Dans ce volume, sont rassemblées les Lettres écrites par Saint François de Sales entre avril 1608 et décembre 1610, un fragment essentiel de sa vie. À cette période, à l’âge de quarante ans, il est dans la pleine floraison de son activité humaine et surnaturelle. Ce moment charnière
de sa vie voit la publication de son ouvrage L’Introduction à la Vie dévote, la fondation de l’Institut de la Visitation et les tentatives répétées du roi Henri IV pour l’attirer à Paris.
Les lettres contenues dans ce volume sont directement liées à ces événements majeurs et offrent des aperçus précieux sur la vie intérieure et spirituelle du Saint, tout en retraçant les événements extérieurs. Le succès de l’ Introduction à la Vie dévote, fruit de la quête d’une vie religieuse plus profonde face aux désillusions du monde et à l’essor du protestantisme, est particulièrement mis en lumière. Cet ouvrage, conçu pour allier vie mondaine et dévotion, a rencontré un immense succès et reste un jalon dans l’histoire de la spiritualité chrétienne.
TABLE DES MATIÈRES
- Bref de Sa Sainteté Pie X
- Avant-Propos
- Avis au Lecteur
ANNÉE 1608
- CDXLIV — À Mme de la Fléchère. — Il faut premièrement « avoir patience d’être imparfait. » — Conseils pratiques pour mettre son esprit en posture de suavité. — À quoi doivent servir nos chutes.
- CDXLV — À Mme de Vallon. — Le Saint donne à la destinataire des nouvelles de son mari et de sa parenté.
- CDXLVI — À M. Fenouillet (Inédite). — Remerciements et félicitations pour l’envoi d’une oraison funèbre ; souhaits d’amitié offerts au destinataire, son futur frère dans l’épiscopat. — Message pour un ami commun.
- CDXLVII — Au Roi de France. — Pauvreté des curés du Bugey ; supplique en leur faveur.
- CDXLVIII — À Mme de la Fléchère. — L’humilité joyeuse dans les légers manquements. — Les exercices de dévotion pendant la journée. — Faire comme Notre-Dame : se tenir toujours d’une main à Notre-Seigneur. — Apprivoiser son cœur à la mansuétude. — Les prières vocales et l’oraison mentale.
- CDXLIX — À M. de Sahayes. — Henri IV désire attacher le Saint au service de l’Église de son royaume. — Humilité et désintéressement de François de Sales ; c’est la volonté du Pape qui lui manifestera la volonté de Dieu.
- CDL — Au même. — Le Saint voudrait savoir de son ami les intentions de Henri IV à son égard. — Diverses raisons persuadent l’Évêque d’attendre sans inquiétude la suite des événements ; il ne veut que la volonté de Dieu. — Témoignages d’amitié. — Message pour Mère de Montpellié.
- CDLI — À la Baronne de Chantal. — Rien ne se fait que sous la conduite de Dieu. — Le Saint ne veut que Dieu pour son partage. — L’objet de ses considérations en l’oraison.
- CDLII — À la même. — Il faut tout faire avec une diligence tranquille. — On veut tirer l’Évêque de sa terre et de son « parentage » ; sentiments que lui inspire ce projet. — Le rendez-vous de l’âme du Saint.
- CDLIII — À Mme de Vallon (Inédite). — Témoignages de dévouement à une parente. — Nouvelles et messages.
- CDLIV — À Mlle de Chastel. — Le vœu de chasteté : considérations qu’il faut faire pour s’y préparer. — Éloge de la sainte chasteté : vertu vraiment céleste, qui consacre à Dieu les âmes et les corps, vouée d’abord par Notre-Dame, et après elle, par toute la troupe des cœurs vierges. — Formule de ce vœu ; il fait de notre corps une sainte relique, un calice consacré.
- CDLV — À Mme de la Fléchère. — Un moyen commode d’acquérir les solides vertus : se mettre en patience avec opiniâtreté. — Pour réussir dans les affaires, compter sur l’assistance de Dieu et user d’une douce diligence. — Les affaires de ce monde et les maisonnettes des petits enfants. — La chose la plus importante. — Toujours recommencer : le meilleur moyen pour achever la vie spirituelle.
- CDLVI — À M. Fenouillet (Inédite). — Éloge de Des Hayes, « le grand ami » de Pierre Fenouillet et de l’Évêque de Genève. — C’est surtout sur les petits lacs d’eau douce que la barque du Saint se plaît à voguer.
- CDLVII — Au Père Comes. — Différend entre les chanoines du Chapitre de Saint-Pierre et les Augustins de Seyssel ; pour le régler, une entrevue est proposée par le Saint. — Assurance d’affectueux dévouement.
- CDLVIII — À Mme de la Fléchère. — Deux choses qu’il faut joindre ensemble. — Comment reprendre son cœur quand il a failli.
- CDLIX — À Mlle de Chastel. — Dieu protège les vœux qu’il a inspirés. — Il n’est pas toujours possible ni à propos de fuir, mais il est toujours nécessaire de combattre avec opiniâtreté. — Les afflictions qui aident à bien servir Dieu. — Conseils pour l’oraison. — Bonheur de s’être consacré à Notre-Seigneur.
- CDLX — Au Cardinal Arrigoni. — Le Saint demande au Saint-Siège le renouvellement de plusieurs permissions qui doivent faciliter son ministère et celui de ses prêtres.
- CDLXI — À la Baronne de Chantal. — Il faut aimer l’attente que Dieu impose à l’accomplissement de nos désirs. — Projet de Voyage en Bourgogne. — Le sacre de l’Évêque de Lausanne. — Le Saint aimé de « beaucoup de bons villars ». — Pensées qui lui sont venues quand il faisait oraison. — « Il faut bien que les filles soient un petit jolies. » — Portrait du P. de Monchy. — Le Frère Matthieu. — Pour se mêler d’exorcismes, il ne faut pas être trop crédible. — Les femmes et le culte ; la part qu’elles peuvent y prendre. — Retour d’apostats. — Nouvelles et messages. — Mme de Charmoisy « chemine fort bien ».
- CDLXII — À la Présidente Brulart. — Le Saint n’est « point homme extrême » ; il espère obtenir davantage de Rose Bourgeois par une entrevue. — Ne pas trop s’attacher aux pratiques de piété de son choix. — Dieu veut être servi par les exercices compatibles avec les devoirs d’état. — Estime du Saint pour l’Ordre du Carmel.
- CDLXIII — À un Cardinal. — Un reproche immérité. — Les Savoisiens ne lisent pas de mauvais livres.
- CDLXIV — À la Baronne de Chantal. — Transcription de l’Introduction à la Vie devote. — Le projet de la Visitation sourit de plus en plus au Saint Évêque. — Son amour pour Notre-Seigneur. — Nouvelles de la ferveur de Mme de Charmoisy. — Bonheur de ne prétendre qu’à Dieu.
- CDLXV — À M. de Bérulle. — Retour à la foi d’un apostat ; M. de Bérulle y a beaucoup coopéré. — Le Saint se réjouit d’apprendre le bien qui se fait à Paris par son entremise et celle de ses amis.
- CDLXVI — À la Baronne de Villette. — L’Académie Florimontane et ses premiers membres. — Le Saint promet sa visite au châtelain de Derée, son parent, nouvellement marié.
- CDLXVII — Au Père Dubouloz (Inédite). — Élection d’un prieur au couvent des Dominicains d’Annecy ; l’élu est prié avec une aimable insistance d’accepter cette charge.
- CDLXVIII — À Mme de la Fléchère. — Conseils à une femme chrétienne. — L’humeur mélancolique : circonstances qui la favorisent ; nécessité et moyens de la combattre. — Une parole de Sainte Angèle de Folligno.
- CDLXIX — À la même. — La tranquillité d’âme, mère du contentement et fille de l’amour de Dieu. — Les sujets de se mortifier plus grands dans le monde qu’en Religion. — Ne s’astreindre « que tout bellement » aux exercices de piété, est chose conseillée en certains cas. — Attitude devant la souffrance. — Qu’il est permis de se plaindre à Dieu, et à quelle condition. — Notre-Seigneur aime ceux qui souffrent.
- CDLXX — À la même (Inédite). — Dispositions, pieux espoir du Saint à l’approche d’une naissance.
- CDLXXI — À M. de la Fléchère. — Félicitations, prédictions, prières du Saint Évêque répandues sur un berceau.
- CDLXXII — À Mme de la Fléchère. — La vertu des vertus. — Comment servir le Maître. — Le moyen de faire glorifier Dieu par le prochain. — Quand les mortifications sont interdites par une santé délicate, que faut-il faire ?
- CDLXXIII — Au Duc de Savoie (Inédite). — L’Évêque de Genève a averti le duc qu’il ira en Bourgogne pour une affaire de famille.
- CDLXXIV — À Mme de Charmoisy. — La « soigneuse assistance » des bons Anges. — Exhortation à progresser dans l’amour de Dieu. — Message pour une ancienne Abbesse.
- CDLXXV — À la Baronne de Chantal. — La Baronne est prévenue que le Saint est aux « portes » de Monthélon.
- CDLXXVI — À l’Abbesse du Puits-d’Orbe. — Encouragements à persévérer dans de saintes résolutions.
- CDLXXVII — À une religieuse. — Dieu agrée extrêmement la résignation dans les maladies et l’obéissance au médecin. — Les croix qu’il faut baiser avec amour.
- CDLXXVIII — À la Baronne de Chantal. — Anne-Jacqueline Coste offre spontanément au Saint de servir les futures religieuses qu’il méditait d’établir.
- CDLXXIX — Aux Ecclésiastiques du Bugey, du Valromey et de Genève. — Les ecclésiastiques des pays exemptés des dîmes doivent envoyer à Lyon un député pour régler le paiement d’un don.
- CDLXXX — À M. Dunan. — Servir Dieu où l’on est. — Le labeur patient n’est jamais stérile devant Dieu. — Le désir du changement empêche le succès de l’œuvre présente.
- CDLXXXI — À la Baronne de Chantal. — Accueil que fait le Saint aux désirs et aux recommandations de la Baronne de Chantal. — Dieu seul est un guide indispensable. — Sortir du monde, pour plusieurs, n’est pas toujours sortir d’eux-mêmes et de leur amour-propre. — La fin qu’on doit se proposer en quittant le siècle. — Une sainte Fondatrice dont la Congrégation semble donner à penser au futur Fondateur de la Visitation. — Conseil du Saint à « ceux qui se mêlent des âmes » et aux personnes de piété. — Son affection pour le père et les enfants de sa fille spirituelle. — La jeune fille et le seau d’eau. — Messages divers.
- CDLXXXII — Au Père Polliens (Inédite). — Témoignages d’affection pour les P.P. Jésuites de Chambéry et de sympathique dévouement à une pieuse chrétienne qui soupirait après le cloître.
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CDLXXXIII — À Mlle Clément. — Se résigner humblement, si, malgré tous nos efforts, notre désir n’est pas accompli. — Les âmes que Dieu aime « en tout et par tout ».
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CDLXXXIV — À la Baronne de Chantal. — La fête de la Dédicace ; les cœurs et les corps, temples mystiques dédiés à Dieu par les vœux. — La dévotion du Rosaire à Annecy. — La Baronne de Chantal à l’hôpital de Beaune.
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CDLXXXV — À Mme de la Fléchère. — Les vendanges. — Comment l’Époux divin des âmes nourrit leur espérance et repaît leur amour. — Les vendanges spirituelles. — Le côté du Sauveur percé sur la croix. — Les choses temporelles doivent servir « d’échelon » aux spirituelles. — Comment il faut considérer ses fautes.
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CDLXXXVI — À l’ancienne Abbesse de Sainte-Catherine. — Souhaits de ferveur par le don du cœur à Dieu. — N’aimer rien qu’en lui, par lui et pour lui.
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CDLXXXVII — À la Baronne de Chantal. — Humilité du Saint ; sa confusion et sa peine de se voir estimé. — Se tenir dans l’indifférence.
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CDLXXXVIII — À Mme de la Fléchère. — L’insensibilité et l’indifférence religieuse : définition de l’une et de l’autre ; celle-ci est un grand don de Dieu.
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CDLXXXIX — Aux Syndics ou aux Messieurs du Conseil de Rumilly. — L’église paroissiale de Rumilly a besoin d’une restauration : difficultés de l’entreprise ; encouragements à les vaincre. — Affection du Saint pour la ville ; son humilité.
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CDXC — À Mme de Mieudry. — Les menues pensées de vaine gloire et les mouches. — Les larmes et les résolutions, « la tendreté de cœur et la fermeté de cœur » : choses bien différentes. — Les pensées importunes. — Ne pas tourmenter son âme.
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CDXCI — À Mlle de Bréchard. — Recommandations pressantes de garder son cœur, de le mortifier et de le tenir en même temps dans la joie. — Messages.
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CDXCII — À la Baronne de Chantal. — Amiable partage de biens pour faciliter le mariage de Bernard de Sales.
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CDXCIII — À Mme de la Chambre. — Pourquoi il ne faut pas remettre les Vêpres après souper. — Le moyen d’être consolée pour cette Vie et pour l’autre. — Messages divers.
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CDXCIV — À la Baronne de Chantal. — Anniversaire d’une consécration épiscopale. — Sentiments de François de Sales à propos de cet événement.
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CDXCV — À Mme de Traves. — Témoignages d’affection dévouement. — Ingénieuse m anière de dem ander à une âme chrétienne si elle aime Dieu; que faire quand on aime bien Dieu
- CDXCVI — À la Baronne de Chantal. — Départ de Bernard de Sales pour la Bourgogne. — Souhaits et actions de grâces à propos de son mariage. — Le Saint déplore les dangers qu’encourt une âme infidèle à ses engagements sacrés et bénit Dieu qui l’a gardée de l’erreur dès son jeune âge. — Les saints Pères et l’hérésie. — Un ministre converti. — « Mademoiselle de Perdreauville » et sa famille. — La manière de prêcher contre les hérétiques.
- CDXCVII — À l’Abbesse du Puits-d’Orbe. — Le Saint demande des nouvelles de l’Abbesse. — Conseils divers. — Le moyen de tirer profit de ses infirmités. — Exhortation à la dévotion. — Assurance de dévouement.
- CDXCVIII — À Mme de Rochette (Inédite). — Un sujet inépuisable de correspondance. — Le Saint envoie à la destinataire des chansons spirituelles.
- CDXCIX — À M. de Bretagne. — Souhaits de courtoisie à un magistrat à la fin d’une année. — Pourquoi la fuite des années ne doit pas nous attrister.
- D — À la Baronne de Chantal. — Dieu favorise le dessein de la Visitation en lui préparant des âmes d’élite. — Une prétendante ; estime ce qu’en fait le Saint Évêque.
Fragments de lettres à la Baronne de Chantal
1605-1608
- DI — Ne jamais reprendre le temps fixé pour l’oraison. — Le crucifix matériel et le vrai Crucifix. — Comment s’accuser en confession. — La simplicité, l’amitié, la petitesse. — Que faire quand il arrive des pensées mauvaises.
- DII — Exhortation à la douceur dans les relations avec le prochain. — Comment réprimer les défauts de nos inférieurs. — Aveu du Saint. — Les vainqueurs du mal.
- DIII — Avoir son âme en ses mains ; comment elle nous échappe et les moyens de la reprendre. — Obligation d’une âme qui est toute à Dieu. — Le présent, le passé et l’avenir, et l’emploi qu’il convient d’en faire pour servir Notre-Seigneur comme Il le désire.
- DIV — (Fragment inédit). — Un « point d’importance ». — Les feuilles, les fleurs et les fruits des amitiés mondaines. — Les petits renardeaux et les mouches mortes. — Les amitiés mauvaises et les amitiés de charité ; différence de leurs allures. — Il faut couper les premières, et « au couteau tranchant ». — Le trouble de la Sainte Vierge à la vie d’un Ange doit servir de leçon aux âmes pudiques
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DV — Vertus, exercices, lieu, rang, gloire et couronne des vœux. — À qui faut-il laisser les extases et la contemplation de l’Essence divine ? — Tableau rapide des vertus que la très Sainte Vierge a pratiquées depuis Nazareth jusqu’au Calvaire. — Les petites et les grandes vertus ; c’est par les unes qu’on arrive aux autres. — La « femme forte » et ce qu’il faut faire pour lui ressembler. — Dieu, comme un bon père, accommodé ses pas aux nôtres. — Comment fortifier son cœur contre Satan et le rendre « imprenable »…
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DVI — L’esprit naturel et l’esprit chrétien, ou l’esprit de la foi ; les rébellions du premier n’empêchent pas ce dernier de subsister et d’avoir finalement la victoire. — La barque, l’aiguille marine et la « belle étoile ». — Que doit faire l’âme chrétienne au temps de la « dérélégation » ? — Comment se conduire dans les assauts contre la foi et dans les tentations de vanité et de vaine gloire. — Les assoupissements et les distractions. — Les nuages du ciel atmosphérique et les brouillards de l’esprit. — Porter remède au mal, mais se tenir dans l’indifférence à l’égard des résultats. — Le moyen d’être parmi le monde, sans y avoir son cœur.
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DVII — Une grâce que le Saint sollicite de Notre-Seigneur pour Mme de Chantal. — La présence de Dieu dans l’âme chrétienne, d’après Sainte Thérèse et Saint François de Sales.
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DVIII — La charité envers le prochain ne doit pas nous faire couvrir le mal. — Blâmons le vice, épargnons les personnes. — Comment nous devons considérer les actions du prochain. — La charité et les pécheurs…
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DIX — À un inconnu (Fragment inédit). — Regrets adressés à un supérieur de n’avoir pas su le rencontrer pour lui baiser les mains…
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DX — À la Baronne de Chantal. — L’impatience de Mme de Boisy de voir la conclusion du mariage de son fils Bernard. — Le Saint partage ce même désir, mais sans impatience
ANNÉE 1609
- DXI — Aux Syndics de Rumilly. — Intercession du Saint auprès des Frères Mineurs Capucins en faveur de la ville de Rumilly…
- DXII — À Mme de La Fléchère. — Les assoupissements des sens et la volonté résolue d’être tout à Dieu. — La miséricorde de Dieu surpasse la misère de ceux qui « en Lui ont logé leurs esperances. » — Le meilleur remède contre l’appréhension de la mort. — Ne pas examiner ce qui est fait, mais penser à ce qui est à faire. — Comment haïr nos défauts. — Ce qui conserve « nos tares. » — Désirs illusoires de changement ; c’est nousmême
qu’il faut changer. -
DXII — Espérances. — Le meilleur remède contre l’appréhension de la mort. — Ne pas examiner ce qui est fait, mais penser à ce qui est à faire. — Comment haïr nos défauts. — Ce qui conserve « nos tares ». — Désirs illusoires de changement ; c’est nous-mêmes qu’il faut changer.
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DXIII — À la même. — Quand les mortifications ne manquent pas, ne pas en désirer d’autres. — De quelle plainte il se faut garder en toute situation. — Les « petites tricheries quotidiennes ». — La confiance filiale des petits enfants, proposée aux âmes qui aspirent à l’extrême perfection. — Après les chutes, il ne faut jamais se décourager. — Dans quel cas il est sage de payer ce qu’on ne doit pas.
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DXIV — À Mgr de Villars. — L’Introduction à la Vie dévote: circonstances historiques de la publication de cet ouvrage. — Pour quelles raisons l’auteur croit devoir laisser aux grands ouvriers les grands desseins. — Ouvrages moins laborieux qu’il médite d’écrire : « un livret » sur l’Amour de Dieu, un petit calendrier et journalier pour l’âme dévote, un traité de la prédication, une méthode de convertir les hérétiques. — La bibliothèque du Saint en Chablais. — Jugement de Mgr Fenouillet sur l’Introduction.
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DXV — À la Baronne de Chantal. — Souhaits de bienvenue et offrande d’un gîte. — Envoi d’exemplaires de l’Introduction à la Vie dévote. — Joie du Saint de voir que tous les siens parlent avec respect et affection de la petite Aimée et de sa mère. — Mme de Chantal attendue à Sales. — De quels documents l’auteur compte se servir pour une seconde édition de l’Introduction. — L’Abbesse du Puits-d’Orbe et son frère. — Affection de François de Sales pour Marie-Aimée.
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DXVI — À la Présidente Brulart. — En quels cas une chrétienne doit être indifférente au choix du confesseur. — Les bonnes intentions et les mauvaises pensées. — Dévotion de François de Sales à Sainte Thérèse. — Intérêt qu’il porte à une veuve. — Pourquoi les vertus des femmes mariées sont agréables à Dieu. — Unique souci d’une veuve chrétienne. — Il faut être douce et suave parmi les siens, et mettre un soin particulier à le devenir.
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DXVII — À Mme de La Fléchère. — Analyse d’une tentation de découragement. — Comment doit s’exercer l’apostolat des femmes chrétiennes hors de leur maison. — Conduite à tenir lorsque nous sommes préoccupés de savoir si nous avons bien fait. — L’amour-propre et l’amour de Dieu. — Les heures de sommeil et la santé. — Pourquoi le monde est quelquefois plus propice que le cloître à l’acquisition des vertus.
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DXVIII — À la Présidente Brulart. — Les menues et fréquentes impatiences ; moyens de les surmonter. — Il faut être colombe à l’oraison, mais aussi dans son foyer et avec son entourage.
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DXIX — À Mgr Camus. — Panégyrique en raccourci de saint Joseph. — Tableau de la Sainte Famille. — François de Sales accepte avec joie de « mettre la mitre en tête » au futur Évêque de Belley.
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DXX — À la Présidente Brulart. — Trop différer la première Communion : grande erreur. — Le visage pâle et l’âme vermeille. — Envoi d’un exemplaire corrigé de l’Introduction.
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DXXI — À Mgr de Villars. — Une « petite opiniâtreté » de saint François de Sales. — L’Archévêque ayant refusé le titre de Monseigneur, le Bienheureux s’excuse de le lui donner encore et lui expose les raisons de sa respectueuse obstination.
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DXXII — À l’Abbesse du Puits-d’Orbe. — Faire le bien joyeusement, sans s’attrister de ses défauts. — Tenir la clôture. — Les confesseurs extraordinaires : manière d’observer la prescription du Concile de Trente. — L’administration des pensions et les avis que doit donner l’Abbesse dans ses Chapitres. — Rappeler au monastère une Religieuse absente et par quels procédés. — Conseils variés sur l’oraison, la lecture spirituelle, etc. — Acquérir un grand courage au service de Notre-Seigneur.
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DXXIII — À Mgr Fenouillet. — Le destinataire ayant écrit au Saint une lettre d’affectueuse courtoisie, celui-ci lui envoie l’expression de son respect et de sa confiance.
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DXXIV — À Mme de Traves. — Le monde « n’est qu’un vrai trompeur ». — Considérations proposées à une personne qui songeait à se marier. — L’amour du Sauveur, de Notre-Dame et des Saints à la très sainte unité de Dieu.
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DXXV — À Mgr Fenouillet (Inédite). — Annonce de nouvelles. — Messages. — Le nouvel Évêque de Belley. — Jean-Pierre Camus songe à faire une visite à saint François de Sales. — « Une lettre toute d’amour ».
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DXXVI — À l’Abbesse du Puits-d’Orbe. — Une cure difficile ; le charitable Saint prend l’avis d’un gentilhomme et d’un « vieil chirurgien » et dépêche à la malade le fils de celui-ci. — Conseil donné à l’Abbesse de renoncer au voyage de Savoie. — Comment Dieu lui témoigne son amour paternel.
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DXXVII — À la même. — Offre de services spirituels. — Visite annoncée. — Nécessité de donner suite à de bonnes résolutions. — Exhortation à faire « beaucoup d’élans de cœur sur Jésus crucifié ».
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DXXVIII — À Mme de La Fléchère. — Après un premier « choppement », que faire ? — Comment apaiser son cœur quand il est prévenu contre le prochain. — Il faut avoir de la compassion pour celui-ci et suivre pour nous-mêmes l’humilité.
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DXXIX — Au Duc de Savoie. — Recommandation en faveur d’un officier sans ressources.
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DXXX — À Mme de Cornillon, sa sœur. — Les sentiments que doit exciter la perte des parents. — Mort de Mme de la Thuille. — Le meilleur des souhaits. — Comment il faut supporter les ennuis que donnent les affaires temporelles.
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DXXXI — À Mlle de Bréchard. — Dieu le Père et ses images vivantes sur la terre. — Que l’on ne puisse pas communier sans ouïr la Messe, c’est une opinion nullement fondée. — Les Communions que nul ne peut refuser. — La plus solide des nourritures au Ciel et sur la terre.
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DXXXII — À Mme de La Fléchère. — La réponse de La Faye au livre de la Croix ne vaut pas la peine d’une réplique. — Zèle de Mlle de Mieudry pour la foi catholique. — Messages. — Quel est le vrai esprit de Jésus.
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DXXXIII — À la Baronne de Chantal. — L’âme humaine et les afflictions de cette vie. — Une réflexion de saint Grégoire. — Une vraie chimère. — L’esprit de foi et la douleur. — Les progrès d’un Saint dans l’oraison.
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DXXXIV — À Mlle de Bréchard. — L’art de cheminer sur la corde et « le baston de contrepoids » pour marcher assurément parmi les périls du monde. — On ne peut jamais atteindre le souverain degré de l’amour divin. — Pourquoi Dieu nous a donné notre cœur.
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DXXXV — À la Présidente Brulart. — L’Abbesse du Puits-d’Orbe désire venir en Savoie ; réserves que fait le Saint à propos de ce projet de voyage. — Il se dispose à sacrer l’Évêque de Belley. — Comment réparer « le manquement » de la méditation. — Pourquoi Dieu quelquefois empêche la méditation. — Les « vraies continuelles oraisons » et « la plus digne offrande ». — La sainte Communion en dehors de la sainte Messe. — Faisons le bien avant de mourir, mais toujours avec discrétion. — Le bon plaisir de Dieu est meilleur que le nôtre.
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DXXXVI — À la Baronne de Chantal. — Quelques-unes des « mille douces pensées » du saint Évêque pendant qu’il portait le Saint-Sacrement. — Le pectoral de l’ancienne Loi et l’ostensoir eucharistique. — Effusions de piété. — Nouvelles et messages.
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DXXXVII — À Mme de Cornillon, sa sœur. — L’amitié d’un Saint pour sa sœur. — Exercice recommandé pour s’avancer en l’amour de Dieu. — Quand les affaires réussissent-elles plus à souhait. — Pourquoi Mme de Cornillon paraît à son frère plus digne d’affection.
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DXXXVIII — Au Prieur de Talloires. — La réforme dans un monastère demande une grande longanimité dans l’exécution et un cœur généreux. — L’exemple de Notre-Seigneur. — Les exercices de piété ; l’habit, le mobilier, etc. ; la « composition extérieure » et son importance dans une Communauté. — Conditions du succès.
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DXXXIX — À M. de Charmoisy. — M. de Charmoisy s’apprête à quitter Turin. — Un « ennemi juré des cours ». — Le Saint se réjouit à l’espoir de posséder son ami avec plus de loisir.
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DXL — À la Baronne de Chantal. — La quatrième chose tout à fait ignorée de Salomon. — L’ange gardien de Celse-Bénigne. — L’unique ambition d’un Saint. — L’Évêque de Genève trouve son âme « un peu plus à son gré que l’ordinaire », et pourquoi. — Ce qu’il veut, d’une volonté inviolable. — Le gui et les imperfections involontaires.
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DXLI — À M. Bellot (Minute inédite). — Les conditions de la conférence contradictoire proposée par les Genevois sont acceptées par le Saint. — Celui-ci désire y apporter non un esprit de contention, mais de bonne foi ; entre les difficultés, il faut choisir les plus importantes et les éplucher. — Une dernière garantie à prendre.
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DXLII — À M. Deshayes. — Remerciements du Saint à son « arch’intime » qui voulait le faire venir à Paris. — Les obédiences qui entravent sa liberté. — Invitation pour l’année 1611 à prêcher dans la chaire de Saint-Gervais ; hésitations de François de Sales pour accepter l’intervention de Henri IV. — Nouvelles de M. de Charmoisy et de sa rupture avec le duc de Nemours. — Le Saint désire rétablir le mari de Philothée. — Un projet de pèlerinage à la Sainte-Baume. — Mme de Maignelais. — La deuxième édition de l’Introduction à la vie dévote.
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DXLIII — Au Duc de Nemours. — Recommandation en faveur d’un gentilhomme, pour lui obtenir de succéder à son père dans la charge de juge-majeur du Faucigny.
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DXLIV — Au Père de Bonivard (Minute inédite). — Raisons et avantages d’offrir aux ministres de Genève une conférence publique. — Manière de la proposer. — En quel cas il serait à propos d’engager la controverse sur les Versions. — Comment présenter la doctrine catholique, et de la prudence requise en la formulant. — Derniers avis
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DXLV — À Mme de La Fléchère. — L’attitude d’une âme chrétienne durant la maladie. — Douceur et tranquillité. — Comment ne jamais trébucher.
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DXLVI — Au Prieur de Pommiers. — Prière au destinataire de s’entremettre auprès des sujets de sa Maison qui refusaient de payer les prémices, à leur curé.
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DXLVII — Au Président Favre. — Négociations du Saint dans le pays de Gex. — Une première Messe après soixante-treize ans d’interruption. — La traversée de Genève.
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DXLVIII — Au Duc de Savoie. — François de Sales offre au duc la deuxième édition de L’Introduction à la Vie dévote. — Culte du bienheureux Amé en Savoie et en Bourgogne. — Supplique pour obtenir que le président Favre puisse transmettre à son fils René la charge de sénateur.
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DXLIX — Au Roi de France. — Remerciements adressés à Henri IV à propos du rétablissement du culte catholique dans deux paroisses de Gex ; « bien infini » qui en résultera. — Le digne héritier et imitateur de saint Louis et de Charlemagne. — Zèle et prudence du baron de Lux.
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DL — À Mme de La Fléchère. — Les suites d’une chute. — Annonce d’un deuxième voyage en Bourgogne. — Les Saints ne sont pas « despiteux ». — Les curiosités qu’il faut éviter.
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DLI — À Mme de La Forest (Inédite). — Les « âmes révesches » et le Saint. — Pourquoi la patience est nécessaire à ceux qui veulent servir les âmes. — Une Religieuse qui avait besoin de changer d’air. — Les promenades dangereuses. — Envoi d’un exemplaire de L’Introduction.
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DLII — À la Baronne de Chantal. — À une journée de Monthélon, le Saint prévient la Baronne qu’il va arriver. — Il demande « un petit bain de sauge » pour son pied à peine guéri d’une chute récente.
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DLIII — À M. de Bérulle. — Sympathie très effective de François de Sales pour le dessein de M. de Bérulle. — Il conseille une démarche auprès du Nonce.
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DLIV — Aux Magistrats de la ville de Salins. — Acceptation d’une invitation à prêcher dans la ville de Salins.
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DLV — À la Baronne de Chantal. — Pourquoi nous sommes en ce monde. — Absoudre, c’est donner Jésus-Christ. Le traité du Père Arias. — Le corporal envoyé par la Baronne.
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DLVI — À Mme de Boisy, sa mère. — Mme de Boisy est priée par son fils de co n su lter le m édecin Marc Offredo. — Pourquoi elle doit se dégager de certaines « petites pensees. » — Le « petit advis » que le Saint donne clairem ent à sa « chere Dame et bonne Mere »
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DLVII — À la Baronne de Chantal. — Retour de François à Annecy ; il en donne avis à la Baronne de Chantal. — L’abandon de tout notre être au bon plaisir divin ; bonheur qu’il procure. — Le sacré oratoire de saint Jean.
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DLVIII — À M. Deshayes. — Nouvelles rétrospectives d’un voyage en Bourgogne. — Pèlerinage différé. — François de Sales accusé auprès du duc de Savoie d’avoir fait une tentative pour reprendre son autorité temporelle de prince-évêque de Genève ; le fondement de cette calomnie. — Un mariage désiré. — Dévouement des amis de M. de Charmoisy pour le tirer de sa retraite. — Trois dames destinataires de L’Introduction à la Vie dévote.
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DLIX — Au Père Possevin (Inédite). — Les fruits des Exercices de saint Ignace. — Progrès des conversions autour de Genève. — Une paysanne missionnaire. — Rétablissement du culte catholique à Gex. — Un grand nombre de Genevois ébranlés ; obstacles qui s’opposent à leur retour. — Le Saint raconte comment il a traversé Genève à cheval et l’émoi que son passage a suscité dans la ville. — Le mauvais vouloir des ministres à l’égard des propositions de François de Sales. — Comment L’Introduction à la Vie dévote a vu le jour ; cause de son succès. — Offrande d’un exemplaire au destinataire.
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DLX — À la Baronne de Chantal. — Promesses pour le recrutement de la future Congrégation. — Le passage par Genève et les calomniateurs. — Le dessein de François de Sales traversé. — Occupations, affections pieuses, souvenirs évoqués au cours du voyage d’un apôtre. — Les grands désirs qui remplissent le cœur d’un Saint. — Une affection que les paroles du monde ne sauraient traduire.
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DLXI — À la Mème. — Ferveur d’une postulante. — Les austérités corporelles et les mortifications spirituelles ; celles que le Saint désire pour les filles de sa future Congrégation.
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DLXII — À Mme de La Fléchère. — Une contemplation, source de profonde tranquillité. — Sentiments qui doivent animer un cœur grandement épris de Jésus-Christ crucifié. — Examen de prévoyance fort utile. — Une pauvreté qui n’en est pas une. — L’appréhension de l’éternité et l’appréhension des accidents de cette vie mortelle. — La révérence en vers Notre-Seigneur ; en quoi surtout elle consiste.
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DLXIII — À la Baronne de Chantal. — La succession des années et l’éternité. — Souhaits de nouvel an. — Le temps de Dieu ; récompense promise à ceux qui en usent bien. — Comment tenir son cœur solitaire au milieu de la foule.
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DLXIV — À Mme de La Fléchère. — L’unique guérison de certaines épreuves spirituelles. — Le sang du Calvaire et la clarté du Thabor ; de ces deux montagnes, quelle est la plus désirable et la plus fructueuse. — Le pain sans sucre et le sucre sans pain. — Pourquoi la connaissance de notre néant ne doit pas nous troubler.
ANNÉE 1610
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DLXV — À une dame inconnue. — Qu’il faut ravaler son courage et en même temps l’exalter. — L’unique leçon du divin Maître. — Une bonne condition pour faire des progrès spirituels. — Deux choses conseillées contre les assoupissements en l’oraison.
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DLXVI — À la Baronne de Chantal. — La première tourière de la Visitation offre ses services.
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DLXVII — Au Duc de Savoie. — Sainteté du bienheureux Amédée. — Estime qu’on en fait en Savoie. — C’est un devoir pour le duc de désirer la canonisation d’un tel ancêtre et de s’employer à l’obtenir.
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DLXVIII — À un gentilhomme. — Charité du Saint pour ses amis : au premier il propose une honorable alliance pour l’un des siens ; il fait à l’autre de vives instances pour qu’il pardonne à son fils repentant.
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DLXIX — À l’Abbesse du Puits-d’Orbe (Inédite). — Un chirurgien espagnol est prié de s’employer à guérir l’Abbesse. — Encouragements. — Comment le Saint s’excuse de parler brièvement de Dieu.
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DLXX — À Mme de Cornillon, sa sœur. — Que faire à mesure que les années s’en vont. — Les mères chrétiennes et Notre-Seigneur, qui se comporte au rebours des autres enfants.
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DLXXI — Aux Échevins de Salins. — Les prédications qu’il avait promises à Salins étant empêchées, le Saint les veut « contreschanger en autant d’oraisons » pour la ville.
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DLXXII — À la Baronne de Chantal. — Pourquoi l’Évêque de Genève n’alla pas à Salins en 1610. — Une âme dont il espérait faire quelque chose de bon. — Les souhaits, le cœur et la plume d’un Saint.
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DLXXIII — À M. de Blonay. — La nouvelle Congrégation étant sur le point de s’établir, François de Sales demande au destinataire qu’il veuille bien lui amener sa fille après Pâques.
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DLXXIV — À M. de Bay. — Recommandation en faveur d’un jeune étudiant savoyard.
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DLXXV — Au Duc de Nemours. — François de Sales intercède auprès du duc pour obtenir un secours au chanoine-poète Nouvellot.
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DLXXVI — À la Baronne de Chantal. — Un cœur plus que paternel, dégagé et fervent au milieu des tracas. — Les petites fleurs et les arbres en Savoie, quand souffle la tempête. — Petite pluie abat grand vent. — La rosée de la Croix. — Rendez-vous pendant le Carême : l’aimable et saint domicile du Cœur de Jésus Notre-Seigneur. — Ce qui « contenta fort » le Saint. — Il n’était point dur aux chrétiennes d’Annecy, et pourquoi. — Sermon tout de flammes.
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DLXXVII — À Mme de Cornillon, sa sœur. — Heureuse fin de Mme de Boisy. — Une promesse mutuelle. — Les regrets dans les séparations. — Paix joyeuse de la mère du Saint.
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DLXXVIII — Au Duc de Savoie. — Lettre d’introduction auprès de Charles-Emmanuel, en faveur d’un ami.
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DLXXIX — À M. Deshayes. — Une douloureuse satisfaction. — Mme de Boisy assistée par son fils ; rapide éloge de la défunte. — Pourquoi le Saint n’a pas de particulières nouvelles à communiquer.
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DLXXX — À M. Fenouillet. — François de Sales apprend à son ami la mort de Mme de Boisy.
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DLXXXI — À la Baronne de Chantal. — Les sentiments du Saint à la mort de sa mère. — François de Sales raconte à Mme de Chantal comment Mme de Boisy a fini ses jours et combien il pleura sur « cette bonne mère ». — Invitation à venir en Savoie pour le dimanche des Rameaux. — Dispositions à prendre pour le séjour de la Baronne. — Mort de la petite Charlotte. — Il faut pleurer un peu sur nos trépassés. — L’Abbesse du Puits-d’Orbe, Mme de Saint-Jean, le P. de Monchy, Mme Favre, le monastère de Sainte-Catherine. — Le « train des saints devanciers et des simples ». — Prendre pour méthode de ne point se préparer à l’oraison, le Saint déclare le trouver « un peu dur ».
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DLXXXII — À Mme de Déré. — Tout fait espérer que l’âme de Mme de Boisy a été reçue « en la main dextre de son Dieu ».
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DLXXXIII — À la Baronne de Chantal. — Souhaits de bienvenue. — Les postulantes de Dijon. — Engagement avec un imprimeur.
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DLXXXIV — À Mme de La Fléchère. — Ne pas donner créance aux vains présages. — Satan abuse des âmes crédules ; comment se préserver de telles illusions. garder de ses pièges. — Avis variés pour le s oe uvres de sanctification. — Moyen de soulager le prochain et de louer la Vierge Marie
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DLXXXV — À une dame inconnue. — Parmi les délais imposés à nos désirs, il faut garder la sainte patience.
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DLXXXVI — Au Cardinal Gallo (Inédite). — Le Saint s’excuse de ne pouvoir obliger le protégé d’un Cardinal.
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DLXXXVII — Au Père Ceva. — Détresse d’un gentilhomme genevois. — La Congrégation des convertis. — Charité de François de Sales.
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DLXXXVIII — À la Présidente Brulart. — Par plusieurs voies on va au Ciel, si l’on a pour guide la crainte de Dieu. — Contre l’amour-propre, il faut faire bon guet. — C’est tenter Dieu de confier l’âme d’une jeune fille à un jeune homme de mauvais naturel, avec l’espoir qu’il s’amendera. — Consultation particulière sur les divertissements pour Mlle Brulart. — Comment porter à la vertu une enfant vigoureuse et de naturel un peu ardent. — Un magistrat chrétien au XVIIe siècle. — Un bien grand voyage pour des femmes. — Le plus grand appui pour s’avancer dans la piété. — Les aumônes fructifient comme le froment jeté en terre.
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DLXXXIX — À l’Abbesse du Puits-d’Orbe. — Une heureuse rencontre. — À quelles conditions la faiblesse n’est pas un grand mal. — Ce que Notre-Seigneur ne requiert pas de nous. — Comment se mettre « sur le solide ». — Le moyen de n’avoir rien à craindre. — Combien de bons médecins maladifs et d’habiles peintres bien laids. — Un « pauvre chétif père » et la seule chose qui pouvait le contrister. — Plutôt mourir que de désordre. — Les Supérieures et l’observance.
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DXC — À Mme de La Fléchère. — « Il est dangereux de marcher sur le chemin des procès. » — Par quelles pratiques les âmes chrétiennes témoignent-elles de la fidélité à Notre-Seigneur.
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DXCI — À la Baronne de Cusy. — Derniers préparatifs dans le « petit bâtiment » destiné aux premières recrues de la Visitation. — Le Saint compte les y introduire à la Pentecôte. — Quel sera le costume la première année. — Réponse à des objections que présentait la destinataire. — Un petit Isaac.
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DXCII — À la Baronne de Chantal. — L’Institut de la Visitation, « havre de grâce et de consolation ». — Méditation sur l’Évangile : « Je suis la vigne. » — Notre-Seigneur Jésus-Christ, le tout de François de Sales.
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DXCIII — À M. de Bay. — Jacques de Bay et son zèle pour la congrégation formation chrétienne des jeunes Savoyards. — Recommandation en faveur de Jean-Antoine Rolland et de Bernardin du Nant. — Le Saint offre au destinataire deux de ses ouvrages; son humilité
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DXCIV — À la Baronne de Cusy. — Une postulante que le monde dispute à la vie religieuse. — Qu’elle sonde son cœur avant d’embrasser Jésus-Christ crucifié ; ce dessein demande une âme vaillante et généreuse. — Encouragements à prendre un parti décisif. — Le Saint promet de s’employer avec joie et constance à la « sainte besogne » de la future Congrégation.
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DXCV — À Mme de Charmoisy (Billet inédit). — Prière de donner l’hospitalité à une postulante de la Visitation.
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DXCVI — À la Baronne de Chantal. — Une idée que le Saint trouve à son réveil. — La fête du Saint-Suaire et les paroles « extatiques » d’Isaïe. — Espoir joyeux que Dieu plantera et fera fructifier la plante du futur Institut.
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DXCVII — À M. Ranzo. — Zèle de François de Sales pour la canonisation du bienheureux Amédée. — Il propose de lui faire dédier l’oratoire de sa future Congrégation.
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DCXLIX — À M. de S hayes (Inédite). — Une amitié constante. — Mariage princier et les menaces d’une guerre.
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DXCVIII — À M. Cal Cagni. — Titres et aptitudes de M. de la Thuile, frère du Saint, à remplir la charge de chevalier pour laquelle il est proposé. — Le destinataire est prié de remettre des lettres pour faire aboutir la nomination.
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DXCIX — Au Père Polliens. — À un Jésuite qui s’intéressait à l’œuvre du Saint, celui-ci raconte les circonstances qui ont donné jour aux commencements de la Visitation. — Sommaire et premier crayon de la vie religieuse proposée par manière d’essai. — La clôture, l’habit, l’Office, l’union intérieure. — La pierre fondamentale. — Pourquoi le Saint ne se soucie pas des critiques. — L’Institut de la Visitation et le voyage de François de Sales à Dijon en 1604.
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DC — Au Président Frémyot. — Mort de Henri IV. — Vanité des grandeurs du monde. — « Un contemptible coup de petit couteau. » — Le Roi immortel. — Pourquoi le Saint espère que Dieu aura été pitoyable au prince. — Les faveurs de Henri IV pour François de Sales. — Aveu du Saint ; sa gratitude.
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DCI — À la Baronne de Chantal. — Les soucis du Saint Fondateur. — Ses désirs d’union à Jésus-Christ. — Pourquoi Mme de Chantal doit se « mettre sur la grandeur de courage ».
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DCII — À la même. — Pourquoi le Saint se trouvait un peu las, mais de corps seulement. — De quelles vertus Notre-Seigneur est surtout amoureux. — Un Psaume dont le chant attendrissait le cœur de l’Évêque pendant la procession.
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DCIII — À M. Cal Cagni. — Gratitude pour la courtoise intervention du destinataire en faveur de Louis de Sales, frère du Saint.
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DCIV — Au Duc de Savoie. — Remerciements et actions de grâces de la Savoie et de son Évêque pour la promotion d’Antoine Favre « à l’état de premier Président. » — Ce qui donne le plus de douceur à la vie humaine. — Description imagée de la justice. — Responsabilité et devoir des princes dans le choix de ceux qui l’exercent en leur nom.
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DCV — À M. de Saint-Sixte. — Affaire d’argent qui sépare deux frères ; intervention du Saint pour les accorder.
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DCVI — À la Mère de Chantal. — Élévation sur la vie de saint Jean-Baptiste : sa nourriture, le miel, les locustes représentent les deux vies, contemplative et active. — Applications. — Signification de ses vêtements. — Un habit propre à conserver la sainteté. — Obéissance du Précurseur. — Ce qu’annonçait « ce beau rossignol du bois ».
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DCVII — À Mgr Fenouillet (Inédite). — Le trépas du « grand Roi. » — Regrets. — « Le jeune et nouveau Roi. » — Le vrai rendez-vous de nos « cogitations. » — Une charge obtenue « sans brigue, sans cour et sans argent. »
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DCVIII — À la Mère de Chantal. — Comment remplacer le jeûne. — Les « petites brebis » de la Mère de Chantal. — Visite de Marie à Élisabeth ; amabilité de la très Sainte Vierge. — Contemplation du mystère. — Un beau pèlerinage en compagnie du Sauveur.
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DCIX — À Mlle de Chapot. — Les parents et les directeurs spirituels ; l’autorité des uns et des autres et la confiance qu’ils méritent dans l’affaire d’une vocation religieuse. — S’il fallait ouïr l’avis des premiers, qu’arriverait-il ? — Comment reconnaître la volonté de Dieu, parmi les empêchements. — Quand on a pris une bonne résolution, il faut la rectifier, si elle est excessive, mais non la rompre.
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DCX — À M. de Quoex. — Pension ou dot requise pour les postulantes de la Visitation. — « Il est vrai que l’on regarde encore aux facultés. » — Le Chablais au XVIIe siècle. — Une Congrégation qui ne veut être « ni mendiante ni plaignante. » — Sommaire des Règles. — Les commencements de l’Institut donnent beaucoup d’édification ; à quelles âmes offrait-il un refuge.
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DCXI — À Mme de Travernay. — Quand on souffre, il est malaisé de prier. — Quels sont les malades capables de faire oraison. — Comment remplacer cet exercice, si nous sommes trop douloureux. — Il faut reprendre, quand on est guéri, ses habitudes de prière. — Un « rare bien » : parler cœur à cœur avec son Dieu.
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DCXII — À la Mère de Chantal (Inédite). — Les premiers jours de la Visitation. — Les « douces amours en Jésus-Christ » de l’Évêque de Genève ; où se portait nuit et jour sa sollicitude.
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DCXIII — À Mme de la Forest. — Subtilité de Satan. — Le Saint cherche à détruire le résultat d’une calomnie. — Bonnes nouvelles de la Maison de la Galerie.
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DCXIV — À Mme de Cornillon, sa sœur. — La transfiguration en Notre-Seigneur. — Le séjour des vaines beautés et belles vanités. — Encouragements à monter à la céleste vision du Sauveur. — Ce qui est pire que la mort pour une âme de Saint. — Partout il faut avoir bon courage, et pourquoi.
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DCXV — Au Duc de Nemours. — Recommandation en faveur du sieur Bouvard pour la charge d’avocat fiscal.
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DCXVI — À M. des Hayes. — Un trépas vraiment pitoyable. — Le Saint relève le courage de son ami, dont la mort d’Henri IV semblait avoir compromis la fortune. — Comment se ménager la protection de la Providence. — Souhaits pour la France et la famille royale.
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DCXVII — À la Mère de Chantal. — Hésitations à faire venir en Savoie le P. de Monchy. — Souhait du Saint pour Mme de Chantal.
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DCXVIII — À la même. — La méthode de Mme de Chantal. — La confession de François. — Doux pressentiments intimes à l’approche de la fête de la Nativité de la très Sainte Vierge. — La céleste Pouponne.
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DCXIX — À Mme de Travernay. — Une âme docile. — L’exercice de l’amour sacré et les tribulations. — Un spectacle encourageant.
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DCXX — À Mme de la Fléchère. — Parmi les afflictions, certaines sont plus affligeantes, d’autres plus dangereuses pour l’âme. — Pourquoi le tracas des procès, plus que tout autre, ôte la paix intérieure. — La seule perte que nous devons craindre en cette vie. — Comment les procès peuvent servir à l’avancement spirituel. — Exemple de Notre-Seigneur. — Le moyen d’être toujours assez riche.
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DCXXI — À M. Ranzo (Inédite). — Les débuts de la Congrégation. — La Patronne qu’elle a choisie. — Attestation du culte rendu au bienheureux Amédée dans le monastère de Talloires à Chambéry; à son passage dans cette ville, le prince Emmanuel-Philibert de Savoie reçoit les hommages de François de Sales
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DCXXII — À Mme de La Fléchère. — Condoléances sur la mort de M. d’Avully, père de la destinataire. — Raisons d’espérer que Dieu l’aura reçu dans l’Église triomphante.
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DCXXIII — À la Mère de Chantal. — Pourquoi François de Sales travaille avec zèle au Traité de l’Amour de Dieu. — « Petites lanterneries » et « petites clartés ». — La parfaite résignation. — Une lettre où il est parlé mignardement de Cels-Bénigne.
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DCXXIV — À Mlle de Vallon (Inédite). — Une nouvelle postulante pour la Maison de la Galerie. — Par quelles vertus s’entretient le désir de la vie religieuse.
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DCXXV — À M. de Villers. — Différend avec le Chapitre de Belley, à propos des cures et églises des paroisses vacantes. — Affaire de M. de Sauzéa. — La vérité est toujours la plus forte.
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DCXXVI — À l’Abbesse du Puits-d’Orbe. — Le profit qu’on peut tirer d’un mal incurable. — En quels cas le monde juge sévèrement les âmes qui ont quitté pour le cloître ; celles-ci perdent toujours quelque chose en sortant. — Il faut avoir quelque égard à l’opinion publique. — Une ancienne coutume du monde ; son pharisaïsme. — Contrairement à l’esprit du siècle, c’est aux supérieurs à gagner les inférieurs. — Une abbesse et une prieure un peu refroidies ; exhortation du Saint pour ramener entre les deux sœurs l’amitié fraternelle.
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DCXXVII — À M. Piloton. — Prière de retirer un legs en faveur d’une œuvre pieuse.
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DCXXVIII — Au Président Favre. — Les curés de Valromey et le Parlement de Dijon. — Le Saint réclame l’intervention de son ami pour obtenir du Sénat une pièce utile au procès.
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DCXXIX — À Mme de Cornillon, sa sœur. — Les croix domestiques ; il faut savoir les bien prendre.
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DCXXX — À Mme de La Fléchère (Inédite). — Une tranquillité fainéante et trompeuse. — Quand faut-il augmenter les Communions, au lieu de les diminuer. — Le Saint, ennemi, dans ses visites, des cérémonies, compliments et perte de temps.
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DCXXXI — À la Mère de Chantal. — Quelques bonnes pensées pour passer l’Avent avec dévotion : trois objets capables de ravir les cœurs en la sainte direction.
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DCXXXII — À Mgr Gribaldi. — Le prélat destinataire est prié de vouloir bien réconcilier un cimetière profané par un assassinat.
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DCXXXIII — À la Mère de Chantal. — Pratique conseillée à la Mère de Chantal pour s’attirer la spéciale protection de Notre-Dame
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DCXXXIV — Au Président Favre. — Le grand tracas d’un premier Président. — Le prieuré de Contamine, les chevaliers de Saint-Lazare et la Sainte-Maison de Thonon. — Les Pères Feuillants. — L’hôtesse du Chablais.
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DCXXXV — À la Présidente Favre. — Une lettre écrite après dix heures du soir. — Les additions à une nouvelle édition de L’Introduction à la Vie dévote. — Notre guide, notre nocher pendant notre navigation. — Le moyen de ne rien craindre.
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DCXXXVI — À la Mère de Chantal. — Les désirs d’un Saint à propos de la manducation quotidienne du « Pain vivant et super essentiel ». — Les vertus dont il embaume les âmes qui le reçoivent.
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DCXXXVII — À M. de Chantal. — Conseils à un jeune homme qui allait à la cour de France ; à quelles âmes cette fréquentation est-elle moins dangereuse. — Ses écueils, leurs pernicieux effets. — Remèdes : les « viandes spirituelles et divines ». — Éviter les mauvaises lectures, Rabelais, « cet infâme », et les sceptiques. — La vraie courtoisie. — Ne pas s’embarrasser parmi les amourettes. — Faire profession ouverte de vouloir vivre vertueusement, judicieusement, constamment et chrétiennement. — Les vertus en philosophie. — En quoi il ne faut pas marchander. — Se choisir des amis de même intention. — Recourir à la direction d’un prêtre, religieux ou séculier. — Un exercice de fainéant. — Avoir un cœur vigoureux, et pourquoi. — L’idéal d’un courtisan, d’après saint Louis ; portrait de ce prince. — La bravoure et la piété. — Une méditation à faire souvent : le patron, la voile, l’ancre, le vent qu’il faut choisir pour voguer sur la haute mer du monde.
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DCXXXVIII — À la Mère de Chantal. — Pourquoi ne pas se tourmenter des fâcheuses pensées qui sont autour du cœur. — À quelle condition rien ne nous offensera.
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DCXXXIX — À M. Rigaud (Inédite). — Le Saint et son éditeur lyonnais. — Celui-ci le presse « de rendre fait » le Traité de l’Amour de Dieu. — Commande de livres.
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DCXL — À M. de Bay. — Le Saint s’intéresse aux études d’un jeune annécien et demande que le collège de Savoie de Louvain lui soit ouvert.
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DCXLI — À M. de Quoex. — Dans les appointements, le Saint n’est pour personne. — Pas de particularités dans sa Congrégation ; il faut que tout y « aille d’un train ».
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DCXLII — Au Président Favre. — Les « bonnes coutumes » de Savoie. — Rendez-vous pour les âmes chrétiennes unies d’affection. — Une amitié sans limites
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DCXLIII — À la Mère de Chantal (Billet inédit). — Une galerie où le Saint parlait « plus à commodité » à la Mère de Chantal.
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DCXLIV — Au Président Favre (Inédite). — Recommandation en faveur d’une pauvre veuve.
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DCXLV — À la Mère de Chantal. — Tableau de la Nativité. — Où se trouvaient en la nuit de Noël, les bons Anges des deux Saints. — Les pasteurs et la mélodie sacrée qu’ils entendent durant leur sommeil. — Le cadeau du Bienheureux au « petit Roy ».
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DCXLVI — À Mme d’Aiguebelette. — Les présents du Sauveur aux gens de bonne volonté. — Ce que fait la « petite troupe » de la Visitation.
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DCXLVII — Au Président Favre. — Ce qui rend notre durée périssable, et partant plus aimable. — La pensée de l’éternité pour le Saint. — L’espérance de l’éternité, et les motifs philosophiques qui la légitiment. — L’échelle qui nous conduit aux années éternelles. — Souhaits de nouvel an.
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DCXLVIII — À la Mère de Chantal (Billet inédit). — Les Filles de saint Bernard chez les Filles du saint Évêque de Genève. — Promesse d’un bonsoir ou d’un bonjour.
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DCXLIX — (Voir ci-dessus, note (1), p. 471).
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DCL — À la Mère de Chantal (Billet inédit). — Sollicitude pour la santé de la Mère de Chantal.
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DCLI — À la Mère de Chantal. — Souci charitable que prend le Saint pour la santé de la Fondatrice.
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DCLII — À Mlle de Blonay. — La grâce d’évangéliser n’est pas le privilège de tout le monde.
APPENDICE I
LETTRES ADRESSÉES À SAINT FRANÇOIS DE SALES PAR QUELQUES CORRESPONDANTS
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A — Facultés accordées par la Congrégation du Saint-Office. 405
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B — Lettres de Mgr de Villars, Archevêque de Vienne.
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I. 410
-
II. 412
-
-
C — Lettre du P. Jacques-Philibert de Bonivard, de la Compagnie de Jésus. 413
-
D — Lettre de Mlle Fayre. 414
-
E — Lettre du Président Frémyot. 415
-
F — Lettre du Cardinal Jean Garcia Millino. 416
II
Lettre de Sainte Jeanne-Françoise de Chantal à Mgr Jean-Pierre Camus. 417
Table des matières
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Glossaire des locutions et des mots surannés. 421
-
Index des correspondants et des principales notes biographiques et historiques de ce volume. 433
-
Table de correspondance de cette nouvelle édition avec les précédentes, et indication de la provenance des manuscrits. 443
Reference time period: 1700
S. Francesco di Sales, “Œuvres de S. Francois de Sales – Tome 14 – Vol.4-Lettres“, Imprimerie J. Niérat, Annecy 1906.