Léon Verbeek – Ombres et clairières. Histoire de l’impantation de l’Eglise catholique dans le diocèse de Sakania, Zaïre (1910-1970)

Le phénomène religieux au Zaïre a fait l’objet d’un certain nombre d’études historiques. Un grand nombre d’entre elles cherchent à connaître l’affrontement entre société et conceptions traditionnelles d’une part et religions étrangères d’autre part. Ainsi des phénomènes comme le Kimbanguisme, le Kitawala, la Jamaa et d’autres mouvements semblables sont assez bien connus.

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Francis Desramaut – “III. L’apôtre du Valdocco (1853-1858)” in “Cahiers Salésiens. Etudes préalables à une biographie de Saint Jean Bosco”

Ce volume fait partie d’une collection de texts, écrits en français, qui racontent la vie de Don Bosco. Il couvre un arc temporel qui embrasse l’année 1853 jusqu’à 1858. Don Bosco lance, en 1853, la revue “Letture Cattoliche” sous la direction de l’évêque d’Ivrea, Mgr Luigi Moreno. Cette pubblication est composé de petits dialogues, écrites en une langue simple et directe, adptée à la comprehénsion du peuple. En 1850, depuis l’arrivée de Giovan Pietro Meille, commence l’activité vaudoise à Turin. Meille fonde un hebdomadaire religieux dit “La Buona Novella”. Dans la même année Don Bosco publique l’apologétique “Cattolico Istruito” et l’almanach le “Galantuomo (sous-titré “Strenna offerta agli associati delle Letture Cattoliche”) contre l’apparition du petit almanach vaudois “l’Amico di casa”. Le Saint a subi plusieurs attentats à sa personne en 1854 (vindicte des vaudois). Il faut souligner l’alerte choléra à Turin en août- septembre de 1854 et pour parer à la contagion Don Bosco avait aménagé son Oratoire. Un autre événement important de ces années-là a été l’affaire De Sanctis: Luigi De Sanctis sort de l’Eglise romaine en 1847 et, depuis 1852, devient auxiliaire du pasteur Meille à Turin. Au tour de De Sanctis se va a créer une Société evangelique à Turin et cet épisode entraîne une rupture entre celui-ci et les vaudois. De Sanctis perd son titre de Pasteur de l’Eglise Vaudoise. Don Bosco intervient et lui propose gîte et couvert dans son Oratoire et son amitié. En mai 1855 De Sanctis se reconcile avec le pasteur Meille sans abandonner sa communauté évangélique. En Piémont, le temps du choléra avait aussi été celui des malheurs de diverses maisons religieuses de frati et de monache, personnes peu appréciées par le ministre Urbano Rattazzi (loi Rattazzi 29 mai 1855). A l’automne 1854 le prêtre Don Vittorio Alasonatti, auxiliaire de Don Bosco, devient le “prefet” de sa casa annessa all’Oratorio di S. Francesco di Sales (automne de 1854). Entre 1853 et 1856 Don Bosco ouvre dans sa “casa annessa” plusieurs ateliers: cordonniers, tailleurs et charpentiers. Au fil des années cinquante, le Saint a aussi modifié sa maison pour permettre la création ou le développement d’associations de jeunesse comme la Compagnie de S. Louis, la Compagnie de l’Immaculée Conception etc. En 1855 il diffuse des publications religieuses d’une certaine importance: Storia Sacra (1847) et Storia d’Italia. Don Bosco a divisé l’histoire de notre pays en quatre parts: 1) l’Italie païenne 2) l’Italie chrétienne 3) l’Italie au moyen-âge 4) l’Italie moderne. Don Bosco cherche d’attenuer à travers la publication d’une série de fascicules intitulée “Vite dei Papi” l’aversion que certains manifestent contre les papes et leur autorité. En 1857 il organise une loterie et simultanéament il forme un vaste comité de patronage. Le dernier chapitre raconte le voyage du Saint à Rome (1858) pendant lequel il aura un rendez-vous avec Pie IX. 

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Pietro Braido – Breve storia del « sistema preventivo»

Sono note le parole con le quali don Bosco introduceva nel 1877 le inattese pagine sul «sistema preventivo»: «due sono i sistemi in ogni tempo usati nella educazione della gioventù: preventivo e repressivo». È affermazione che può suscitare qualche perplessità. Dalla storia dell’educazione reale di tutti i tempi sembrano emergere quasi esclusivamente o soprattutto i lati duri, addirittura brutali del rapporto dell’adulto (anche di padri e madri) con l’età in crescita; alle origini della vita: aborto, infanticidio (in particolare femminile o dei deformi), avviamento all’accattonaggio e alla prostituzione, sfruttamento (anche in tempi recenti con l’industrializzazione), violenze; nell’educare: dispotismo di genitori e maestri, durezze,
castighi afflittivi spirituali e corporali, battiture, privazioni, isolamento, procedimenti didattici oppressivi e irrazionali.

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Stanisław Zimniak – Il cardinale August J. Hlond, primate di Polonia (1881-1948). Note sul suo operato apostolico

Il presente fascicolo raccoglie gli interventi che si sono tenuti durante la serata di studio dedicata al Servo di Dio, card. August Hlond, primate di Polonia, svoltasi il 20 maggio 1999 a Roma. Il fascicolo, oltre che a breve sintesi biografica, consta di cinque saggi.

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Francesco Motto – L’azione mediatrice di Don Bosco nella questione delle sedi vescovili vacanti in Italia

Il presente studio intende entrare nel merito di un problema storiografico non ancora pienamente indagato, vale a dire la reale consistenza e portata storica dell’azione di don Bosco negli anni 1858-1878 in seno alla politica ecclesiastica del regno di Sardegna prima, e del regno d’Italia dopo.

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Francis Desramaut – “II. Le jeune prêtre (1844-1852)” in “Cahiers Salésiens. Etudes préalables à une biographie de Saint Jean Bosco”

Ce volume fait partie d’une collection de texts, écrits en français, qui racontent la vie de Don Bosco. Il couvre un arc temporel qui embrasse l’année 1844 jusqu’à 1852. En 1844 Saint Jean Bosco sort du Convitto ecclesiastico et dévient directeur spirituel d’un hôpital pour enfants dédié à Sainte Philomène. Don Cafasso a choisi ce poste pour lui. En octobre de cette année, son premier livre intitulé “Notes historiques sur la vie du clerc Luigi Comollo mort dans le séminaire de Chieri admiré par tous pour ses vertus singulières” sort. Il s’agit d’un opuscule dédié à son ami décedut Luigi Comollo et s’adresse à un public précis: aux “signori seminaristi di Chieri”, pour leur édification. Un événement très important à cette époque fut l’installation de l’Oratoire de Saint François de Sales qui fonctionne de décembre 1844 à julliet 1845. Au cours de l’année 1845 il publie deux livres: 1) “Il Divoto dell’Angelo Custode” (le Dévot de l’Ange Gardien). Il s’agit d’une neuvaine préparation à la fête des saints anges gardiens 2) “Storia ecclesiastica ad uso delle scuole utile per ogni ceto di persone”. Le Saint commence à avoir une santé fragile et en juillet 1846 il tombe malade. Ensuite il publie deux livrets de pieux exercices: le “Giovane provveduto” et la “Storia Sacra”. Pendant le “Risorgimento”, Don Bosco se refuse de laisser entraîner son Oratoire S. François de Sales dans un cortège patriotique de reconnaissance au souverain réformateur et perd ainsi l’appui de Roberto d’Azeglio et l’aide de plusieurs laïcs et ecclésiastiques. Dans ses “Memorie dell’Oratorio”, il nomme plusieurs attentats contre sa personne. Il va écrire un “Plan de règlement” pour l’Oratoire S. François de Sales divisé en deux parties: la prèmiere est destinée à l’encadrement, la deuxième surtout aux enfants. En 1849 Amedeo Bert, aumônier des légations des pays protestants, publie une ouvrage qui présent l’histoire des vaudois, données pour victimes de la méchanceté et de la brutalité catholiques. Cette publication va heurter le camp opposé, y compris Don Bosco. Aux yeux du Saint, les vaudois ne constituaient qu’une secte d’hérétiques. En 1850 une apologie antivaudoise “Avvisi ai cattolici” et une deuxième  “Il cattolico istruito nella sua religione” en 1853, écrites par Don Bosco, sortent. 

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Francis Desramaut – “I. La jeunesse (1815-1844)” in “Cahiers Salésiens. Etudes préalables à une biographie de Saint Jean Bosco”

Ce volume fait partie d’une collection de texts, écrits en français, qui racontent la vie de Don Bosco. Il couvre un arc temporel qui embrasse la naissance du Saint jusqu’à 1844. Les prèmiers années de vie de Jean Bosco sont marquées par la mort de son père, son éducation, dont s’en occupe sa mère, et plus tard celle-ci scolaire. Il ne faut pas oublier l’influence du contexte historique en Italie dans cette pèriode là: la Restauration. En grandissant, Don Bosco décide d’entrer au séminaire et se prépare grâce à l’aide de deux prêtres: Giuseppe Cafasso et le curé de Castelnuovo, Antonio Cinzano. En 1841 Don Bosco s’installe dans le Convitto de Turin et il observe que dans cette ville il y a beaucoup de pauvreté. 

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Teresio Bosco – Don Bosco. Một tiểu sử mới

Tác phẩm của cha Teresio Bosco làm nổi bật lên dung mạo Don Bosco trong lịch sử và trong Hội Thánh thời đại ngài, do các nghiên cứu nghiêm chỉnh và mới nhất đã cung cấp cho chúng ta.

Don Bosco có một bí mật đặc biệt: Đó là đời sống kết hiệp thâm sâu cùng Thiên Chúa. Cha Teresio Bosco khiêm cung nhận định rằng bí mật đó chúng ta chỉ có thể hiểu được khi đi sâu vào vào đời sống nội tâm được dấu ẩn kỹ lưỡng của ngài. Continue reading “Teresio Bosco – Don Bosco. Một tiểu sử mới”

Phạm Xuân Uyển – , Hồi ký Nguyện xá thánh Phanxixô Salê

Don Bosco sinh năm 1815 tại Becchi, nước Ý. Năm 1841, Don Bosco thành lập Nguyện xá tại Tôrinô dành cho các thanh thiếu niên và trẻ em nghèo, cho các công nhân từ miền quê lên thành phố làm việc. Năm 1846, Nguyện xá thánh Phanxicô Salê chính thức có trụ sở tại Valdocco (Tôrinô, Italia), gọi là “Nguyện xá Valdocco”. Năm 1847, Don Bosco bắt đầu mở lưu xá, xưởng dạy nghề và các lớp học tại đây. Công cuộc của Nguyện xá Valdocco dần dần phát triển.  Sau đó, ngài thành lập Tu hội thánh Phanxicô Salê (dòng Salêdiêng Don Bosco) vào năm 1859. Continue reading “Phạm Xuân Uyển – , Hồi ký Nguyện xá thánh Phanxixô Salê”

Augusto D’Angelo – Educazione cattolica e ceti medi. L’istituto salesiano ” Villa Sora” di Frascati (1990-1950)

Con questo libro, basato su una ricca e significativa documentazione di prima mano, Augusto D’Angelo, uno studioso non nuovo alla storia della Chiesa e del cattolicesimo, ha rivolto la sua attenzione all’opera educativa svolta dai salesiani nella diocesi tuscolana, a partire dalla fine del secolo scorso. Una attività che comincia con la breve esperienza della gestione del Seminario, voluta dal Cardinal Vannutelli, e successivamente, all’inizio del ‘900, con la nascita dell’Istituto di Villa Sora, il cui obiettivo mirava a realizzare una buona scuola per i figli di quel ceto medio che, non potendo permettersi di indirizzarli verso collegi esclusivi, quale il collegio di Mondragone dei padri gesuiti, ambiva ad una scuola in grado di offrire una buona educazione ed una adeguata formazione culturale e morale ai propri ragazzi.

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