The letters of Saint Francis de Sales from 1611 to April 1613 provide deep insights into his pastoral work and spiritual life. They detail his efforts to restore Catholicism in the Diocese of Geneva, which had been disrupted by the Protestant Reformation. Particularly significant are his letters to Mother Chantal, offering personal and spiritual reflections. The collection highlights his tireless work in rebuilding parishes, educating the faithful, and converting heretics, including the notable conversion of Mlle de Saint-Cergues. These letters reveal his dedication as a preacher and spiritual guide, navigating both theological and political challenges with compassion and insight.
TABLE DES MATIÈRES
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DCLIII — À la Comtesse de Tournon. — Comme l’Evêque de Genève entendait réduire un délinquant à l’obéissance ; ses griefs contre une famille qui le protégeait. — Le plus grand désir du Saint.
ANNÉE 1611
- DCLIV — À M. Milletot (Inédite). — L’Evêque de Genève recommande à son ami les négociations du vicaire général de son diocèse et lui donne des nouvelles de sa fille Marie-Marguerite, religieuse à la Galerie.
- DCLV — À l’Abbesse du Puits-d’Orbe. — Témoignages d’affectueux dévouement. — De belles et bonnes confitures. — Deux recettes pour rétablir entièrement la santé.
- DCLVI — À Mlle de Chastel. — À quelle condition les exercices de piété revigorent l’âme, même s’ils sont faits sans goût. — La variété et l’unité des sentiments ; le monde et le Ciel. — Éloge de la future Mère de Chastel, alors novice.
- DCLVII — À la Mère de Chantal (Inédite). — Ne rien regarder, ne rien aimer que dans la lumière et l’amour de Notre-Seigneur. — Un « livret » qui a besoin d’une préface pour être plus intelligible. — Communication promise pour le jour même ou le lendemain.
- DCLVIII — À Mlle de la Fléchère (Inédite). — Dans quels cas il ne faut pas s’abstenir de communier. — La variété des petits accidents de cette vie et l’état immobile de la sainte éternité. — Deux nouvelles recrues pour la Visitation.
- DCLIX — À Mme de Montfort (Inédite). — Félicitations à l’occasion d’une naissance.
- DCLX — À la Mère de Chantal. — La conversion de Mme de Saint-Cergues : la cérémonie se fera dans l’oratoire de la Galerie. — Pourquoi faut-il bien traiter son cœur et le « tenir en bon point. » — Ourien, ou Dieu. — Notre amour pour Dieu , jamais suffisant, jamais excess
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DCLXI — À la Présidente Favre. — Convalescence de la Mère de Chantal. — La « chère grande fille ». — Quand les « embarras » d’une grande maison augmentent, « il faut tant plus appeler Notre-Seigneur à notre aide. » — La plus grande consolation à la fin de la journée.
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DCLXII — À M. de Oyox. — La nouvelle ruche de la Visitation. — Une maladie inconnue en Galie. — Une mère habile « trop aspre à la cueillette. » — La Mère de Chantal et les saintes veuves de l’Église.
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DCLXIII — À la Mère de Chantal. — La gloire de Dieu, maîtresse et régente des affections de François de Sales. — Un défi entre deux Saints; leur unité d’âme et de cœur.
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DCLXIV — À M. Milletot (Inédite). — Mère de Chantal apprend la mort de son père. — Son « déplaisir » et sa « vertu » dans cette circonstance. — Éloge du défunt. — Le bruit de la future translation du saint Evêque à un autre siège n’est pas fondé.
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DCLXV — À la Présidente Brulart. — Comment connaître l’intention de Notre-Seigneur à propos d’une vocation. — L’holocauste « en effet » et l’holocauste « en affection. » — Une « hantise » indiscrète et superflue. — Il est mieux, pour une femme du monde, d’ouïr la sainte Messe tous les jours que de faire l’oraison chez soi. — Santé et sainteté.
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DCLXVI — À la Mère de Chantal (Inédite). — Un moyen de « recréer notre pauvre cœur. » — La Mère de Chantal est avertie de ne pas se tenir à genoux pendant son oraison.
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DCLXVII — À Mgr Camus. — Il faut beaucoup souffrir des enfants en bas âge. — Quatre mots de saint Paul, règle des prédicateurs. — La patience et la doctrine.
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DCLXVIII — À la Mère de Chantal. — Le nom que le Saint avait d’abord adopté pour ses chères filles ; pourquoi il le changea. — Sa dévotion à sainte Françoise Romaine. — Le « petit Batiste » et « Celse Bénine ».
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DCLXIX — À la Présidente Favre. — Les « pauvres gens d’Estrembières » ; prière de les défendre contre leurs frères rebelles.
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DCLXX — À la Mère de Chantal (Inédite). — Un arbitrage du Saint dans une querelle entre soldats.
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DCLXXI — À la Même. — Le baume et les « basses herbettes » de la Croix. — Grandeur de saint Joseph ; pourquoi pouvait-il faire en vie aux Anges et défier le Ciel. — La veuve de Naïm et la mère de Celse-Bénine.
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DCLXXII — Au Président Favre. — Compassion du Saint pour les misères du pays au printemps de l’année.
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DCLXXIII — À une Dame inconnue. — Le monde et ses séductions. — Mépris extrême du Saint pour la gloire. — Les exigences du Créateur et celles du monde.
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DCLXXIV — À Mme de La Fléchère. — Pourquoi les petites chutes et imperfections ne doivent étonner ni l’âme chrétienne, ni son directeur.
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DCLXXV — Au Duc de Savoie. — Paris, Chambéry, réclament l’Évêque de Genève pour le Carême de l’année suivante : que le duc de Savoie décide, le Saint se conformera à son désir.
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DCLXXVI — À l’Abbé d’Abondance. — Humble récit des commencements de la Visitation. — Pourquoi Mme de Chantal est venue « à son cher père ». — Sa prudence et sa force virile. — Jacqueline Coste. — « Un doux et gracieux refuge. » — L’esprit et la vie intérieure des premières Religieuses. — Dévouement de François de Sales à Dieu et à son Église. — Pour la charité, toute peine est bien aimée. — Un Saint qui avait le don d’ouvrir les cœurs.
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DCLXXVII — À la Mère de Chantal (Fragment inédit). — Pourquoi faire ce qui est requis pour tenir sa santé un peu forte. — Ce que le Saint demandait à la Messe avec une « ardeur extraordinaire. » — Affectueux dévouement du Fondateur pour la Mère de ses chères filles.
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DCLXXVIII — À Mgr Camus. — Recommandation en faveur d’un ancien serviteur d’Antoine Favre.
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DCLXXIX — À M. des Hayes. — Premiers projets de Denis de Granier; son portrait. — Les jeunes gens et les difficultés. — Menaces de guerre.
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DCLXXX — À M. de Bay. — Un père de famille désire que son fils achève ses études au collège de Savoie à Louvain. — Le Saint sollicite l’admission du jeune étudiant.
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DCLXXXI — À la Mère de Chantal. — L’échange du Cœur du Sauveur avec celui d’une « bénite Sainte. » — François de Sales désire pour lui et souhaite à la Mère de Chantal la même faveur.
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DCLXXXII — Au Président Favre. — Les appréhensions et les difficultés d’un voyage à Gex. — Les exigences du service de Dieu et des âmes, plus impérieuses encore.
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DCLXXXIII — Au Marquis de Lans. — Le Saint donne avis de son voyage à Gex.
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DCLXXXIV — À Mme de Vignod. — Divin échange. — Ce qu’il est utile d’imiter dans la vie de sainte Catherine de Sienne Dieu seul mérite d’être servi et suivi avec passion. — La Communion fréqu en te et les âmes faibles. — Ce que font les bergers en Arabie.— L’obéissance assure la protection de Notre-Seigneur.
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DCLXXXV — À la Présidente Brulart. — Progrès spirituel de la Mère de Chantal. — Les tribulations et la sainteté. — Qu’est-ce qui approche Notre-Seigneur de nos cœurs.
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DCLXXXVI — À la Présidente Favre (Inédite). — L’ambition d’un prédicateur de Carême. — Les cœurs simples et humbles, et la Croix.
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DCLXXXVII — Au Président Favre. — Le Saint s’en remet à son ami pour informer le Sénat qu’il accepte l’invitation de prêcher le Carême de 1613.
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DCLXXXVIII — À la Mère de Chantal. — La religion catholique à Gex ; espérance de l’y voir refleurir. — L’apostolat du Saint; un résultat qu’il n’estime pas médiocre.
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DCLXXXIX — À M. de Châtillon (Inédite). — Recommandation en faveur d’un solliciteur dans la gêne.
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DCXC — Au Grand-Prieur et aux Religieux de Saint-Claude. — La chrétienté de Divonne et les frais du culte sont confiés au zèle des Religieux de Saint-Claude.
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DCXCI — À la Mère de Chantal. — Annonce du retour à Annecy.
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DCXCII — À la Même. — Effusions de ferveur. — Fruit du mystère de la Pentecôte. — L’esprit de force et l’esprit de sagesse ; l’amour sacré et la souveraine Unité.
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DCXCIII — À la Même. — Les armes et la devise de la Visitation. — La Congrégation est « véritablement un ouvrage du cœur de Jésus et de Marie. » — Ses armes symbolisent la soigneuse mortification du cœur, propre à l’Institut.
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DCXCIV — Au Duc de Savoie. — Sollicitation de la grâce pour un coupable.
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DCXCV — Au Même. — Défense du Saint contre une calomnie. — Son inviolable fidélité au duc de Savoie. — Ce qu’il a fait à Gex. — Il a déjà rendu compte de tout ce qu’il a appris discrètement sur les projets des Français. — Une proposition du sieur de la Nou… — Les Suisses catholiques et le pays de Berne. — Vains efforts des brouillons et des calomniateurs pour représenter l’Évêque de Genève « avec des affections étrangères ».
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DCXCVI — À M. Fenouillet. — Le rétablissement du culte à Gex et par quoi a pris le Chapitre de Genève. — Sollicitation du placet royal pour lui accorder un bénéfice. — Petites nouvelles. — Retour à la foi d’un gentilhomme. — Pourquoi la connaissance de la vérité n’est pas toujours suivie de la conversion.
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DCXCVI — À une Religieuse. — En quoi consista la rare mortification de saint Jean-Baptiste. — Facilité de l’imiter par la communion spirituelle, à défaut de la communion réelle. — Homme céleste ou ange terrestre. — Tout nous crie : Amour, amour ! — Des dames qui « font merveilles ».
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DCXCVII — À la Mère de Chantal. — Louanges de saint Jean-Baptiste : plus que vierge, plus que confesseur et prédicateur, plus que docteur et martyr, plus qu’évangéliste et apôtre, plus que prophète et patriarche, plus qu’ange et plus qu’homme. — Ses prérogatives admirables. — Quelqu’un de plus grand encore.
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DCXCIX — À la Même. — Le mystère de la Visitation. — La Très Sainte Vierge en la maison de Zacharie ; effets miraculeux de sa présence. — Effusions d’humble amour pour le Verbe incarné.
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DCC — À M. des Hayes. — Assurance réciproque d’invariable amitié. — Éloge du Prieur des Feuillants et pour quelles raisons particulières il s’est fait estimer du Saint. — Rupture d’un mariage princier. — Le deuil d’un ami. — Il n’est pas accordé à l’Évêque de Genève d’aller prêcher un Carême à Paris. — La marquise de Maignelay. — Derniers jours d’un poète.
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DCCI — À Mme de Bertrand de la Perrouse (Inédite). — Les insistances d’un jeune gentilhomme. — Prudence et charité du Saint dans une affaire délicate.
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DCCII — À la Mère de Chantal. — M. Camus annoncé pour une exhortation à la Galerie.
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DCCIII — Au Président Favre. — Message confié à un ami…
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DCCIV — À Mme de La Fléchère. — Ne rien rabattre de nos pratiques religieuses par respect humain. — Vouloir savoir d’où proviennent les sécheresses : curiosité superflue. — Nouvelles d’un Feuillant, d’un Cordelier, d’un Cistercien. — Une « bonne petite fille » du Saint, « toute de sucre ».
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DCCV — À la Mère de Chantal. — Le catéchiste de Notre-Dame.
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DCCVI — À une Dame. — Le grand et l’unique bonheur d’une femme chrétienne.
- DCCVII — À Mme de La Fléchère. — Quel profit tirer des chutes. — Servir Dieu parmi les
sécheresses nous est chose plus dure, selon notre goût, mais plus profitable selon le goût de Dieu. — Les « viandes sèches » et les hydropiques. — Exercer la débonnaireté à tout propos et sans propos.
- DCCVIII — À la Mère de Chantal. — Souhaits à l’occasion de la Saint-Bernard. — Les vertus caractéristiques du grand Docteur, d’après saint François de Sales.
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DCCIX — À la Même. — Une vocation à contrôler. — Sujet d’oraison conseillé pour des novices à la veille de leur profession.
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DCCX — À Mme de La Fléchère (Inédite). — Jubilé de Thonon. — Lorsque, par charité, l’on dérange ses exercices de dévotion, Dieu ne cesse pas d’être servi.
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DCCXI — À M. Milletot. — Une réponse claire sur trois points. — Pourquoi l’amitié de saint François de Sales pour ses amis était plus forte que la mort. — Le critère des vraies amitiés. — Une main « exquise et rare » et une matière « de mauvais lustre ». — Pour quels motifs l’Évêque de Genève déteste les contentions et disputes entre catholiques. — Il n’a pas trouvé à son goût certains écrits de Bellarmin. — La pauvre mère poule et les poussins qui s’entrebecquettent. — Adroite et charitable critique.
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DCCXII — À la Mère de Chantal. — Sollicitude pour la Mère de Chantal, alors absente de Savoie. — Les affaires : leur multiplicité ne doit pas troubler, ni leur difficulté émouvoir. — Nouvelles de Mue de Blonay. — Sermon sur la Nativité de la Très Sainte Vierge. — Affection des deux Fondateurs pour la Soeur Favre.
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DCCXIII — À la Même. — Comment traiter des affaires de la terre. — L’amour transforme tout. — Santé et sainteté de François de Sales. — Le moyen de parvenir. — Communauté de désirs et d’aspirations entre la Mère de Chantal et son Directeur. — La Sainte Croix ; elle béatifie ceux qui l’aiment et la portent. — L’autel des crucifiés.
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DCCXIV — Au Duc de Savoie. — Éboulement à Sixt. — Détresse des habitants qui en est la suite. — Le Saint recommande ses diocésains à la charité du duc de Savoie.
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DCCXV — À M. Brisson (Inédite). — Regrets de ne pouvoir accepter de prêcher un Carême à Saint-Merry. — Témoignages d’estime au destinataire qui avait transmis l’invitation.
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DCCXVI — À la Soeur de Bréchard. — Notre-Seigneur saura bon gré à qui porte et supporte les âmes qui se trouvent faibles.
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DCCXVII — À la Soeur Roget (Inédite). — Ce qu’il faut faire après « quelques petits mauvais pas ». — Avoir le cœur franc envers les Supérieurs. — La « petite bien-aimée Françon ».
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DCCXVIII — À la Mère de Chantal. — Souhaits de bon et saint voyage. — Affectueux messages pour les compagnons, les parents et les amis de la Mère de Chantal.
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DCCXIX — Au Baron de Villette. — À propos de la mort d’une parente : regrets, condoléances, consolations, promesse de prières.
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DCCXX — Au Président Favre (Inédite). — La cure de Saint-Sigismond en 1611 : l’ami du destinataire en mériterait une meilleure.
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DCCXXI — À la Soeur de Bréchard. — Un Père vigilant qui a peur d’être blâmé pour ne l’être pas assez. — Pourquoi ne faut-il pas prétendre porter toutes les couronnes. — C’est encore de la charité que de laisser faire aux autres quelque chose. — De quoi doit-on attendre l’issue des maladies.
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DCCXXII — À M. Milletot. — La plus mauvaise façon de mal dire. — Il est presque impossible « de corriger l’immodération modérément ». — Ce qui arrive souvent aux chasseurs. — À César ce qui est à César, mais aussi à Dieu ce qui est à Dieu.
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DCCXXIII — À un inconnu (Fragment inédit). — Des bailliages qui n’avaient pas été visités « il y a plus de cent ans. » — Bourgeois et bourgeoises de Genève aux vendanges et de quoi ils étaient étonnés, ayant ouï le Saint.
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DCCXXIV — À Dom Asseline. — Amitié du Saint pour l’Ordre des Feuillants. — La disposition des matières dans une Somme de théologie ; moyen de rendre celle-ci « plus friande et plus agréable. » — Les questions inutiles. — Souhaits et témoignages d’affection.
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DCCXXV — À la Mère de Chantal. — De quels principes doit s’inspirer la Mère de Chantal pour fixer la durée de son séjour en Bourgogne. — Comme le monde censure ce qui est fait pour Dieu. — Nouvelles de la Visitation.
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DCCXXVI — À M. de Quoex. — Mlle de Blonay sera la bienvenue à Annecy ; qu’elle y vienne sans attendre le retour de la Mère de Chantal.
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DCCXXVII — Au Marquis de Lans. — L’Évêque de Genève avertit le gouverneur de son départ pour Gex.
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DCCXXVIII — À la Mère de Chantal. — Ferme nouvelle de charité et de zèle pour Notre-Seigneur. — La beauté de la foi transporte François de Sales d’amour et de gratitude ; il en voit plus clairement la grandeur, en pays hérétique.
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DCCXXIX — À M. de Chatillon. — Lettre d’affaires.
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DCCXXX — Au Marquis de Lans. — L’Évêque de Genève expose au gouverneur le sujet et les résultats de son voyage à Gex. — Les commissaires, l’« grand catholique », et l’autre « grand hérétique ». — Exécution de l’édit de Nantes à Gex. — Espérances fondées pour le prochain rétablissement du culte.
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DCCXXXI — À Mme d’Aiguëbelette (Inédite). — Le meilleur témoignage de fidélité. — Souffrance et action. — La mortification par élection et par acceptation. — Quel est levrai temps de la moisson des affections. — A lerte provoquée par la Soeur de Chastel. — L’assistance des malades dans la maison de la Galerie.— On « desseigne » à Dijon un monastère de la Visitation.
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DCCXXXII — À la Soeur de Chastel. — Encourageantes paroles à une convalescente. — Consolation que le Saint souhaite à la Mère de Chantal pour son retour à Annecy.
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DCCXXXIII — À l’Abbesse de Sainte-Catherine. — Souhaits de bonne fête à une Abbesse, sa cousine. — Prédications et auditeurs du Saint.
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DCCXXXIV — À Mmes de la Fléchère. — Comment témoigner la vraie fidélité à Notre-Seigneur. — Condition de la vie humaine. — Ce qui arrive entre les enfants des hommes.
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DCCXXXV — À la Mère de Chantal (Inédite). — Condescendance du Saint pour une religieuse malade. — Promesse d’une visite à la Galerie pour le lendemain.
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DCCXXXVI — À la Même (Inédite). — Une journée très occupée. — C’est Notre-Seigneur qui unit les cœurs indissolublement.
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DCCXXXVII — À la Même. — Les occupations du Saint privent la maison de la Galerie de ses entretiens. — Une visite de la baronne de Thorens. — Charité délicate.
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DCCXXXVIII — À une Dame. — Où se révèlent l’amour pur de Notre-Seigneur et l’amoureuse fidélité à son service. — Laissons Dieu façonner notre cœur tout à son gré. — Cinq élévations propres à sanctifier les souffrances. — Pourquoi et comment faut-il recourir aux remèdes. — Profit spirituel de la maladie.
ANNÉE 1612
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DCCXXXIX — À la Mère de Chantal. — Le baume sacré du nom de Jésus ; quels sont les cœurs qu’il pénètre de son parfum. — Pieux souhaits pour la Mère de Chantal. — Le mystère de la Circoncision. — Prière au divin Poupon. — La circoncision spirituelle.
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DCCXL — À M. Milletot. — Souhaits de nouvel an.
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DCCXLI — Au Père Polliens. — Un « livre » dont le Saint aurait désiré avoir une copie. — Sa dévotion pour le bienheureux Pierre Favre et ce qu’il pensait de l’histoire de sa vie.
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DCCXLII — À M. des Hayes. — Bons effets que les amis du Saint attribuaient à ses lettres. — M. de Granier. — Le duc de Nemours ne désire pas céder son hôtel.
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DCCXLIII — À la Mère de Chantal. — Les cieux et le soleil com parés à la chair du Sau veur. — Contemplation angélique et Communion eucharistique. — Une sentence du grand saint Antoine. — Pourquoi Dieu nous abaisse et se cache
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DCCXLIV — À la Prieure du Puits-d’Orbe. — L’appui des créatures et la protection de la providence divine. — Quand il nous arrive quelque chose contre notre gré, que faire ? — Jugements et manquements qui ne sont pas mortels. — Message.
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DCCXLV — À M. de Béruille. — M. de Marillac porteur d’une lettre de M. de Béruille. — Sympathies du Saint pour la Congrégation de l’Oratoire. — L’hôtel du duc de Nemours n’est pas libre. — Offre de services et remerciements pour l’envoi de deux livrets.
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DCCXLVI — À Mlle Acarié. — La sainte bienveillance d’une Bienheureuse pour l’Évêque de Genève. — Pourquoi aurait-il désiré faire le voyage de Paris ? — Sentiment de François de Sales sur l’Oratoire naissant ; regrets de n’avoir pu prêter son concours à M. de Béruille. — Souhaits pour la nouvelle Congrégation.
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DCCXLVII — À la Mère de Chantal. — Entre les deux Fondateurs, il n’y avait « ni second, ni premier. » — Modèle d’exhortation destinée à des prétendantes avant leur vêture. — Ce qu’on enseigne aux Novices. — Soeur Jeanne-Charlotte de Bréchard leur maîtresse ; obéissance qu’on lui doit. — Une illusion que les Novices ne sauraient avoir.
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DCCXLVIII — À la Même. — Le très grand Saint Paul. — Un désir du Saint. — Pourquoi Dieu soustrait ses douceurs. — Prière à Jésus. — À quelle classe de personnes la douce charité profite davantage.
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DCCXLIX — À la Même (Billet inédit). — Une résolution finale à prendre pour le déplacement de l’oratoire de la Visitation.
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DCCL — À la Même. — Un remède souverain : les prières de la Mère de Chantal et la relique de Sainte Apolline. — Preuve sensible de la communion des Saints.
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DCCLI — À la Présidente Brulart. — Ce qui rend profitable la nourriture corporelle et spirituelle. — Sentiments d’humilité proposés à une âme privée de la Communion fréquente. — Sentir qu’on est tout à Dieu et « en train de l’oraison » ne dispense pas de s’exercer aux vertus et de mortifier ses passions.
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DCCLII — À la Reine Mère, Marie de Médicis. — L’ambassadeur de l’Évêque de Genève et du petit peuple catholique de Gex auprès de la reine mère.
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DCCLIII — À M. de Châtillon. — Une pauvre demoiselle recommandée à la Sainte-Maison de Thonon.
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DCCLIV — À M. de Quoex. — Zèle de la Mère de Chantal et du Saint pour la conversion d’un médecin. — Brebis errantes et troupeau fidèle. — Préoccupations et résignation du Fondateur de la Visitation.
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DCCLV — Au Père de Bonivard. — Grave maladie de la Mère de Chantal. — Une oraison prolongée et répétée sur la troisième demande du Pater. — La résignation et la confiance d’un Fondateur.
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DCCLVI — À Mlle de Saint-Cergues. — Les amitiés qui ont Dieu pour auteur, et la distance des lieux. — Une occupation agréable et précieuse pour l’Évêque de Genève.
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DCCLVII — À Sa Sainteté Paul V. — À quoi servent les canonisations ; le Saint les jugeait presque nécessaires pour le temps où il vivait. — Il demande au Pape de canoniser le bienheureux Amédée ; motifs qu’il fait valoir en faveur de sa supplique.
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DCCLVIII — À la Soeur Favre. — Questions et conseils. — Comment « la grande fille » du Saint devait gouverner son cœur et l’encourager souvent. — Le souverain bonheur de l’âme.
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DCCLIX — À Mme de Peyzieu (Inédite). — Une mère du Saint, par alliance spirituelle. — Compliments et paroles d’affection.
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DCCLX — À Mgr Germonio. — La controverse sur le pouvoir temporel des Papes et l’autorité des Conciles. — De quel côté penchent les parlementaires et les hommes d’État. — Esprit et tendance du siècle. — Un remède plus efficace que les discussions des théologiens. — Ce que doivent faire les prédicateurs. — L’entente des Prélats, de la Sorbonne et des Religieux, bientôt mortelle à l’hérésie. — Moyens de ménager cette union.
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DCCLXI — À la Présidente Brulart. — Une solution également difficile et inutile. — État des esprits en 1611 et en 1614. — Zèle que le Saint jugeait inopportun. — Dangers de certaines discussions agitées par des docteurs incompétents. — Souveraine autorité spirituelle du Pape ; droits qu’elle lui confère. — Devoirs corrélatifs des chrétiens envers le Pape et l’Église. — Triple alliance qui doit exister entre le Pape et les rois. — Les deux autorités ne se contrarient pas, mais « s’entraident l’une l’autre. »
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DCCLXII — À la Mère de Chantal. — La plus heureuse salutation qui fût jamais. — Les souhaits de l’Ave Maria.
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DCCLXIII — Au Duc de Savoie. — Requête en faveur d’un prisonnier innocent.
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DCCLXIV — À la Mère de Chantal. — L’insensibilité spirituelle : en quoi consistait cette épreuve pour la Mère de Chantal. — Conseils appropriés. — Le point clé de la sainte résignation. — Les ténèbres au pied de la Croix.
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DCCLXV — Au Duc de Savoie. — Supplique du Saint au nom d’un gentilhomme qu’il avait assisté à ses derniers moments.
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DCCLXVI — À M. des Hayes. — Le nid du Saint. — Messages et nouvelles.
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DCCLXVII — À M. de Quoex (Inédite). — « La pauvre dame Jacqueline. » — Dureté de M. Gillette. — Le Père de Bonivard, S.J., prédicateur du Carême à Annecy. — Contentez-vous mutuellement du Religieux et du bon peuple annécien. — Affluence des Chambériens aux sermons de saint François de Sales.
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DCCLXVIII — Aux Religieuses de la Visitation d’Annecy. — Pourquoi saint François de Sales se résignait à vivre en ce misérable monde. — Abelles mystiques et mouches libertines : le bonheur et les exercices des unes et des autres mis en parallèle. — Un festin plus délicieux que celui d’Assuérus. — Les spirituelles saillies sur les collines de Calvaire, d’Olivet, de Sion, de Thabor. — Bonheur de la vie religieuse.
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DCCLXIX — À la Baronne de Chevron. — Envoi d’une lettre d’affaires.
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DCCLXX — À M. de Quoex. — Le Saint s’emploie pour obtenir l’expédition d’un procès.
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DCCLXXI — À la Mère de Chantal (Billet inédit). — Cent mille bonjours.
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DCCLXXII — À la Même. — Visite promise ; visite annoncée.
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DCCLXXIII — À l’ancienne Abbesse de Sainte-Catherine. — Recommandations pour la Soeur de Vignod. — Notre-Seigneur est jaloux des âmes qu’il favorise.
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DCCLXXIV — À la Mère de Chantal (Inédite). — Charité attentive et minutieuse du Saint pour la Mère de Chantal. — Le régime d’une convalescente.
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DCCLXXV — À M. Milletot. — Le Saint revendique son droit, qui était contesté, de conférer les bénéfices dans certaines paroisses situées en France.
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DCCLXXVI — À Mmes de la Fléchère. — L’avènement des duellistes ; pourquoi et comment le Saint en avait une grande compassion.
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DCCLXXVII — À Mme de la Valbonne. — Quels sont ceux que le Sauveur n’abandonne jamais. — Un nouveau filleul du Saint.
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DCCLXXVIII — Au Duc de Savoie. — Pourquoi le Saint désire obtenir l ’agrém ent du duc de Savoie pour les prédications qu’on lu i demande à Lyon
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DCCLXXIX — À la Mère de Chantal (Billet inédit). — « Nostre fièvre » et « nostre tête. » — Les bonnes dispositions des syndics pour les agrandissements de la Visitation.
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DCCLXXX — À la même (Fragment inédit). — Une postulante qui avait de la répugnance pour l’abjection ; comment traiter avec elle.
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DCCLXXXI — À la même. — Beauté du Ciel après l’Ascension du Sauveur. — Aspirations pieuses. — La seule chose qui donne du prix à l’éternité des biens, d’après saint François de Sales. — La glorification du corps de Notre-Seigneur et de notre corps.
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DCCLXXXII — Aux Cardinaux de la Sacrée Congrégation des Rites. — L’une des opinions maudites de Calvin. — Dévotion des catholiques de Savoie au bienheureux Amédée. — Pourquoi les membres de la Sacrée Congrégation des Rites doivent faire avancer sa canonisation.
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DCCLXXXIII — À dom Pierre de Saint-Bernard de Flottes. — Un grand désir du Saint. — Envoi d’un ouvrage. — Les Pères Capucins en Savoie.
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DCCLXXXIV — À Mgr Bertacchi. — Renseignements demandés sur un étranger apostat, en faveur de sa femme convertie.
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DCCLXXXV — Au Sous-Prieur de Peillon. — Renseignements fournis sur un jeune prêtre.
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DCCLXXXVI — À Mme de Cornillon, sa sœur. — Une prétendante « de fort bonne famille et de très bonne mine. »
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DCCLXXXVII — À l’Abbesse du Puits-d’Orbe (Inédite). — Condoléances et consolations. — Le seul prix de cette vie mortelle. — Pour mourir, tous les moments sont « heureux » à ceux qui craignent Dieu. — L’Abbesse désire faire un voyage en Savoie ; le Saint ne sait ni le lui conseiller, ni l’en dissuader.
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DCCLXXXVIII — Au Duc de Savoie. — Remerciements pour une grâce obtenue.
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DCCLXXXIX — À Mgr d’Esne (Inédite). — Introduction à la Vie dévote attire à son auteur les louanges d’un Prélat étranger. — Gratitude du Saint. — Son oraison pour Genève. — Remerciements pour un envoi de traductions.
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DCCXC — À M. Du Panloup. — Le saint métal et la dévotion à saint Théodule.
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DCCXCI — À la Mère de Chantal. — La rose, symbole des vertus de saint Jean-Baptiste. — Son amour pour la Sainte Vierge et son Enfant. — Deux lis dans une rose con dition nelle d’nne postulante, fille de Gallois de Sales. — Ce qui rebutait quelque fois les prétendantes à la Visitation. — Portrait de la nièce du Saint
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DCCCLI — Au Baron de Villette. — Le regard des princes et les rayons du soleil. — « Petite harengue » présentée à une Abbesse. — Une cousine du Saint lui dit « son petit cas » : pourquoi elle ne songeait pas à la Visitation.
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DCCCLII — À M. de Blonay. — Le voyage de Milan n’est plus désespéré. — Un Saint qui a soin de ses dévots. — Plan du voyage ; compagnon à retenir.
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DCCCLIII — À Mme de Travernay. — Comment accommoder les prières avec beaucoup d’occupations, du matin jusqu’au soir. — Les oraisons jaculatoires. — Les afflictions du cœur. — Quelles sont les âmes que Dieu aime.
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DCCCLIV — À la Mère de Chantal. — Une âme à consoler.
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DCCCLV — À M. des Hayes. — Une amitié à l’abri de toute défiance. — Pourquoi, dans l’intention de prêcher à Saint-Benoit, le Saint préparait « un cœur tout nouveau » après dix ans de ministère épiscopal. — Opposition résolue du duc de Savoie aux prédications de François de Sales à Paris. — Perplexités d’un évêque.
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DCCCLVI — À M. de Bay. — Recommandations en faveur de trois étudiants de Savoie. — Nouvelles religieuses.
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DCCCLVII — À la Mère de Chantal. — Une jeune fille écartée de la Visitation pour cause de maladie.
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DCCCLVIII — Au Baron de Villette. — La contagion en pays de Vaud. — La petite cousine aimée tendrement de la Mère de Chantal.
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DCCCLIX — À Mme d’Escrilles. — Affection des religieuses de la Galerie pour la destinataire. — Les satisfactions sèches et les consolations savoureuses. — Messages.
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DCCCLX — À Mme de La Fléchère. — Ce que réservait le Saint dans ses demandes à Dieu. — Petites nouvelles. — Annonce du départ de la Galerie.
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DCCCLXI — À Mme de Grandmaison. — Comment le Saint entend témoigner sa sainte amitié. — Messages divers.
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DCCCLXII — À Mme de Peyzieu. — Le nom du cœur. — Les consolations du Jubilé. — Témoignages d’amitié pour la destinataire et sa famille. — Affliction fâcheuse et affliction courageuse. — La modération des affections ménagères ; grandement utile à la piété. — Une imperfection dont peu de gens s’abstiennent. — Les cœurs faibles et les cœurs forts
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DCCCXVIII — Au Marquis de Lans. — Intercession en faveur d’un capitaine dans la gêne et dans la vieillesse.
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DCCCXIX — À la Soeur de Blonay. — Ce qui rend certaines tentations inoffensives. — La petitesse et l’enfance spirituelle.
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DCCCXX — À la Mère de Chantal (Billet inédit). — Annonce de visiteuses.
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DCCCXXI — Au Duc de Bellegarde. — Menaces et prétentions des pasteurs protestants. — Précaution que propose l’Évêque de Genève pour les atténuer. — Éloge de M. Milletot.
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DCCCXXII — À M. le Mazuyer. — L’église de Gex ; espérances qu’elle donne. — Une difficulté et une impossibilité se rencontrent dans les lettres de naturalité obtenues pour les curés. — Une « viande friande » au XIXe siècle. — Remerciements du Saint. — Il ne fait pas le « refuseur », mais jamais il ne sera « prétendeur ». — Les francs serviteurs de Dieu, peu nombreux.
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DCCCXXIII — À M. des Hayes. — Requête de François de Sales. — À la diète de Bade. — Obstination des Bernois. — Un déplaisir du Saint.
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DCCCXXIV — À la Présidente Favre. — Une âme qui va bien. — L’amour de Dieu et la paix. — Les voies du Ciel. — Précaution contre les « babillards ». — Ce que pensait le Saint des Ursulines et des institutrices chrétiennes. — Les entreprises extraordinaires qui ne sont pas hasardées. — Un monastère de seize bonnes filles, où rien n’abonde ni ne manque. — La pauvre Thiollier.
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DCCCXXV — À Mme d’Escrilles. — Nouvelles de la Mère de Chantal. — Oratoire de la Visitation.
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DCCCXXVI — À la Mère de Chantal (Inédite). — Affectueuse grondérie. — La Mère de Chantal au milieu des tracas d’une installation. — Pourquoi doit-elle garder ses forces.
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DCCCXXVII — À Mme de La Fléchère. — Les bancs des femmes dans les chœurs des églises. — Elles peuvent toutefois y entrer. — Nouvelles de la Mère de Chantal et de la Congrégation. — Pourquoi il est mieux d’avoir moins.
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DCCCXXVIII — À la Présidente Favre (Inédite). — Les Ursulines et les petites filles de Chambéry. — Un défaut de l’éducation maternelle, assez fréquent, d’après le Saint.
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DCCCXXIX — À M. de Neuvicelle. — Recommandation réitérée en faveur d’une pauvre fille.
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DCCCXXX — À la Mère de Chantal. — Comment recevoir les remèdes imposés par l’obéissance et la raison. — Les croix qui répugnent aux sens et à la nature. — Dans la maladie, la Mère de Chantai doit être « brebis » et colombe
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DCCCXXXI — À la MÊME. — Une auditrice que François de Sales a vue au sermon ; pourquoi il n’a pas osé l’aborder. — Un sermon « fait hardiment et passionnément. » — Le dixième anniversaire d’un sacre. — Prédicateurs de l’Avent.
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DCCCXXXII — À l’Abbesse du Puits-d’Orbe. — Un voyage en Bourgogne empêché par un voyage à Turin. — Pour s’avancer dans l’amour de Dieu, une jambe infirmée est meilleure que l’autre.
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DCCCXXXIII — À Mme de Peyzieu. — À propos du dernier et du premier jour de l’an. — Souhaits de piété. — Exhortation à la douceur et humilité. — Le saint nom de Jésus et « l’odeur de son parfum. »
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DCCCXXXIV — À la Reine Mère, Marie de Médicis. — Requête en faveur des catholiques de Gex, pour obtenir en leur ville le rétablissement d’un ancien monastère de Carmes. — 316
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DCCCXXXV — À la Mère de Chantal — Une mère alarmée. — Avis charitable donné à un visiteur inopiné.
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DCCCXXXVI — À une dame (Fragment inédit). — La dévotion et la maladie. — En quoi consiste et ne consiste pas l’amour divin.
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DCCCXXXVII — À Mme de La Fléchère. — Les solides consolations. — La crainte et l’amour devant Dieu. — L’émondage spirituel. — Condition d’une parfaite retraite. — 319
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DCCCXXXVIII — À la Mère de Chantal. — L’oraison de la Mère de Chantal trouvée bonne par le Saint et agréable à Dieu. — Pourquoi et comment doit-elle se garder des fortes applications de l’entendement. — Se tenir en la présence de Dieu et s’y mettre : deux choses différentes. — Allégorie de la statue dans sa niche. — Marie-Madeleine. — Bonheur de vouloir aimer Notre-Seigneur. — Le sommeil empêche-t-il de se tenir en la présence de Dieu ?
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DCCCXXXIX — À la MÊME. — D’où vient l’amertume spirituelle. — Jésus-Christ est un Dieu de douceur.
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DCCCXL — À la MÊME. — La parole de Dieu et comment il faut la recevoir des uns et des autres. —
DCCCXLI — À Mmes de La Fléchère. — La tristesse des séparations. — Pleurons un peu, non toutefois beaucoup, « nos chers trépassés. » — Les âmes chrétiennes doivent supporter doucement la perte des parents. — L’oraison et la variété des affections qui viennent s’y mêler. — Particulariser les résolutions. — Le langage des yeux.
DCCCXLII — À la Mère de Chantal. — Un visiteur annoncé. — Pourquoi il faut lui faire un accueil dévo tement agréable. — Personne ne se repentira d’avo ir aidé la Visitation
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DCCCXLIII — Au Duc de Bellegarde (Minute inédite). — Gratitude et humilité du Saint.
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DCCCXLIV — À la Mère de Chantal. — Lumières et sentiments que recevait le Saint pour écrire le Traité de l’Amour de Dieu.
ANNEE 1613
- DCCCXLV — À Mme de Travernay. — Attitude de l’esprit humain en face des événements. — Considérations sur une mort prématurée. — Notre-Seigneur meilleur juge que nous de nos intérêts. — Consolations à la mère de l’enfant devenu un “brave petit saint”.
- DCCCXLVI — À la Mère de Chantal. — Le cœur de l’Évêque de Genève. — Un projet de Congrégation. — Le Traité de l’Amour de Dieu. — Nouvelle de la mort tragique du baron de Lux : compassion du Saint.
- DCCCXLVII — À M. DuNant (Inédite). — Pouvoirs donnés à un curé ; avis et recommandations diverses.
- DCCCXLVIII — Au Comte de Tournon (Inédite). — Assurance de dévouement. — Souhaits et bénédictions.
- DCCCXLIX — À M. de Châtillon. — Recommandation en faveur d’un nouveau converti digne d’assistance.
- DCCCL — À Mme des Gouffiers. — Les sentiments que le Saint aimait à trouver dans une postulante. — À la Visitation, “toutes choses sont basses”, excepté “la prétention” des Religieuses qui l’habitent.
- DCCCLI — À M. Fenouillet. — Remerciements pour de beaux présents ; le Saint en a fait part à ses amis. — Un plaisir interdit. — Souhaits et message.
- DCCCLII — À une Dame. — Dans quelles vues de foi il faut considérer les absences et les séparations définitives.
- DCCCLIII — À Mme d’Escrilles. — Affaires diverses. — Parmi les tracas temporels, il faut garder la sainte tranquillité et douceur de cœur.
- DCCCLIV — À la Mère de Chantal. — Un contrat qui va bien. — Promesse d’une visite et annonce d’une visiteuse.
- DCCCLV — À la Mère de Chantal (Billet inédit). — Mesures à prendre à l’ouverture d’un testament. — Décès de Mme de Miribel.
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DCCCXLVI — Au Père de Lesseau. — Le Saint décline les louanges d’un poète avec une discrète humilité.
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DCCCXLVII — À l’Abbesse du Puits-d’Orbe. — Solidité des affections plantées de la main de Dieu. — Intérêt que porte le Saint au Puits-d’Orbe. — Il faut faire souvent revivre les résolutions prises au temps de la ferveur. — Messages divers.
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DCCCXLVIII — À M. de Blonay. — Le destinataire n’ayant pas eu à se louer de son fils, “excessif en desseins”, le Bienheureux promet d’y porter remède. — Messages divers.
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DCCCXLIX — Au Duc de Savoie. — Pourquoi le Saint n’a rien entrepris contre l’abbé de la Tour. — Qu’on lui donne des commandements, il obéira.
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DCCCXLX — À Mme de la Croix d’Autherin. — La vocation du mariage et le moyen d’y devenir fort sainte. — L’obéissance au confesseur. — Règlement de vie. — Conseils variés. — La crainte des vices et l’amour des vertus. — Douceur et humilité. — Une besogne que Dieu paie de mille consolations.
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DCCCXLXI — À M. de Blonay. — Le Saint renonce par charité à la consolation d’avoir un ami pour compagnon de pèlerinage. — Voyage à Turin, à pied ou à cheval, suivant les circonstances.
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DCCCXLII — À M. des Hayes. — Détails rétrospectifs sur l’affaire Berthélot et l’internement de M. de Charmoisy. — Conseils adressés à Philothée par l’entremise du destinataire. — Le Saint désirerait avoir la liberté d’aller à Paris l’année suivante.
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DCCCXLIII — À Mme de Charmoisy. — Quand doit-on témoigner à Notre-Seigneur son amour. — Sympathies et dévouement pour la famille de Charmoisy éprouvée.
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DCCCXLIV — À la Mère de Chantal. — Les embarras d’un héritage.
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DCCCXLV — À la Mère de Chantal. — Une chape vraiment belle : d’où lui vient sa beauté ; symbolisme des dessins qui la décorent. — Bénie soit la main de la brodeuse.
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DCCCXLVI — À la Mère de Chantal. — Le travail permis à la Mère de Chantal : deux jours chômés. — Souhait et espérance du Saint. — Un visage pâle et un cœur vermeil.
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DCCCXLVII — Au Comte de Tournon. — Dévouement du Saint pour M. de Charmoisy. — Malice de ses ennemis et crédulité du prince de Nemours. — Berthélot et M. de Servette.
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DCCCXLVIII — À M. de Quoex. — Renseignements pour une dispense de mariage à obtenir.
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DCCCXLIX — À la Mère de Chantal (Inédite). — Une halte en Maurienne. — Sollicitude du Saint en voyage.
- DCCCXX — À la même. — Comment attendre l’issue d’une maladie. — Dans quels sentiments faut-il sortir de cette vie et acquiescer à la Providence divine.
MINUTE ÉCRITE PAR SAINT FRANÇOIS DE SALES POUR MADAME DE SAINT-CERGUES
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DCCCXXI — À Mme Dufour. — Mme de Saint-Cergues expose les raisons de son abjuration. — Après la grâce du Saint-Esprit, la confession de foi catholique a surtout dessillé ses yeux : elle a vu Jésus-Christ, unique objet de foi, d’espérance et de charité, l’exclusion de toute idolâtrie, le culte raisonnable des Saints. — Une “pauvre petite brebiète” se réunit au troupeau. — La lumière n’est pas toujours accompagnée de la facilité pour déduire les raisons de la croyance.
- DCCCXXII — Au Cardinal de Givry (Inédite). — La Sainte-Maison de Thonon. — Les Carmes réformés de Paul V.
APPENDICE
I. LETTRES ADRESSÉES À SAINT FRANÇOIS DE SALES PAR QUELQUES CORRESPONDANTS
A — Lettre du Baron de Lux
B — Lettre du Prieur et des Religieux de Saint-Claude
C — Lettre de P. Jean de Villars, de la Compagnie de Jésus
D — Lettre de Mme de Saint-Cergues
E — Lettre de D. Sens de Sainte-Catherine, Feuillant
F — Lettre de M. Jean-Louis de Chevron, Seigneur de Bon-Villard
G — Lettre de M. Michel d’Esne, Évêque de Toulon
H — Lettre du Chevalier Claude de La Verchère
II. PIÈCES DIVERSES
A — Saint François de Sales et M. Germonio
B — Lettre de M. Antoine des Hayes à M. de Charmoisy
C — Les Grands Pardonns d’Annecy
D — Lettre de M. Louis de La Tobrenette à M. Crotti
Glossaire des locutions et des mots surannés
Index des correspondants et des principales notes biographiques et historiques de ce volume
Table de correspondance de cette nouvelle édition avec les précédentes et indication de la provenance des Manuscrits
Reference time period: 1700
S. Francesco di Sales, “Œuvres de S. Francois de Sales – Tome 15 – Vol.5-Lettres“, Imprimerie J. Niérat, Annecy 1908.