertu ; conseils pour la pratiquer. — « Il est mieux d’être sur la croix avec Notre-Seigneur que de la regarder seulement. » — L’obéissance aux médecins. — Les Sœurs doivent avoir tout en commun. — À l’égard des offenses, le Saint n’est « nullement tendre et douillet. » — Quelles sont les âmes qu’il faut aider.
  • CCLXXXI — À M. de Crépy. — Paroles de courtoisie. — Dévouement du Saint à l’entreprise de l’Abesse du Puits-d’Orbe. — La santé du corps et les consolations de l’âme. — Jeanne de Sales proposée comme pensionnaire à l’abbaye.
  • CCLXXXII — À la Présidente Brûlart. — Ouvrir son âme à tout venant, vivre dans la contrainte : deux excès ; il faut garder une honnête liberté. — Éloge d’un confesseur. — Exhortation à soumettre en tout sa volonté à celle de Dieu. — Solidité éternelle des amitiés fondées sur l’amour de Jésus-Christ.
    CCLXXXIII — À la Baronne de Chantal. — Le voyage de la Baronne en Savoie, décidé. — Moyens de rendre l’entrevue fructueuse : l’examen de son âme, la prière, la confiance en Dieu et au Saint. — Le mieux, c’est d’apporter l’indifférence de la volonté propre. — Dans quelles âmes Dieu se plaît d’agir. — Le congé du confesseur. — Informations discrètes demandées sur le monastère du Puits-d’Orbe dans l’intérêt de sa jeune sœur. — Souhaits de bon voyage. — Itinéraire à suivre de Saint-Claude à Thorens. — Une cérémonie religieuse l’oblige à changer la date fixée pour l’arrivée de la Baronne.
  • CCLXXXIV — À M. d’Albigny. — Plusieurs paroisses sont dépourvues de pasteurs ou n’ont que des vicaires. — Inconvénients de cette privation. — Obligation urgente pour les Chevaliers de Saint-Maurice de fournir « les portions congrues » aux curés. — Montrer de la bienveillance à quelques personnes qui veulent se convertir. — Le collège d’Annecy aurait grand besoin des Pères Jésuites.
  • CCLXXXV — À la Baronne de Chantal (Inédite). — Envoi d’un guide. — Souhaits de bienvenue. — Une consécration de vierges à Notre-Seigneur et la consécration mystique d’une veuve.
  • CCLXXXVI — À la même. — À propos d’une image représentant sainte Anne, la Vierge Marie et Jésus enfant. — Explication de leurs attitudes. — Naïves applications. — Pieux souhaits.
  • CCLXXXVII — À l’Abbé d’Abondance (Inédite). — À qui revient la bénédiction des cloches ; délégation générale et pouvoir de déléguer par l’Abbé d’Abondance, en des cas semblables. — Actions de grâces pour l’avènement du Pape Paul V. — La défaite d’un ministre dans une conférence publique.
  • CCLXXXVIII — À la Baronne de Chantal. — Grâce inestimable pour une âme que Dieu a faite toute sienne : en garder la souvenance par la célébration du jour anniversaire. — Les amitiés que la mort ne peut dissoudre. — Ne pas regarder à qui, mais pour qui on obéit.
  • CCLXXXIX — À la Présidente Brûlart. — Mettre un cœur vaillant à faire ce que Dieu veut. — Ne pas regarder à la substance de nos actions ; les plus chétives deviennent honorables si Dieu les ordonne. — N’aimer rien trop. — Le propre des roses et des lis. — Soyons ce que Dieu veut et non ce que nous voulons, contre son gré.
  • CCXC — À l’Abesse du Puits-d’Orbe (Inédite). — La vraie simplicité dans l’accusation des péchés, très agréable à Dieu. — En se confiant à un confesseur, éviter de paraître mépriser les autres. — Se défier des divagations de l’esprit. — Prière « de bien humilier » Jeanne de Sales.
  • CCXCI — À Mme de Limojon (Inédite). — Retrancher de notre vie les superfluités mondaines. — Ce n’est pas l’œuvre d’un jour que de se conquérir soi-même ; raisons de l’entreprendre avec courage. — La principale leçon de Notre-Seigneur. — Ayons une piété qui plaise à Dieu et aux hommes. — Le Saint désire qu’on lui écrive naïvement, sans cérémonie. — Pressante exhortation finale de se donner à Dieu.
  • CCXCII — À l’Abesse du Puits-d’Orbe (Inédite). — L’Abesse s’étant offensée que le Saint eût voulu payer la pension de sa sœur, celui-ci se défend. — Il la presse vivement de renoncer au dessein de quitter l’abbaye et l’encourage à continuer la réforme. — Indications pour la récitation des Heures, conformes aux prescriptions de sainte Thérèse. — Permission de chanter des cantiques pendant la récréation.
  • CCXCIII — À M. de Crépy. — La réforme du Puits-d’Orbe. — Le Saint se défend de « vouloir surnager » au conseil des autres. — Services que peuvent rendre à l’Abesse M. Viardot et M. Néron. — Affection du Saint pour M. de Crépy et pour le Monastère.
  • CCXCIV — À la Baronne de Chantal (Fragment inédit). — Annonce d’une lettre prochaine. — Invitation à écrire. — Souhaits de dévotion.
  • CCXCV — À M. d’Albigny. — Détresse de plusieurs paroisses ; prière de doter les obstacles qui les empêchent d’être pourvues de pasteurs.
  • CCXCVI — À M. d’Avully (Inédite). — Sollicitation de la fin d’un paiement.
  • CCXCVII — À la Baronne de Chantal. — Quelle sera l’attitude de la Baronne devant le meurtrier de son mari ; l’émotion inévitable doit être suivie d’un regard au ciel et d’une résignation amoureuse. — Exhortation aux basses mais excellentes vertus.
  • CCXCVIII — À S. S. Paul V. — Nombreuses raisons pour le Saint de se réjouir de l’avènement de Paul V. — Sa joie de voir élevé au Pontificat un Cardinal dont il avait éprouvé déjà la bienveillance. — Le diocèse de Genève a un droit particulier à sa sollicitude paternelle ; acclamations joyeuses de son Évêque.
  • CCXCIX — À M. de Revol (Fragment inédit). — Conversions de bourgeois de Genève, presque tous jeunes gens.
  • CCC — À la Baronne de Chantal. — Petit commentaire sur sainte Madeleine et Jésus-Christ ressuscité. — « Il faut avoir un cœur d’homme. » — Là-haut, plus de barrière. — Désir de graver le nom de Notre-Seigneur dans le cœur de la Baronne. — « Les hostelz » des princes à Paris et leur nom gravé sur le frontispice. — Encouragements joyeux.
  • CCCI — À M. de Bérulle (Fragment).
  • CCCII — À M. d’Albigny. — Zèle ardent du P. Sébastien. — Désir de régler la question de l’entretien des églises. — Insistances nouvelles en faveur des paroisses en détresse.
  • CCCIII — À l’Abesse du Puits-d’Orbe. — Désir d’avoir des nouvelles ; nécessité d’un sage directeur pour conduire les Religieuses. — Travailler doucement, mais soigneusement à tenir la clôture. — Encouragements et conseils.
  • CCCIV — À la Baronne de Chantal. — Il y a moins à craindre pour une âme que la Vierge « a prise à soy. » — Il suffit d’être auprès de Jésus. — Tout va bien si le cœur est en bon état. — La veuve et sa petite chandelle à la suite du Saint-Sacrement. — Ne pas s’étonner de ses faiblesses. — Se contenter des lumières qu’on a. — Simplicité et prudence avisée dans la fréquentation des hérétiques. — Le Saint dit un mot des honneurs qu’on lui propose ; ses sentiments à cet égard. — Il ne veut que le titre de Père.
  • CCCV — À la Présidente Brûlart. — Nul repos qu’en Dieu. — Désir d’avoir des nouvelles de l’Abesse du Puits-d’Orbe ; légère inquiétude à son sujet. — Messages d’amitié pour diverses personnes.
  • CCCVI — À la Baronne de Chantal. — Ne pas trop appréhender les tentations. — « Le frifillis des feuilles. » — Les abeilles et les tentations. — Établissement de trente-trois paroisses. — Vivre joyeuse, être généreuse. — La joie viendra après les larmes ; sinon, servons Dieu quand même.
  • CCCVII — À Mme de Limojon. — Exhortation à poursuivre la vraie dévotion. — Dieu « est bon à tous et en tous temps. » — Aspirer perpétuellement à lui.
  • CCCVIII — À la Baronne de Chantal. — Préparer dans notre cœur une place à la « sainte Pouponne. » — Ne pas craindre si Dieu nous abandonne, nous laisse et lutte avec nous. — Roses, lis et violettes. — Les trois petites vertus aimées du Saint.
  • CCCIX — A L’ABBESSE DU PUITS-D’ORBE. — Les douceurs de la clôture. — Témoignages de dévouement. — Le monastère du Saint et ses murailles. — Remplacer les Heures par de brèves aspirations. — Les marques de l’amour de Dieu.
  • CCCX — Aux RELIGIEUSES DE L’ABBAYE DU PUITS-D’ORBE. — Belles espérances que le Saint a conçues de la réforme; joie de la voir appliquée. — Souhaits de persévérance. — Tableau consolant d’une « Religion réformée. » — « Le panier des figues douces. » — Fruits d’une réforme pour le présent et pour l’avenir. — Offre de services spirituels. — Ne pas regarder en arrière, aimer ses vœux, conserver la douceur, pratiquer l’obéissance.
  • CCCXI — A LA BARONNE DE CHANTAL. — Ne pas craindre d’être importune en exposant ses peines intérieures. — Dieu parle de préférence « parmi les déserts et halliers. » — Les abeilles au repos. — Souvenir donné à la fête du jour : l’Exaltation de la Sainte Croix.
  • CCCXII — A M. D’AVULLY. — M. d’Avully désire entrer à Sainte-Claire. — Ne pas apporter de délai à son désir afin d’éviter un plus grand dommage. — Dieu bénira cet acquiescement; il réclame cette preuve d’amour. — Quels sont ceux qui ont le plus de moyens de servir Dieu?
  • CCCXIII — A UNE RELIGIEUSE. — Avec le désir de le servir, Dieu en donne les moyens. — Ce qui convertit nos fautes en roses et parfums. — Bonheur d’être seul à seul avec Dieu. — Les aspirations amoureuses. — S’animer d’un grand courage.
  • CCCXIV — Au PÈRE POSSEVIN (Inédite). — Désir de se rappeler au souvenir du P. Possevin. — Retour sur les obligeances qu’il lui a témoignées dans le passé. — Détails consolants sur son ministère. — Son amitié pour le P. Jean Fourier. — Il s’honore d’avoir été fils spirituel du Jésuite italien.
  • CCCXV — A MME DE RYE (Inédite). — Respect dû à la parole de Dieu. — L’esprit de joie et de suavité : « le vrai esprit de dévotion. » — Moyens de guérir les mélancolies spirituelles.
  • CCCXVI — A LA BARONNE DE CHANTAL. — Amour du Saint pour les afflictions. — Il refuse de s’expliquer sur l’idée que la Baronne avait eue de quitter le monde. — Avec Dieu, il fait bon où que ce soit. — Ce qu’il n’est pas besoin de dire en confession.
  • CCCXVII — A M. DE CHEVRON. — Lettre d’affaires. — Les frères Rolland. — L’Abbesse de Sainte-Catherine ne se range pas à l’avis du Saint à propos de sa parente.
  • CCCXVIII — A M. DE BRÉTIGNY. — Plaisir du Saint d’apprendre les progrès de l’Ordre du Carmel en France. — Désir de connaître les particularités de son établissement. — Éloge d’une fille spirituelle, nièce de M. de Brétigny.
  • CCCXIX — A L’ABBESSE DU PUITS-D’ORBE. — Le service de Dieu « agissant » et « patissant. » — Les petits ennuis.
  • CCCXX — A LA BARONNE DE CHANTAL. — Décision sur une question d’argent. — Une mère de famille doit servir avec prudence les malades contagieux. — Éloge de M. de Chantal. — Jésus, l’Époux éternel, désire qu’on imite sa douceur. — Circonstances où la déférence aux volontés des parents ne convient pas. — Les mouches et les distractions dans l’oraison. — Les Carmélites à Dijon. — Semer au champ de notre voisin, pendant que le nôtre en a besoin, avoir son cœur en un lieu et son devoir en l’autre : chose dangereuse. — Malice et subtilité de Satan. — Avis pour le temps du Carême. — Impressions de tournée pastorale. — Retour à Annecy.
  • CCCXXI — A LA MÊME. — Le remède préféré du Saint. — Les « alcyons » de la mer et leurs nids. — Tenir notre cœur bien calfeutré et ne lui donner aucune ouverture que du côté du Ciel.
  • CCCXXII — Aux CHANOINES DE LA COLLÉGIALE DE SAINT-JEAN-BAPTISTE DE LA ROCHE (Inédite). — S’intéresser à l’établissement du collège; le bien de la ville, la gloire de Dieu et de l’Église en font un devoir.
  • CCCXXIII — A M. DE SILLIGNIEU (Inédite). — Paroles et compliments d’amitié au fils; sentiments de respect pour la mère. — Recommandation de la famille au « cher Sauveur » de Noël.
  • CCCXXIV — A M. D’ALBIGNY (Inédite). — Différend du Prieur de Bellevaux avec un seigneur. — Prière de s’intéresser au sort d’une pauvre femme digne de compassion. — Souhaits de Noël.
  • CCCXXV — A LA BARONNE DE CHANTAL. — Désir du Saint de progresser dans l’amour divin. — Aspirations. — Bethléem; la « sainte Abbesse » et le « petit Enfançon. » — Lui dérober « les premières rosées de ses larmes »; leur divine efficacité. — Ne pas se charger d’austérités pendant le Carême.

ANNÉE 1606

  • CCCXXVI — A M. DES OCHES. — Les jeunes filles peuvent chanter à l’église « des Noelz et chansons spirituelles » sans enfreindre le précepte de l’Apôtre saint Paul.
  • CCCXXVII — A M. D’ALBIGNY (Inédite). — Zèle du P. Maurice pour la conversion des hérétiques.
  • CCCXXVIII — A LA BARONNE DE CHANTAL. — L’esprit de la sainte indifférence, bon à tout. — Le Bienheureux va faire une petite retraite auprès du P. Fourier. — Son amour des âmes; l’affection de son peuple pour lui. — Retrancher les superfluités dans les communications spirituelles. — Charlotte de Chantal et Jeanne de Sales. — Quand on a renoncé une fois au monde, savoir écarter ses sollicitations importunes. — Attachement indissoluble du Saint pour sa « pauvre femme, » l’Eglise de Genève. — Ne pas aspirer à un état de vie au-dessus de nos forces.
  • CCCXXIX — A LA MÊME. — Le Carême, automne de la vie spirituelle; moyen d’en recueillir les fruits. — La parure permise aux veuves. — Les âmes sont la vigne de Dieu. — Application détaillée de la figure évangélique à une âme chrétienne. — Le pressoir de l’Eglise.
    CCCXXX — A LA MÊME. — La nuit, mille bonnes pensées s’offrent au Saint pour la prédication. — Souhaits de perfection. — La considération des plaies de Notre-Seigneur. — Vanité et bassesse d’un coeur « qui niche sur un autre arbre que sur celuy de la Croix. » — « Rien du monde n’est digne de nostre amour. » — Résolutions et aspirations du Bienheureux pour une vie plus fervente.
  • CCCXXXI — A LA PRÉSIDENTE BRULART. — Une langueur qui pique l’âme au lieu de l’assoupir. — Ce qui est défendu, ce qui est permis les jours de Communion. — Si la perfection consiste à ne voir point le monde. — Les jugements bons ou mauvais des hommes; le cas qu’il en faut faire. — Le monde est un charlatan. — Susceptibilité injustifiée d’une destinataire.
  • CCCXXXII — A LA BARONNE DE CHANTAL. — Conduite à tenir dans les tentations contre la foi; la meilleure tactique, c’est de les mépriser. — Dieu est le protecteur de la viduité chrétienne.
  • CCCXXXIII — A MLLE ACARIE (Fragment inédit). — Estime du Saint pour les Supérieurs du Carmel, et en particulier pour M. de Bérulle.
  • CCCXXXIV — A MM O DE LA FAVERGE (Inédite). — Le Bienheureux s’intéresse à l’avenir d’un jeune gentilhomme, et promet à sa mère de faire des démarches pour lui.
  • CCCXXXV — A M. DE LA THUILLE, SON FRÈRE (Inédite). — Les places de page en Savoie au XVIIe siècle; le Saint s’entremet pour en procurer une. — Mauvaise santé de l’un de ses frères.
  • CCCXXXVI — A MSR FLÉARD. — Le Saint, à la fin de son Carême, avertit de son départ l’Evêque du diocèse et se loue d’avoir prêché à son peuple.
  • CCCXXXVII — A M. DE CRÉPY. — Témoignages d’amitié. — Les Carmélites de Dijon et la bonne odeur qui émane de leur cloître. — Considération du Saint pour leurs Supérieurs. — Retour à Annecy.
  • CCCXXXVIII — A LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — La clôture de l’abbaye du Puits-d’Orbe et ceux qui devraient la respecter. — « Le mal des maux, » pour les âmes « qui ont des bonnes volontés. » — Prendre modèle sur les abeilles : faire le miel « dedans sa ruche et des fleurs qui luy sont autour, » et ne pas désirer une perfection qui nous dépasse.
  • CCCXXXIX — A LA BARONNE DE CHANTAL. — Remède aux tentations contre la foi. — La méthode de servir Dieu et le combat spirituel. — Aux âmes qui débutent dans l’oraison, « il est expedient de se servir de toutes » leurs « pièces, et de l’imagination encore. » — Dans les choses conseillées, le Saint ne veut pas qu’on prenne ses paroles en toute rigueur.
  • CCCXL — A M. DE CRÉPY. — Prière d’assister l’Abbesse dans son entreprise de réforme. — Ici-bas, il n’est point de prix proposé à la dévotion. — Recommandation en faveur d’un Religieux appelé à défendre ses droits.
  • CCCXLI — A LA PRÉSIDENTE BRÛLART (Inédite). — Encore la clôture du Puits-d’Orbe. — Pour le nombre des Communions, s’en remettre au confesseur ordinaire. — Se voir sans faillir, n’est possible qu’en Paradis. — Pourquoi il faut tout à la fois haïr et aimer nos imperfections.
  • CCCXLII — A M. D’ALBIGNY (Inédite). — Démarche des habitants de La Roche pour obtenir l’établissement d’un collège. — Intérêt que porte le Saint à cette affaire.
  • CCCXLIII — A U PRIEUR ET AUX RELIGIEUX DU MONASTÈRE DE SIXT (Inédite). — L’Abbé de Sixt en procès avec le Saint. — Celui-ci demande aux Religieux qu’ils attestent s’être soumis à ses ordonnances.
  • CCCXLIV — A LA DUCHESSE DE MERCOEUR. — Le Saint intercède pour un gentilhomme débiteur de la duchesse de Mercoeur. — Il s’excuse lui-même de son retard à payer une créance.
  • CCCXLV — AU PRIEUR ET AUX RELIGIEUX DU MONASTÈRE DE SIXT (Inédite). — Le Saint remercie les Religieux de Sixt de lui avoir envoyé une pièce favorable à son procès contre l’Abbé du Monastère.
  • CCCXLVI — A UNE DAME INCONNUE. — Vivre en esprit de douceur et d’humilité. — Conseil de suivre les avis d’un Religieux.
  • CCCXLVII — A LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — Les plus pures affections sujettes à la rouille. — Les vignes et les amitiés spirituelles: les unes et les autres ont besoin d’être émondées. — Le chemin de dévotion le plus assuré
  • CCCXLVIII — Au Duc DE SAVOIE. — Les Chevaliers des Saints Maurice et Lazare ne tiennent pas leurs promesses. — Le Bienheureux recourt à l’intervention de Charles-Emmanuel pour obtenir justice, en faveur de plusieurs églises sans pasteurs.
  • CCCXLIX — A U CONSEIL DES CHEVALIERS DES SAINTS MAURICE ET LAZARE. — Plainte du Saint aux Chevaliers pour leur retard à doter les églises, ainsi qu’ils y sont tenus.
  • CCCL — A MRAE DE CHARMOISY. — Le Saint s’excuse d’une méprise. — Affaire d’intérêt. — Se confier à la providence de Dieu, « non de bouche seulement, » pratique très fructueuse. — Exhortation à la ferveur.
  • CCCLI — A LA BARONNE DE CHANTAL. — Projet d’une deuxième entrevue avec la Baronne. — Il faut s’attacher à la gloire de Dieu et non à ses créatures. — Docilité du Saint aux avis qu’on lui donne pour sa santé. — Quel usage doit-on faire de l’imagination et de l’entendement dans l’oraison. — S’abstenir des longues oraisons, des imaginations violentes et des considérations prolongées. — Les travaux des mains. — N’avoir d’autre loi ni contrainte que l’amour. — La « sarge » violette de la Baronne. — Pensées qui occupaient le Saint tandis qu’il portait le Saint-Sacrement à la Fête-Dieu. — La quenouille et le fuseau des âmes dévotes et des saintes ménagères. — Les gros et les petits fuseaux. — Intérêt affectueux de l’Evêque pour la famille de Mrae de Chantal.
  • CCCLII — A LA MÊME. — Départ du Saint pour la visite des paroisses ; ses impressions. — Les mille bonnes odeurs qui parfument nos afflictions. — Tenir son cœur bien large, vivre joyeux.
  • CCCLIII — A LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — Conseils variés à une personne du monde : servir Dieu par les exercices de sa vocation et par l’accomplissement des devoirs d’état. — La patience avec soi-même; la modération des désirs.
  • CCCLIV — A M. D’ALBIGNY (Inédite). — Demande d’un passeport pour un Chablaisien.
  • CCCLV — A M. DU TELLIER (Inédite). — Affaires à régler entre la duchesse de Mercoeur et la famille de Sales.
  • CCCLVI — A M. PERGOD (Inédite). — Saint François de Sales conseille les « appointements. »
  • CCCLVII — A M. DE LAMBERT. — Le Saint sollicite une grâce pour un gentilhomme.
  • CCCLVIII — A LA BARONNE DE CHANTAL. — Les « mons espouvantables » de Chamonix. — Mort tragique d’un berger. — Réflexions de l’Evêque à ce propos ; son humilité. — Une sainte villageoise, l’une des « grandes amies » du Saint. — Dans l’aridité spirituelle, regarder simplement Notre-Seigneur. — Il faut être à Dieu sans réserve ni division.
  • CCCLIX — A LA MÊME. — Le fuseau de la femme forte. — Profit qu’on doit tirer des impuissances d’esprit. — Ce que nous pouvons désirer de meilleur. — Un tableau de la Nativité. — La Transfiguration, le Calvaire et Notre-Dame. — L’humilité et l’abjection, choses différentes ; les meilleures abjections. — Cultivons notre champ, au lieu d’envoyer « nos boeufz avec la charrue » au champ du voisin. — Ne pas trop « s’amuser » au projet d’entrer en Religion ; conduite à tenir en attendant une décision. — L’éducation des filles dans les monastères, d’après les idées du Saint ; les enfants de la Baronne, Marie-Aimée, Celse-Bénigne. — Ne pas trop considérer son mal. — Mépriser les tentations ; Jésus-Christ crucifié, thème de contemplation. — Saint Pierre sur les eaux ; la peur et le mal. — Dans la tourmente, serrer la main du Sauveur.
  • CCCLX — A LA MÊME. — Il faut faire tout valoir à la ville et à la campagne. — Le Saint propose en exemple la vie d’une vertueuse chrétienne de La Roche. — Exhortation à la poursuite de la sainteté.
  • CCCLXI — A LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — La sainte Communion nullement incompatible avec l’état du mariage. — Comment nous devons juger les actions et ce qui leur donne du prix. — Le moyen de n’être jamais bien saint. — Les emplois dans la maison d’un prince et en la maison de Dieu. — Humilité du Bienheureux. — Règles pour l’aumône. — À quelles conditions les confessions annuelles sont utiles. — Jeanne de Sales et « la vie des chams. » — La vertu des femmes mariées, « celle seule que saint Paul indique. »
  • CCCLXII — Au CHEVALIER DE LOCHE. — Renseignements fournis sur un jeune gentilhomme, en vue d’un mariage.
  • CCCLXIII — Au Duc DE SAVOIE. — Pauvreté du prieuré de Bellevaux attestée par le Saint.
  • CCCLXIV — A L’EMPEREUR D’ALLEMAGNE (Fragment inédit). — Accusé de réception d’une lettre de Sa Majesté. — Souhaits de bénédictions.
  • CCCLXV — A LA BARONNE DE CHANTAL. — Les labeurs de la visite et l’ardeur du saint Evêque; l’accueil qu’il reçoit dans le Faucigny. — Les illuminations d’une petite ville. — Comment « divertir » ses yeux « des curiosités de la terre. »
  • CCCLXV — A LA BARONNE DE CHANTAL. — Le Faucigny. — Les illuminations d’une petite ville. — Comment « divertir » ses yeux « des curiosités de la terre. »
  • CCCLXVI — A LA MÊME. — Au retour de la visite, le Saint revoyant son âme en a compassion ; il veut profiter des loisirs de l’hiver suivant pour se remettre dans la ferveur. — Les chevreuils et chamois des Alpes. — Histoire d’un berger à la recherche d’une vache. — Applications à un pasteur d’âmes.
  • CCCLXVII — A LA PRÉSIDENTE BRULART. — Pour bien implanter la réforme, il faut commencer par de petites règles. — Un père et un mari jaloux de leur autorité ; leur ingérence importune ; condescendre pourtant à leurs volontés. — Marque pour éprouver la solidité de notre dévotion : quelquefois il faut laisser Notre-Seigneur. — Ne pas rendre notre piété fâcheuse à notre entourage. — Que doit faire une âme chrétienne soumise, à l’égard de la sainte Communion, à deux autorités divergentes ? — Détachement de saint Jean-Baptiste. — Une femme du monde qui « est arrivée bien haut. » — Lire sans scrupule la traduction des Psaumes de des Portes. — Un traité d’Alcantara. — Espoir d’aller au Puits-d’Orbe.
  • CCCLXVIII — A M. DU CHATELARD. — Le Saint ne pourvoit aux cures que par la voie du concours.
  • CCCLXIX — A S. S. PAUL V. — Le Saint s’excuse auprès de Sa Sainteté de déléguer son frère pour sa visite ad limina. — Il lui envoie un état de son diocèse et lui en résume les grandes lignes.
  • CCCLXX — Au PÈRE ANCINA (Inédite). — Recommandation en faveur de Jean-François de Sales. — Le Saint et ses amis de l’Oratoire de Rome.
  • CCCLXXI — A LA BARONNE DE CHANTAL. — Nouvelles du Jubilé ; part que le Saint y a prise. — Sa tranquillité parmi un monde d’affaires. — Amour que lui témoigne son peuple.
  • CCCLXXII — Au CARDINAL BARONIUS. — Le Saint recommande son frère Jean-François à la bienveillance de Baronius. — L’hérésie de Genève, source d’angoisses pour l’Evêque ; il a besoin d’être soutenu auprès du Saint-Siège. — Le glorieux auteur des Annales a l’autorité nécessaire pour lui prêter cette assistance.
  • CCCLXXIII — A UN CARDINAL (Minute inédite). — François de Sales rappelle au Cardinal l’aimable accueil qu’il en reçut jadis. — Titres particuliers de son diocèse à la bienveillante protection du Souverain Pontife. — Difficultés que lui crée l’hérésie ; pour les surmonter, il a besoin de recevoir du Saint-Siège aide et secours.
  • CCCLXXIV — A UNE RELIGIEUSE. — Exhortation à bénir Dieu pour une grâce reçue. — Le grand point de l’humilité pour une Religieuse. — Les humilités les plus fines. — Le parler hautain, intempéré et la bienséance religieuse.
  • CCCLXXV — A U PRÉSIDENT FAVRE (Inédite). — Conseils affectueux du Saint à son ami. — Les dévotions du Jubilé.
  • CCCLXXVI — A MILE CLÉMENT. — Le désir du cloître doit être sans inquiétude. — Une croix très sainte. — Jamais le Sauveur « ne manque aux âmes qui aspirent en lui. » — Envoi du Saint.
  • CCCLXXVII — A L’EMPEREUR D’ALLEMAGNE (Inédite). — Accusé de réception d’une lettre qui invitait le Saint à la diète de Ratisbonne.
  • CCCXXXVIII — À LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — La clôture de l’abbaye du Puits-d’Orbe et ceux qui devraient la respecter. — « Le mal des maux », pour les âmes « qui ont des bonnes volontés ». — Prendre modèle sur les abeilles : faire le miel « dedans sa ruche et des fleurs qui luy sont autour », et ne pas désirer une perfection qui nous dépasse.

  • CCCXXXIX — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Remède aux tentations contre la foi. — La méthode de servir Dieu et le combat spirituel. — Aux âmes qui débutent dans l’oraison, « il est expédient de se servir de toutes » leurs « pièces, et de l’imagination encore ». — Dans les choses conseillées, le Saint ne veut pas qu’on prenne ses paroles en toute rigueur.

  • CCCXL — À M. DE CRÉPY. — Prière d’assister l’abbesse dans son entreprise de réforme. — Ici-bas, il n’est point de prix proposé à la dévotion. — Recommandation en faveur d’un religieux appelé à défendre ses droits.

  • CCCXLI — À LA PRÉSIDENTE BRÛLART (inédite). — Encore la clôture du Puits-d’Orbe. — Pour le nombre des communions, s’en remettre au confesseur ordinaire. — Se voir sans faillir n’est possible qu’au paradis. — Pourquoi il faut tout à la fois haïr et aimer nos imperfections.

  • CCCXLII — À M. D’ALBIGNY (inédite). — Démarche des habitants de La Roche pour obtenir l’établissement d’un collège. — Intérêt que porte le Saint à cette affaire.

  • CCCXLIII — AU PRIEUR ET AUX RELIGIEUX DU MONASTÈRE DE SIXT (inédite). — L’abbé de Sixt en procès avec le Saint. — Celui-ci demande aux religieux qu’ils attestent s’être soumis à ses ordonnances.

  • CCCXLIV — À LA DUCHESSE DE MERCOEUR. — Le Saint intercède pour un gentilhomme débiteur de la duchesse de Mercoeur. — Il s’excuse lui-même de son retard à payer une créance.

  • CCCXLV — AU PRIEUR ET AUX RELIGIEUX DU MONASTÈRE DE SIXT (inédite). — Le Saint remercie les religieux de Sixt de lui avoir envoyé une pièce favorable à son procès contre l’abbé du monastère.

  • CCCXLVI — À UNE DAME INCONNUE. — Vivre en esprit de douceur et d’humilité. — Conseil de suivre les avis d’un religieux.

  • CCCXLVII — À LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — Les plus pures

  • CCCXLVIII — Au DUC DE SAVOIE. — Les Chevaliers des Saints Maurice et Lazare ne tiennent pas leurs promesses. — Le Bienheureux recourt à l’intervention de Charles-Emmanuel pour obtenir justice, en faveur de plusieurs églises sans pasteurs.

  • CCCXLIX — AU CONSEIL DES CHEVALIERS DES SAINTS MAURICE ET LAZARE. — Plainte du Saint aux Chevaliers pour leur retard à doter les églises, ainsi qu’ils y sont tenus.

  • CCCL — À MADAME DE CHARMOISY. — Le Saint s’excuse d’une méprise. — Affaire d’intérêt. — Se confier à la providence de Dieu, « non de bouche seulement », pratique très fructueuse. — Exhortation à la ferveur.

  • CCCLI — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Projet d’une deuxième entrevue avec la Baronne. — Il faut s’attacher à la gloire de Dieu et non à ses créatures. — Docilité du Saint aux avis qu’on lui donne pour sa santé. — Quel usage doit-on faire de l’imagination et de l’entendement dans l’oraison. — S’abstenir des longues oraisons, des imaginations violentes et des considérations prolongées. — Les travaux des mains. — N’avoir d’autre loi ni contrainte que l’amour. — La « sarge » violette de la Baronne. — Pensées qui occupaient le Saint tandis qu’il portait le Saint-Sacrement à la Fête-Dieu. — La quenouille et le fuseau des âmes dévotes et des saintes ménagères. — Les gros et les petits fuseaux. — Intérêt affectueux de l’Évêque pour la famille de Madame de Chantal.

  • CCCLII — À LA MÊME. — Départ du Saint pour la visite des paroisses ; ses impressions. — Les mille bonnes odeurs qui parfument nos afflictions. — Tenir son cœur bien large, vivre joyeuse.

  • CCCLIII — À LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — Conseils variés à une personne du monde : servir Dieu par les exercices de sa vocation et par l’accomplissement des devoirs d’état. — La patience avec soi-même ; la modération des désirs.

  • CCCLIV — À M. D’ALBIGNY (inédite). — Demande d’un passeport pour un Chablaisien.

  • CCCLV — À M. DU TELLIER (inédite). — Affaires à régler entre la duchesse de Mercoeur et la famille de Sales.

  • CCCLVI — À M. PERGOD (inédite). — Saint François de Sales conseille les « appointements ».

  • CCCLVII — À M. DE LAMBERT. — Le Saint sollicite une grâce pour un gentilhomme.

  • CCCLVIII — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Les « monts espouvantables » de Chamonix. — Mort tragique d’un berger. — Réflexions de l’Évêque à ce propos ; son humilité. — Une sainte villageoise, l’une des « grandes amies » du Saint. — Dans l’aridité spirituelle, regarder simplement Notre-Seigneur. — Il faut être à Dieu sans réserve ni division.

  • CCCLIX — À LA MÊME. — Le fuseau de la femme forte. — Profit qu’on doit tirer des impuissances d’esprit. — Ce que nous pouvons désirer de meilleur. — Un tableau de la Nativité. — La Transfiguration, le Calvaire et Notre-Dame. — L’humilité et l’abjection, choses différentes ; les meilleures abjections. — Cultivons notre champ, au lieu d’envoyer « nos bœufs avec la charrue » au champ du voisin. — Ne pas trop « s’amuser » au projet d’entrer en religion ; conduite à tenir en attendant une décision. — L’éducation des filles dans les monastères, d’après les idées du Saint ; les enfants de la Baronne, Marie-Aimée, Celse-Bénigne. — Ne pas trop considérer son mal. — Mépriser les tentations ; Jésus-Christ crucifié, thème de contemplation. — Saint Pierre sur les eaux ; la peur et le mal. — Dans la tourmente, serrer la main du Sauveur.

  • CCCLX — À LA MÊME. — Il faut faire tout valoir à la ville et à la campagne. — Le Saint propose en exemple la vie d’une vertueuse chrétienne de La Roche. — Exhortation à la poursuite de la sainteté.

  • CCCLXI — À LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — La sainte Communion nullement incompatible avec l’état du mariage. — Comment nous devons juger les actions et ce qui leur donne du prix. — Le moyen de n’être jamais bien saint. — Les emplois dans la maison d’un prince et en la maison de Dieu. — Humilité du Bienheureux. — Règles pour l’aumône. — À quelles conditions les confessions annuelles sont utiles. — Jeanne de Sales et « la vie des champs ». — La vertu des femmes mariées, « celle seule que saint Paul indique ».

  • CCCLXII — AU CHEVALIER DE LOCHE. — Renseignements fournis sur un jeune gentilhomme, en vue d’un mariage.

  • CCCLXIII — AU DUC DE SAVOIE. — Pauvreté du prieuré de Bellevaux attestée par le Saint.

  • CCCLXIV — À L’EMPEREUR D’ALLEMAGNE (fragment inédit). — Accusé de réception d’une lettre de Sa Majesté. — Souhaits de bénédictions.

  • CCCLXV — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Les labeurs de la visite et l’ardeur du saint Évêque; l’accueil qu’il reçoit le Faucigny. — Les illuminations d’une petite ville. — Comment « divertir » ses yeux « des curiosités de la terre. »

  • CCCLXV — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Le Faucigny. — Les illuminations d’une petite ville. — Comment « divertir » ses yeux « des curiosités de la terre ».

  • CCCLXVI — À LA MÊME. — Au retour de la visite, le Saint revoyant son âme en a compassion ; il veut profiter des loisirs de l’hiver suivant pour se remettre dans la ferveur. — Les chevreuils et chamois des Alpes. — Histoire d’un berger à la recherche d’une vache. — Applications à un pasteur d’âmes.

  • CCCLXVII — À LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — Pour bien implanter la réforme, il faut commencer par de petites règles. — Un père et un mari jaloux de leur autorité ; leur ingérence importune ; condescendre pourtant à leurs volontés. — Marque pour éprouver la solidité de notre dévotion : quelquefois il faut laisser Notre-Seigneur. — Ne pas rendre notre piété fâcheuse à notre entourage. — Que doit faire une âme chrétienne soumise, à l’égard de la sainte Communion, à deux autorités divergentes ? — Détachement de saint Jean-Baptiste. — Une femme du monde qui « est arrivée bien haut ». — Lire sans scrupule la traduction des Psaumes de Des Portes. — Un traité d’Alcantara. — Espoir d’aller au Puits-d’Orbe.

  • CCCLXVIII — À M. DU CHÂTELARD. — Le Saint ne pourvoit aux cures que par la voie du concours.

  • CCCLXIX — À S. S. PAUL V. — Le Saint s’excuse auprès de Sa Sainteté de déléguer son frère pour sa visite ad limina. — Il lui envoie un état de son diocèse et lui en résume les grandes lignes.

  • CCCLXX — AU PÈRE ANCINA (inédite). — Recommandation en faveur de Jean-François de Sales. — Le Saint et ses amis de l’Oratoire de Rome.

  • CCCLXXI — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Nouvelles du Jubilé ; part que le Saint y a prise. — Sa tranquillité parmi un monde d’affaires. — Amour que lui témoigne son peuple.

  • CCCLXXII — AU CARDINAL BARONIUS. — Le Saint recommande son frère Jean-François à la bienveillance de Baronius. — L’hérésie de Genève, source d’angoisses pour l’Évêque ; il a besoin d’être soutenu auprès du Saint-Siège. — Le glorieux auteur des Annales a l’autorité nécessaire pour lui prêter cette assistance.

  • CCCLXXIII — À UN CARDINAL (minute inédite). — François de Sales rappelle au Cardinal l’aimable accueil qu’il en reçut jadis. — Titres particuliers de son diocèse à la bienveillante protection du Souverain Pontife. — Difficultés que lui crée l’hérésie ; pour les surmonter, il a besoin de recevoir du Saint-Siège aide et secours.

  • CCCLXXIV — À UNE RELIGIEUSE. — Exhortation à bénir Dieu pour une grâce reçue. — Le grand point de l’humilité pour une religieuse. — Les humilités les plus fines. — Le parler hautain, intempéré, et la bienséance religieuse.

  • CCCLXXV — AU PRÉSIDENT FAVRE (inédite). — Conseils affectueux du Saint à son ami. — Les dévotions du Jubilé.

  • CCCLXXVI — À MILE CLÉMENT. — Le désir du cloître doit être sans inquiétude. — Une croix très sainte. — Jamais le Sauveur « ne manque aux âmes qui aspirent en lui ». — Envoi du Saint.

  • CCCLXXVII — À L’EMPEREUR D’ALLEMAGNE (inédite). — Accusé de réception d’une lettre qui invitait le Saint à la diète de Ratisbonne.

ANNÉE 1607
  • CCCLXXVIII — À UNE RELIGIEUSE. — Le devoir d’une âme qui veut aimer Dieu. — La définition du courage d’après les mondains et d’après les chrétiens. — Le courage de « nostre Capitaine, de sa Mère, de ses Apôtres ». — Il ne suffit pas « de ne faire pas mal ».
  • CCCLXXIX — À M. DE BAY. — Remerciements de saint François de Sales pour un envoi d’auteur.
  • CCCLXXX — À MGR COSTA (fragment inédit). — Lettre de créance pour les députés envoyés à Turin par l’Évêque et le clergé du diocèse de Genève.
  • CCCLXXXI — À LA BARONNE DE CHANTAL. — L’ambition des pères. — La vraie grandeur des veuves et des évêques. — La « sagette » et le carquois du divin Archer. — Vivre joyeuse et courageuse.
  • CCCLXXXII — À S. S. PAUL V. — Le Saint prie le Souverain Pontife d’accueillir paternellement un gentilhomme converti qui a donné des gages de fidélité.
  • CCCLXXXIII — AU CARDINAL ALDOBRANDINO. — Le Saint recommande au Cardinal un gentilhomme converti.
  • CCCLXXXIV — À LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — La correspondance du Saint ; sa petite sœur. — La manière de bien célébrer une grande fête. — Savoir demeurer en paix parmi la guerre. — Règle pour traiter dignement les personnes de son rang.
  • CCCLXXXV — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Le Saint invite Mme de Chantal à s’en remettre à la Providence de son désir de quitter le siècle. — Sans « vertugadin » on peut être « bien net et bien propre ». — L’âme chrétienne et la vicissitude des saisons ; au Ciel, il n’y aura nul hiver. — Les « maistresses » les « chordes » auxquelles toutes les autres sont attachées. — Une baronne maîtresse d’école et un logis d’Évêque plein de plaideurs. — Les commandements et les avis. — Le Saint commence à écrire le Traitté de l’Amour de Dieu. — Les cantiques de la Baronne. — Les « belles humeurs » du Bienheureux avec les enfants, au catéchisme. — La réponse d’une petite fille. — La confrérie du Cordon.
  • CCCLXXXVI — À UN AMI. — Le Saint désire employer le Carême à « rabiller » son âme, qu’il appelle « un horologe détraqué ».
  • CCCLXXXVII — AU CHANOINE DE GRILLY. — Le Saint avertit son correspondant qu’il a écrit en sa faveur au Souverain Pontife une lettre de recommandation.
  • CCCLXXXVIII — À M. DE SAUZÉA. — Le Saint donne des nouvelles, des commissions et des encouragements à l’un de ses familiers.
  • CCCLXXXIX — À M. D’ALBIGNY (inédite). — Le Saint adresse à M. d’Albigny un gentilhomme capable de lui fournir de précieux renseignements sur Genève.
  • CCCXC — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Le Saint avertit la baronne de Chantal de se tenir prête pour le voyage, au temps qui sera marqué.
  • CCCXCI — À LA MÊME. — Le Carême, la moisson des âmes. — Larmes de joie et d’amour. — Une âme conquise, « toute d’or ». — Les services spirituels profitent à ceux qui les donnent. — Une « conteste ». — Le rendez-vous général de toutes les consolations.
  • CCCXCII — À DES DESTINATAIRES INCONNUS (inédite).
  • CCCXCIII — À MADAME DE VULGNOT (inédite). — Conseils pour une revue annuelle de ses péchés. — Pour certaines âmes, les veilles démesurées nuisent à l’esprit de dévotion. — Les saules, le myrte et le palmier. — Le Saint envoie son prédicateur à Sainte-Catherine.
  • CCCXCIV — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Il faut supporter avec courage les mauvaises opinions qu’on a de nous. — Considérations qui attendrirent le Saint, au cours d’un sermon de la Passion donné à Sainte-Claire.
  • CCCXCV — À MADAME DE VILLERS. — Désir de recevoir des nouvelles. — Invitation à venir à Saint-Claude. — Assurance de religieux dévouement.
  • CCCXCVI — À LA BARONNE DE CHANTAL (inédite). — Dispositions que doit prendre la Baronne pour son prochain voyage à Annecy. — Désir du Saint de la recevoir en sa « petite vilette » et en son « petit héberge ».
  • CCCXCVII — À M. DE SOULFOUR. — Le Saint prie son correspondant d’offrir ses salutations aux pieux amis et aux personnes de religion dont il a fait jadis la connaissance à Paris.
  • CCCXCVIII — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Souhaits de bienvenue. — Le Saint vante à la Baronne le bel office de son chapitre. — Hors de Dieu et sans lui, nous ne sommes que « des vrais riens ».
  • CCCXCIX — À UN AMI. — Protestations d’amitié. — Promesse d’entrevue.
  • CD — À LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — Pour des âmes novices, il n’est pas bon de penser toujours rencontrer Dieu sans préparation. — Savoir quelquefois manger son pain tout sec. — Éloge d’un confesseur. — À quelles conditions les enfants peuvent approcher souvent de la sainte Communion. — Ne point semer nos désirs sur le jardin d’autrui. — Le grand mot de la vie spirituelle et le moins entendu.
  • CDI — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Mme de Chantal de retour à Monthelon. — Le Saint lui demande de ses nouvelles. — Ses impressions pendant une grand-messe. — Le « choix » que le Bienheureux a fait pour la Baronne.
  • CDII — À LA MÊME. — Les croix de Dieu, pourvu que l’on y meure, sont douces et consolantes. — Dévouement affectueux du Saint. — Dieu, quand il inspire à une âme de le servir, lui en donne aussi les moyens. — S’humilier, mais sans empressement.
  • CDIII — À LA MÊME. — Le Saint sur le lac Léman ; sa docilité au nocher de la « petite barquette ». — Sainte Marthe et sainte Madeleine.
  • CDIV — À LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — Méthode pour bien servir Notre-Seigneur. — Les mortifications qu’il faut pratiquer. — Un cantique « un peu triste, mais harmonieux et beau ». — Marie-Madeleine et Notre-Seigneur en habit de jardinier. — Les plus belles mortifications ne sont pas les meilleures.
  • CDV — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Les assauts du démon et ses fanfares ; ne pas s’en effrayer. — Que Dieu seul est à craindre et de quelle crainte. — Une humiliante servitude ; le saint Évêque en affranchit ses sujets de Thy. — Tenir la croix entre ses bras et les yeux au Ciel.
  • CDVI — À LA MÊME. — Les larmes et les parfums de sainte Madeleine ; contemplation de la scène. — Inconvénients des longs voyages pour les femmes de piété. — Les résolutions communes du Saint et de la Baronne. — La prudence des serpents et la simplicité des « blanches colombelles »; l’une très nécessaire l’autre très aimable. — Rare éloge du Combat spirituel. — Affection du Bienheureux pour l’âme de Mme de Chantal.
  • CDVII — À LA MÊME. — Tenir son cœur au large. — Le désir de la perfection et la sainte oraison. — Les désirs d’une perfection trop douce ; leurs dangers. — En quel amour il faut cheminer. — Les fanfares de l’ennemi des âmes. — Sentiments du Saint pendant un violent orage d’été. — Poignée de nouvelles. — Bonheur de savoir qu’il faut aimer Dieu.
  • CDVIII — À LA MÊME. — Le Saint regarde comme un devoir que Dieu lui impose d’écrire souvent à la baronne de Chantal. — Notre-Seigneur chez les sœurs de Lazare ; contemplation et réflexions du Saint sur cette page de l’Évangile. — Comment les futures religieuses devront partager les heures. — Grand honneur de parler seul à seul à son Dieu. — L’oraison funèbre de Mme de Nemours. — Le tintamarre d’un orage en Savoie. — Mme de Charmoisy.
  • CDIX — À UNE RELIGIEUSE. — Les froideurs spirituelles. — Éloge de saint Bernard. — Être bonne servante de Dieu : en quoi cela consiste.
  • CDX — AU PRÉSIDENT DE ROCHETTE. — Recommandation en faveur d’un ami.
  • CDXI — À M. COSTA. — Le Saint sollicite des encouragements pour deux gentilshommes qui voulaient doter la Sainte-Maison de Thonon d’ateliers d’arts mécaniques.
  • CDXII — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Servir Dieu soit parmi les épines, soit parmi les roses. — Fidélité journalière du Saint à l’oraison mentale.
  • CDXIII — AU BARON DE MENTHON (inédite). — Conseils à propos d’un héritage.
  • CDXIV — À UNE DAME. — Comment Dieu supplée aux commodités de le servir quand on les laisse pour sa gloire. — Règlement de vie. — Quatre vertus recommandées. — Ce qu’il est toujours possible de faire, même au milieu du monde.
  • CDXV — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Naïve conjecture de la piété de Charles-Auguste, neveu du Saint.
  • CDXVI — À M. DES HAYES. — Effusions d’amitié. — Les « petites riottes » entre les officiers du duc de Nemours. — M. Fenouillet. — Le Saint cherche à « relever » l’oraison funèbre de la duchesse de Nemours ; il en appréhende l’impression.
  • CDXVII — À M. COSTA (inédite). — Le Saint avertit le Nonce d’une erreur qui l’a privé de recevoir un document annoncé sur la question de Auxiliis.
  •  CDXVIII — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Courage de Mme de Boisy à la mort de sa fille, Jeanne de Sales. — Le Saint « tant homme que rien plus. » — Dieu « prend tout à sa saison. » — Il faut agréer que Dieu frappe sur l’endroit qu’il lui plaira. — C’est assez d’avoir Dieu. — Indications pour le service funèbre de la défunte.
  • CDXIX — À LA PRÉSIDENTE BRÛLART. — Condoléances. — L’oraison sans paroles, à quelle condition est-elle bonne. — La préparation de la méditation. — Livres conseillés, dont quelques-uns peu faits pour la pratique. — Les confessions générales et la paroisse.
  • CDXX — AU COMTE DE TOURNON (Inédite). — Le Saint promet de contrôler la vocation d’un jeune homme qui semblait un peu hâtive.
  • CDXXI — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Le Saint rentre à Annecy. — Mme de Charmoisy. — « Nostre bon et saint Évêque. » — Un projet de mariage ; « toute la fraternité y conspire. » — Belles choses sur un verset de Jérémie.
  • CDXXII — AU BARON DE CHANTAL. — Le Saint se déclare flatté d’un projet d’alliance entre la famille de M. de Chantal et la sienne. — Marie-Aimée de Chantal remplacera dans son cœur la petite sœur qu’il a perdue.
  • CDXXIII — AU BARON DE VILLETTE (Inédite). — Le Saint apprend la guérison d’une parente qu’il croyait n’être plus en vie. — Nouvelles de la parenté. — Deux gentilshommes songent à entrer dans les Ordres sacrés.
  • CDXXIV — AU PRINCE CARDINAL DE SAVOIE. — Le Saint félicite le prince Maurice de son élévation au cardinalat. — Signification de la couleur de pourpre qui teint le chapeau cardinalice. — Souhaits de bénédiction.
  • CDXXV — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Paix, union merveilleuse dans la famille du Saint, bien que composée de plusieurs ménages ; à qui elle allait « à confesse. » — Comment sanctifier nos années, nos mois, nos jours et nos heures.
  • CDXXVI — À LA MÊME. — Sagesse et piété de M. de la Thuille.
  • CDXXVII — À S. S. PAUL V. — Pierre Fenouillet proposé pour l’évêché de Montpellier. — Le Saint félicite Rome et le diocèse de ce choix. — Éloge du candidat ; son éloquence, son savoir répondent aux besoins particuliers de sa future Église.
ANNÉE 1608
  • CDXXVIII — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Le grand mot de notre salut. — Le nom sacré de Jésus doit être implanté dans nos cœurs. — L’importance de la méditation et de la prière intérieure. — Comment vivre dans une paix véritable malgré les tumultes extérieurs toutes les puissances de notre esprit; pour le bien exprimer, il faut avoir une langue toute de feu
  • CDXXIX — À LA MÊME. — Le pur et saint amour de notre Sauveur ; pourquoi faut-il le désirer. — La baronne de Chantal auprès des malades. — Un sujet de douleur pour le Saint.
  • CDXXX — À LA MÊME. — Pour la sainte Communion, deux sortes de faim ; comment, grâce à une bonne digestion spirituelle, la Communion fait vivre en nous Jésus-Christ. — Le « grand livre » que le Saint portait toujours en sa « pochette ». — De quels secrétaires il s’accommodait le mieux. — Son affection pour les enfants de la Baronne ; celle-ci, commère de M. de Chazelles. — La première des vertus. — Les trois points de l’Exercice de l’amour de la volonté de Dieu. — Poignée de nouvelles. — « Un cœur bien net et propre. » — L’espoir que donne une petite troupe de chétives femmelettes.
  • CDXXXI — À UN ECCLÉSIASTIQUE. — Règlement d’une affaire qui intéresse une cure.
  • CDXXXII — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Conseils à la Baronne pour la conduite de Marie-Aimée. — Zèle des chanoines d’Annecy. — Une âme admirable à ne se point empresser.
  • CDXXXIII — À LA MÊME. — Ne pas accabler l’esprit à force de surmener le corps. — Une tentation du Saint, qui « alla tost en fumée. » — Ne pas avoir le cœur trop douillet. — Se fier aux décisions du P. Gentil pour le projet de l’Institut, car « il n’y bougera rien. »
  • CDXXXIV — À M. CROSET. — Différends entre curé et paroissiens ; le Saint veut les régler.
  • CDXXXV — À L’ABBESSE DU PUITS-D’ORBE. — Ne pas se ralentir dans la poursuite de la gloire de Dieu. — Témoignages de sympathie à l’Abbesse souffrante. — Le Saint sollicite pour la fille de l’un de ses anciens amis, son admission dans le Monastère.
  • CDXXXVI — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Le Saint estime que le projet de la Visitation est de Dieu et s’y affectionne de plus en plus. — Les cercles qui se font en l’eau et les entortillements d’esprit chez les âmes chatouilleuses. — Quand on n’a d’autre intention que la gloire de Dieu, ne se tourmenter de rien. — Les « menues pensées » après les grandes. — Les frères du Saint et les enfants de la Baronne. — Un prédicateur qui parle à son auditoire.
  • CDXXXVII — À LA MÊME (Inédite). — Le Saint désire qu’on ne prenne pas dans un sens absolu les directions adressées à des personnes particulières. — Nouvelles et recommandations diverses.
  • CDXXXVIII — À U PÈRE PoLLIENS (Inédite). — Affectueuses sympathies du Saint pour son Directeur spirituel, alors malade. — Il promet de prier pour sa guérison.
  • CDXXXIX — À MM E DE CHARMOISY. — À mesure qu’on savoure les choses divines, on cesse de priser les choses terrestres. — Ne nous étonnons point de la mort. — Comment faut-il pleurer nos amis quand nous les voyons mourir.
  • CDXL — À LA MÊME. — Le miel qui doit adoucir toutes les affections et toutes les actions. — Le royaume intérieur, les ennemis, les espions. — Notre cuirasse et notre bouclier. — Les parfums dont nous serons « confortés et ravigorés. »
  • CDXLI — À UNE DEMOISELLE. — On ne trouve pas ce qu’on cherche avec trop d’ardeur ; applications à l’oraison. — L’engourdissement de l’âme. — L’un des plus grands traîtres de la vraie dévotion. — Deux raisons principales ou deux manières de se présenter devant Dieu à l’oraison, toutes deux fort utiles. — Encouragements discrets à persévérer dans le désir de la vocation religieuse.
MINUTES ÉCRITES PAR SAINT FRANÇOIS DE SALES POUR D’AUTRES PERSONNES
  • CDXLII — AUX HABITANTS DE LA VILLE DE GENÈVE, pour M. Cusin (Inédite). — Le signataire présumé de cette lettre réfute les interprétations calomnieuses de sa sortie de Genève.
  • CDXLIII — À LA BARONNE DE CHANTAL, pour Mme de Boisy. — Madame de Boisy prie la baronne de Chantal de garder auprès d’elle sa fille Jeanne.
  • CCXXXVIII BIS — À LA BARONNE DE CHANTAL. — Dévouement du Saint pour le service spirituel de la Baronne, suggéré par Notre-Seigneur. — Lumières qu’il en reçoit pour lui parler de l’humilité, la vertu propre des veuves. — Belle fleur que la veuve chrétienne. — Qui sont les veuves vraiment veuves. — L’humilité morale et l’humilité surnaturelle. — L’humilité et la chasteté. — Être joyeusement humble devant Dieu et le monde. — N’affecter ni ne fuir l’humilité visible, c’est-à-dire les offices humbles, l’écorce qui conserve le fruit. — Fidélité aux exercices. — Ne pas pointiller dans la pratique des vertus. — Assurance et désir d’affection. — Les « prières pénétrantes » des petits.

APPENDICE

LETTRES ADRESSÉES À SAINT FRANÇOIS DE SALES PAR QUELQUES CORRESPONDANTS

A — Lettre du Souverain Sénat de Savoie
B — Lettre de Mgr André Frémyot, Archevêque de Bourges
C — Lettre d’Antoine Favre
D — Lettre du P. Antoine Possevin, de la Compagnie de Jésus
E — Lettre de Charles-Emmanuel Iur, Duc de Savoie
F — Lettre de M. Claude d’Angeville, Primiier de la Collégiale de La Roche
G — Lettre de M. Anastase Germonio
H — Lettre du Cardinal César Baronio
I — Lettre du Cardinal Jérôme Panfili
J — Lettre du Président Frémyot
K — Lettre du P. Sébastien de Maurienne, Capucin
L — Lettre du P. Jean Fourrier, de la Compagnie de Jésus

Table de correspondance de cette nouvelle édition avec les précédentes, et indication de la provenance des manuscrits
Index des correspondants et des principales notes biographiques et historiques de ce volume
Glossaire des locutions et des mots surannés
Errata

Reference time period: 1700

S. Francesco di Sales, “Œuvres de S. Francois de Sales – Tome 13 – Vol.3-Lettres“, Imprimerie J. Niérat, Annecy 1904.

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