Augustin Auffray – Un grand educateur Saint Jean Bosco (1815-1888), Ouvrage couronné par l’Académie Française

Cet extrait est tiré d’une biographie de Saint Jean Bosco, écrite par un auteur non spécifié. Le passage décrit la reconnaissance de l’importance de Jean Bosco par l’Église catholique à travers les âges, soulignant que malgré la récente canonisation de Bosco, de nombreux catholiques de l’époque ignorent encore son œuvre et son héritage.

L’auteur évoque également les difficultés rencontrées lors de la rédaction de la biographie, notamment la richesse du matériel disponible, la narration de certaines des difficultés rencontrées par Bosco et l’inclusion du surnaturel dans sa vie. Ce passage souligne le désir de l’auteur de présenter une image complète et concise de la vie de Bosco, tout en attirant l’attention sur les leçons et les valeurs qui peuvent être tirées de son histoire.

TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES

    • Préliminaire: Pour faciliter au lecteur la recherche de certains faits, particuliers qui, tels les songes et les miracles, intéressent plus vivement sa curiosité, on les a groupés, en les répétant, au sommaire du chapitre qui en renfermait le plus grand nombre. On les reconnaîtra à l’indication, en italique et entre parenthèses, du chapitre d’où ils sont extraits.
  • Préface
  • Index des ouvrages consultés

CHAPITRE PREMIER

  • Le Piémont et sa capitale vers 1840
    • LE PAYS
      • Coup d’œil général : sa ceinture de montagnes, ses lacs, le grand fleuve qui l’arrose, ses collines aux riches vignobles, sa plaine fertile.
    • LA RACE
      • Peuple militaire, endurant et solide; d’humeur gaie ; rusé et calme tout à la fois ; très attaché au sol natal ; plus positif qu’artiste ; gardant le sens et le respect de l’autorité ; travailleur et croyant.
    • LES CHEFS, LES DUCS DE SAVOIE
      • Petits comtes au début du XII siècle ; ducs à la fin du XIV ; rois de Sardaigne au XVIII. 
      • Les Saints de cette dynastie. – Accroissement continu de la Maison de Savoie sur le versant italien. 
      • Le triomphe de sa politique avec l’établissement du royaume d’Italie.
    • SA CAPITALE, TURIN, EN 1840
      • État des esprits des diverses classes sociales à cette époque.
      • Imposante dans sa symétrie. 
      • Sa position géographique au pied des Alpes, au confluent de deux fleuves. 
      • Ses portiques et ses places. 
      • Plus commerciale qu’industrielle.
      • Très peu italienne de visage, sinon d’âme.

CHAPITRE II

  • UNE VOCATION MERVEILLEUSE ET TOURMENTÉE
    • Un gros bourg du Montferrat : Châteauneuf-d’Asti.
    • Naissance du Saint.
    • La mort du père.
    • Un modèle d’éducation maternelle.
    • Trois frères bien différents.
    • Un songe qui orientera toute une vie.
    • Le petit jongleur apôtre.
    • Première communion.
    • Au retour d’un sermon de mission : rencontre providentielle.
    • La mémoire prodigieuse d’un petit homme.
    • Don Calosso, premier maitre de latin.
    • La méchanceté d’un aîné.
    • Premier arrêt, première épreuve.
    • A la grâce de Dieu!
    • Valet de ferme.
    • Reprise des études. – Mort soudaine de Don Calosso.
    • Une tentation tragique.
    • Seconde séparation: Châteauneuf et ses modestes tours de latin. 
    • Le petit paysan des Becchi et la version de 4.
    • Une année perdue.
    • Confirmation du songe prophétique.

CHAPITRE III

  • UNE VOCATION MERVEILLEUSE ET TOURMENTÉE (suite)
    • Une ville d’étudiants et de couvents, Chiéri.
    • La vie des étudiants d’alors.
    • Apprenti confiseur et garçon de café.
    • Une existence de privation.
    • Toujours cette mémoire prodigieuse.
    • L’ami des enfants.
    • Un groupe d’étudiants catholiques modèle : << la Joyeuse Union >>.
    • Un gant jeté et relevé.
    • Une fleur d’amitié chrétienne, Louis Comollo.
    • Les deux inséparables.
    • Regard vers le couvent.
    • Un conseil providentiel du Bienheureux Cafasso.
    • Prise de soutane.
    • L’obligé suit les traces du bienfaiteur.
    • La plus grosse peine de l’abbé Bosco.
    • La mort de Comolto.
    • Apparition terrifiante qui la suivit.
    • Adieu intime et définitif au monde.
    • Un modèle de grand séminariste.
    • Retours de la nature.
    • Répétiteur de grec.
    • Pour la troisième fois le Ciel parle en songe.
    • Les Ordres majeurs.
    • Résolutions de veille d’ordination.
    • La prêtrise.
    • La première messe.
    • Au village natal.
    • Soir de première messe et paroles sublimes d’une mère.

CHAPITRE IV

  • LES HUMBLES ORIGINES D’UNE GRANDE OEUVRE
    • Encore Don Cafasso.
    • Le Convitto Ecclesiastico de Turin.
    • Un spectacle désolant: toute une jeunesse à l’abandon.
    • Une rencontre providentielle à la sacristie de Saint-François d’Assise.
    • Première leçon de catéchisme.
    • Le noyau d’une OEuvre.
    • Le premier patronage salésien.
    • Une grande dame charitable : la marquise de Barolo.
    • Aumônier de petites orphelines.
    • Premier déménagement du patronage.
    • Congédiés par la marquise de Barolo.
    • L’étape d’un jour au cimetière Saint-Pierre-ès-Liens.
    • Second congé.
    • Aux Moulins de la Doire.
    • Encore sur la rue.
    • Le patronage volant.
    • Cinquième local de fortune.
    • Nouvelle expulsion.
    • Le patronage dans un pré.
    • Persécution de l’autorité civile et ecclésiastique.
    • Don Bosco est soupçonné de folie.
    • Tel est pris qui croyait prendre.
    • Dernière expulsion.
    • Une heure de calvaire.
    • Le port du salut, le hangar Pinardi.
    • L’ultimatum de la marquise de Barolo.
    • A deux doigts de la mort.
    • Le cœur des enfants du peuple.
    • Sauvé.
    • Quatre mois de convalescence.
    • De nouveau sur le sillon avec sa mère.
    • La bonne Providence (la montre de Don Vola).
    • L’œuvre est assise définitivement.

CHAPITRE V

  • L’AFFERMISSEMENT D’UNE GRANDE OEUVRE
    • Fondation des cours du soir ; leur succès.
    • Le patronage essaime à l’autre bout de la ville.
    • La fièvre du Risorgimento et Sf’S répercussions sur l’œuvre.
    • Un carré de laitues saccagé.
    • Charité bien mal récompensée.
    • Le premier fils adoptif du Saint. – Accroissement de la famille.
    • Achat de la maison Pinardi.
    • Un tableau de vie familiale.
    • Construction de l’église Saint-François de Sales.
    • Un vent d’anticléricalisme déchaîné sur le Piémont.
    • Le périls de la rue pour les enfants du patronage.
    • Le premier édifice salésien.
    • Une catastrophe.
    • Le groupe des internes s’accroît.
    • Seconde bâtisse.
    • Deuxième catastrophe.
    • Lès élèves du Saint vont d’abord travailler et étudier au dehors.
    • Fondation du premier atelier salésien.
    • Extension de cette cité du travail.
    • L’internat se clôt petit à petit.
    • Maladie et mort de Maman Marguerite.
    • La protection de la Très Sainte Vierge sur l’œuvre naissante.
    • Après dix ans!

CHAPITRE VI

  • L’APOSTOLAT << A COTÉ >>
    • L’activité calme du Saint.
    • Les œuvres de midi fondées à Turin, pour les garçons, dès 1849.
    • Succès de l’initiative.
    • Dévouement des premiers Fils de Don Bosco lors du choléra de 1854. – Deux mois sans dételer. – Tous préservés du mal.
    • Une promenade célèbre de détenus sans autre surveillant que Don Bosco. – Étonnement des autorités devant ce résultat.
    • Les prédications du Saint.
    • Vingt années d’apostolat par la parole à travers Je Piémont.
    • Son genre oratoire.
    • Un triduum· qui promettait beaucoup et obtint davantage.
    • Les retraites annuelles de Sant’Ignazio.
    • Bienfaits de cette solitude.
    • Trois faits d’apostolat populaire :
      • Les quatre malandrins de Porta Nuova.
      • Une confession en pleine rue.
      • Au chevet de mort d’un ancien patronné.

CHAPITRE VII

  • UN BON OUVRIER DE LA PLUME
    • Presse contre presse
    • Premier travail de plume : la biographie de Louis Comollo.
    • Les Vaudois : leur doctrine, leur propagande active et néfaste.
    • Fondation des Lectures Catholiques. – Succès de cette campagne de presse.
    • Le premier almanach catholique d’Europe : Il Galantuomo.
    • Manuels de classe. Le Système métrique décimal, l’Histoire sainte, l’Histoire d’Italie.
    • Comédies pour jeunes gens : Le Système métrique décimal, le Petit Ramoneur, la Maison de la fortune.
    • La collection des classiques chrétiens.
    • Première imprimerie salésienne (1861), aïeule de tant d’autres.
    • Les collaborateurs bénévoles. – Importance de l’œuvre écrite du Saint.
    • Série d’attentats, payés par les Vaudois, en représailles de . ces courageuses campagnes de presse. – Protection constante du Ciel.
      • Manqué.
      • Un petit verre d’ Asti.
      • Présence d’esprit ou le casque improvisé.
      • Aide-toi et le Ciel t’aidera.
    • Qualités du style des écrits tombés de la plume de Don Bosco.
    • Un chien miraculeux, le Grigio.
    • Comment, en maintes circonstances, il sauva la vie de son protégé.

CHAPITRE VIII

  • LE FONDATEUR DE CONGRÉGATIONS
      • Le besoin de collaborateurs pour les œuvres projetées.
      • Quatre essais de semailles, couronnés d’insuccès. – Un cours forcé de latin qui donne de maigres résultats.
      • Première rencontre du Saint avec le petit Michel Rua.
      • Un groupe d’élèves qui persévère.
      • Première conférence spirituelle faite par le Saint à ses jeunes collaborateurs (1852).
      • Temps rebelles à toute forme de vie religieuse.
      • Extrême prudence du Saint.
      • Le baptême de cette petite troupe (1854).
      • Pourquoi ce nom de Salésiens?
      • Un noviciat qui n’en a pas l’air.
      • Profession religieuse privée de l’abbé Rua.
      • Contagion de cet exemple.
      • Admirable doigté du Saint dans la lente constitution de cette jeune Société.
      • Premier crayon de ses Règles (1855).
      • Un encouragement inattendu (Ratazzi).
      • Le manuscrit des Règles est soumis au Pape lors du premier voyage du Saint à Rome (1858).
      • Accueil paternel de Pie IX ; ses premiers conseils.
      • Une mise en demeure émouvante.
      • Élection du premier Chapitre supérieur de la Société (1859).
      • Serment solennel des vingt-cinq premiers novices de la Congrégation.
      • Premiers vœux publics (1862).
      • Un discours prophétique du Saint.
      • Nouvelles instances à Rome pour l’approbation des Règles.
      • Lettres de recommandation de l’épiscopat subalpin. – Le décret de louange (1864).
      • L’ affaire des dimissoires.
      • Second voyage à Rome (1867) en vue d’obtenir l’approbation définitive de la Société.
      • La question des lettres dimissoriales et de l’exemption canonique imminente provoque l’antipathique sourde du nouvel archevêque de Turin.
      • Troisième voyage du Saint à Rome (1869) pour lever tous les obstacles dressés devant l’approbation.
  • L’approbation est enfin obléenne après maintes démarches et quelques faits miraculeux ( 1 mars 1869):
      • Guérison du neveu du Cardinal Berardi.
      • Guérison du Cardinal Antonelli.
      • Guérison de Mgr Svegliati.
      • Guérison du Commandeur Cotta (Chap. IX).
      • Deux guérisons à Paris (1883) (Chap. XXII).
      • Guérison d’une jeune fille paralytique à Barcelone (1886) (Chap. XXII).
      • L’abbé Borel se réjouit de l’approbation des Règles.
    • L’autorité diocésaine contre le fondateur.
    • Ses gries.
    • Nouveaux voyages du Saint à Rome (1871, 1873). – Un plaidoyer, promode distribué aux Cardinaux de Curie.
    • Les Règles de la jeune Société sont définitivement approuvées (1874), grâce à l’intervention personnelle de Pie IX.
    • Hésitations du Saint à fonder un Ordre de femmes.
    • Il se décide enfin, poussé par la terre et le Ciel.
    • Humbles origines des Filles de Marie  Auxiliatrice.
    • Marie Mazzarello et ses premières compagnes.
    • La première Supérieure générale. – Les premiers vœux. – Le nom donné à la Société naissante (1872).
    • Prophétie du Saint.
    • Merveilleuse fécondité de cette Congrégation.
    • Un tiers ordre bien moderne : les Coopérateurs salésiens.
    • Origine des Coopérateurs salésiens.
    • Nécessité des Coopérateurs salésiens dans le temps présent. – La collaboration des laïcs : raison qui la justifient.
    • Développement prodigieux de cette Association.
    • Les Serviteurs de Dieu issus de celte triple famille religieuse.

CHAPITRE IX

  • UN BÂTISSEUR D’ÉGLISES
  • LA BASILIQUE  DE NOTRE-DAME-AUXILIATRICE
        • Une église trop petite pour un quartier qui se peuplait rapidement.
        • Un rêve mûri lentement et confié à quelques disciples.
        • Description du futur temple.
        • Quatre obstacles: manque de terrain, veto du Conseil municipal, pénurie d’argent, sous-sol alluvioneux.
        • Les trois escales avant le port, contemplées en rêve.
          • Don Bosco voit en songe la basilique de Notre-Dame-Auxiliatrice (1846).
        • Moyens employés pour recueillir les ressources nécessaires.
        • Un bouquet de miracles.
          • Guérison du Commandeur Colla.
          • <<Après dîner, j’irai chercher le reste!>>
        • Pose de la dernière pierre.
        • Consécration du temple (1868).
  • L’ÉGLISE SAINT-JEAN-L’EVANGÉLISTE
        • Un quartier déshérité et travailler par la propagande vaudoise. – Projet d’un second temple.
        • Un sérieux obstacle dressé pendant huit ans : le terrain hors de prix.
        • Pose de la première pierre.
        • Consécration de l’église (1882).
  • LA. BASILIQUE DU SACRÉ-COEUR À ROME
      • Un sanctuaire bien nécessaire arrêté à ses fondations.
      • Confiance du Pape dans les verlus de bâtisseur de Don Bosco.
      • Deux scrutins bien différents.
      • Moyens mis en œuvre pour attirer l’or nécessaire.
      • Ils se révèlent insuffisants.
      • La généreuse France!
      • Description du temple.
      • La consécration (1887).

CHAPITRE X

  • LE VOYANT
    • La lumière de Dieu au service d’une mission providentielle. – Le regard de Don Bosco.
      • <<Si tu n’es pas fou , tu le deviendras>>.
  • Il découvre l’avenir de ses Fils, de ses amis, de ses interlocuteurs: quelques exemples.
    • Le De profundis le Don Bosco.
    • <<L’un d’entre vous sera évêque>>.
    • Vocation d’une Petite Soeur de l’Assomption.
    • Vocation de Mgr Malan, l’apôtre du Matto Grosso.
    • Prédiction de vocation religieuse à Barcelone (1886) (Chap. XXll).
  • Il révèle le terme de leur vie à plusieurs de ses enfants.
    • Don Bosco révèle les circonstances de la mort de Don Bologne el du coadjuteur Nasi.
    • Don Bosco s’oppose à la mort de Don Rua.
    • Don Bosco prologe la vie de l’abbé Provéra.
  • La prescience de la mort de ses élèves : quelques exemples.
    • Mot du soir impressionnant.
    • L’enveloppe de l’abbé Cagliero.
    • L’enveloppe de l’infirmier.
    • <<Drôle de façon d’égayer une promenade!>>.
    • <<Je suis mort 1!>>.
  • Phénomènes de vue à distance : des exemples.
    • <<J’entends tinter des sous! >>.
    • <<Don Bosco t’appelle pour te confesser>>.
    • La tentation vaincue ( Chap. XV).
    • Une lettre de redoutables révélations.
  • Un cas, certain de bilocation Turin et Barcelone.
    • C’est la dernière messe que tu dis, si.
  • La lecture des consciences : plusieurs exemples.
    • Une confession générale mal faite.
    • Révélation à un <<nouveau>>.
    • Une dame incrédule.
    • Fautes cachées.
    • Mystérieux petit billet.
    • Leçon de latin.
    • Perle de paradis.
  • Au tribunal de la Pénitence, le Saint lisait souvent dans les cœurs comme en un livre ouvert.
  • La voix des songes.
  • Don Cafasso exhorte le Saint à croire à ses révélations nocturnes et à les raconter.
  • Plusieurs exemples.
    • Songes .
    • Les songes de Don Bosco (Chap. XXI).
    • Premier songe de Don Bosco (Chap. Il).
    • Les fauves changés en agneaux (Chap. Ill).
    • Vision du développement de son œuvre.
    • Don Bosco voit en songe la basilique de Notre·Dame-Auxiliatrice (1846) (Chap. IX).
    • La villa de Marseille.
    • La Vierge Auxiliatrice el la future maison de Liege.
    • Songe révélateur sur le Concile (1869) (Chap. XII).
    • Annonce tragique de mort à la Cour (Chap. XIII).
    • L’océan déchainé (Chap. XIV).
    • Songe de la roue (Chap. XIV).
    • Les roses et les épines (Chap. XVIll).
    • Pluie de fleurs et de roses (Chap. XVII).
    • Songe prophétique au chevet du petit Cagliero mourant (Chap. XIX).
    • Songe sur les missions (Chap. XIX)
    • En songe, Louis Colle fait voir les missions salésiennes à Don Bosco (Chap. XIX)
    • En songe, Notre-Dame Auxiliatrice fait voir à Don Bosco les principaux points de conquête de ses missionnaires (Chap. XIX).

CHAPITRE XI

  • LE THAUMATURGE
    • Un des grands thaumaturge du XIX siècle.
    • La force de Dieu mise au service d’une lâche providentielle. – Comment le Saint expliquait ce pouvoir étrange.
    • Paralytique, aveugle, épileptique guéris par lui.
    • Un général ramène des portes de la mort.
    • Trois petits enfants à Rome, Marseille et Turin, rendus miraculeusement à la santé. 
    • Les multiplications de petits pains, de noisettes et d’hosties.
    • Un échange de cordes vocales.
    • Pour sauver une âme, le Saint ressuscite momentanément un corps.
    • Un mot du Saint sur le don des miracles.

CHAPITRE XII

  • LE SERVITEUR DES PAPES
    • Une vie toute dévouée à la Chaire de Pierre.
    • Une double épreuve.
    • Bonté de Pie IX pour le Saint; ses conseils, ses faveurs, ses largesses, sa confiance.
    • Une audience bien intime.
    • Dévouement du Saint envers le Vicaire du Christ : la collection des Lectures catholiques et celle des Papes des premiers siècles.
    • Une lettre de consolation qui lui valut bien des ennuis.
    • Son zèle pendant le Concile du Vatican : songe révélateur sur l’issue de ce Concile.
    • Une commission importante d’un élève de l’Oratoire au Pape.
    • Un ordre du Pape à Don Bosco: une consultation solennelle.
    • Période de disgrâce apparente : souffrances communes du Pontife et de son serviteur.
    • Dans les corridors du Vatican.
    • Avènement de Léon XIII.
    • Une audience historique qui répare bien des choses.
    • Adieu du Saint au Vicaire du Christ dans la personne de Léon XIII. – Fidélité d’outre-tombe.

CHAPITRE XIII

  • L’HOMME QUI APPROCHA LES GRANDS
    • Position politique du Saint : avec le Christ et le Pape au-dessus des partis ; la politique du Pater nosler.
    • Premières relations de Don Bosco avec la Cour ; une annonce tragique de mort.
    • L’affaire de la nomination des évêques ; première tentative, couronnée de peu de succès (1863) ; seconde tentative (1864) : l’angle sous lequel il faut considérer le problème ; plein accord résolu avec la solution du Saint comme base de discussion ; troisième tentative (1874) : le veto de Berlin.
    • Une mission de confiance pendant le Conclave. – Deux vieilles connaissances.
    • Chez le roi dépossédé des Deux-Siciles ; une prophétie qui s’est réalisée
    • Relations du Saint avec Cavour. – Traits de ressemblance des deux hommes. – Une offre captieuse. – Amitié de l’homme d’État pour Don Bosco. – Au lendemain d’une visite domiciliaire, fière protestation du Saint auprès du ministre.
    • Urbain Ratazzi et sa sympathie pour Don Bosco. – Une question délicate qui reçoit une réponse apostolique.
    • Sur la terrasse du collège de Lanzo ; conversation du Saint avec trois ministres du jeune royaume d’Italie.
    • La tactique du Saint : approcher les âmes des grands pour tenter de leur faire du bien.

CHAPITRE XIV

  • L’ÉDUCATEUR
    • Une pédagogie plus vécue qu’écrite.
    • Ses sources : le don inné, le souvenir de sa propre éducation, l’expérience des maîtres, les tâtonnements, le sens de l’adaptation.
    • La méthode préventive, en opposition à la méthode répressive. – Les avantages. – Le Saint en récréation.
    • Les punitions dans ce système : de quels principes s’inspirent-elles? Que sont-elles ? – Exemples de corrections salésiennes.
    • Part considérable que le système fait à la liberté de l’enfant ; raisons de cette tactique.
    • A la chapelle, en récréation, en classe, partout la discipline se réduit à l’essentiel, pour obtenir la vie de famille.
    • Tableau émouvant.
    • L’atmosphère de la maison d’éducation, la joie. – Ses raisons d’être. – Don Bosco, l’âme des jeux. – Le Saint veut la joie partout, même à la chapelle.
    • La confiance, clef du système. – Sans elle, rien de solide en éducation.
    • La confiance est à la base de l’autorité salésienne. – De quelle façon l’obtenir?
    • Terme de cette éducation ; la vie de la grâce entretenue par une piété vraie, instruite, libre, désaltérée aux sacrements de Pénitence et d’Eucharistie, et à l’autel de la Sainte Vierge. – Importance que le Saint attachait au sacrement de Pénitence. – La communion précoce et fréquente. – Notre-Dame Auxiliatrice.
    • Les fruits de l’arbre : des murs aimés et des maîtres revus toujours avec plaisir; des remords semés ; à côté d’enfants qui tournèrent mal, que d’élèves de Don Bosco égalèrent la pureté des plus grands saints ! – Les privilégiés de la Sainte Vierge.
      • Dans la proportion de 90%.
      • L’océan déchaîné (Songe).
      • Songe de la roue.
      • Boutades de Crispi et de Cavour.
    • L’évangile appliqué à l’éducation.

CHAPlTRE XV

  • LE LANGEUR DE LA PREMIÈRE COLONIE DE VACANCES
    • Une colonie de vacances sans le savoir.
    • Motifs qui poussèrent le saint à la taire surgir
    • Physionomie très curieuse de cette première en date des Colonies catholiques. Qui tout en se déroulant au début de l’automne, arrivait bien à son heure.
    • Une neuvaine préparatoire à la Fête du Rosaire, pas banale du tout.
    • Vingt jours de sainte bohème sur les routes du Piémont et de Ligurie, en compagnie du plus documenté des guides.
    • De l’action catholique avant l ’heure, dans les villages de l’Italie du Nord, par la prière et le divertissement.
    • Toujours sous l’œil du Père, doublé du regard de Dieu.
    • Le pèlerinage de l’amitié.
    • Bienfaits inappréciables de la plus originale des Colonies.

CHAPITRE XVI

  • AU TRIBUNAL DE LA PÉNITENCE
    • Pendant quarante-six ans le Saint fut toujours à la disposition de ses enfants au confessionnal.
      • Un souvenir de Don Francesia sur Don Bosco confesseur.
    • Son zèle débordait les murs de la maison : il confessait partout.
      • Don Bosco s ’endort sur l ’épaule de son pénitent.
    • La vue de l ’abandon moral où se trouvait’ la jeunesse et le désir de l ’arracher à ses passions mauvaises alimentaient cette flamme.
    • Les multiples déplacements de son confessionnal.
    • Attitude du Saint dans l’exercice de ce ministère.
    • Façon dont le Saint traitait les âmes au tribunal du pardon ; entière liberté, patience inaltérable, conseils courts mais appropriés, affection de père.
    • Sa conduite à l’égard des récidivistes, des occasionnaires, des scandaleux, des muets volontaires.
    • Le Saint puisait sa science du confessionnal d ’abord dans l’enseignement du Bienheureux Cafasso, puis dans son propre enseignement, quand d’élève il devint maître, et enfin dans sa longue expérience de plus de quarante ans.

CHAPITRE XVII

  • LES ÉPREUVES
    • Une compagne bien fidèle, prédite par sa mère : la souffrance. — Le lot particulier de douleurs du Saint.
    • Abandon de quelques-uns de ses Fils certainement appelés par le Ciel à l’aider. Dans cette épreuve, le Saint ne pense qu’à l ’âme de ces enfants prodigues.
    • Persécutions administratives : deux descentes de police à l’Oratoire ; visite minutieuse des locaux ; interrogation des élèves ; résultats nuls.
      • Fouilles, perquisitions.
      • Le coffre aux secrets.
    • Difficultés financières : le souci du pain quotidien.
    • Le Saint frappe à toutes les portes.
    • Confiance en Dieu toujours récompensée. – Exemples d’interventions providentielles de ses bienfaiteurs et amis.
      • Les 30.000 francs de l’entrepreneur.
      • Don Bosco et le fisc.
      • La noie du boulanger.
      • Nice charitable et Don Bosco.
      • « Arrange-toi !».

CHAPITRE XVIII

  • LES ÉPREUVES
    • Une croix bien lourde : menace de mise à l ’index d’un opuscule. — Intervention de Pie IX. – La défense de Don Bosco. – Une veillée trafique. – La sérénité retrouvée.
    • Les maladies du Saint : perte progressive de la vue, les varices, accès répétés de fièvre miliaire, hémoptysies fréquentes, la paralysie progressive.
    • Vexations de l ’autorité académique : la fermeture de l’école primaire du Valdocco. — Une menace de fermeture des cours secondaires qui n’est conjurée que par l ’intervention royale.
    • Deux songes, prophètes de malheur.
      • Les roses et les épines.
      • Pluie de fleurs et de roses.
    • Les démêlés de Don Bosco avec l’archevêque de Turin.
    • Portrait de Mgr Gastaldi. – Excuses de son attitude étrange. Les insinuations de l’entourage.
    • Principaux incidents de la lutte : exigences de l’archevêque concernant les candidats salésiens aux ordres, refus de lettres dimissoriales, promesse exigée de Don Bosco au sujet de l’admission dans sa Société d’anciens séminaristes de Turin, suppression des retraites pour les membres de l’enseignement, l’OEuvre des vocations tardives vue de très mauvais oeil , suppression des messes de minuit , refus de pontifier à Notre-Dame-Auxiliatrice, plaintes incessantes de l’archevêque à Rome, les libelles diffamatoires.
    • L’affaire Bonetti.
    • Trois tentatives inutiles de réconciliation. – La défense de Don Bosco à Rome. – Léon XIII entre personnellement en scène. – Tentative suprême. – La fin de l’épreuve avec la mort de l’archevêque.

CHAPITRE XIX

  • L’APÔTRE
    • La dernière tâche (Les Missions).
    • Un grand cœur inquiet : la foi, trop lente à atteindre les races infidèles. — Sollicitude très ancienne dans l’âme du Saint.
    • Un songe prophétique au chevet d’un de ses Fils moribond, complété par une seconde vision, tout aussi claire.
    • Hésitations du Saint
    • La voix du Ciel : la Patagonie sera le premier terrain d’apostolat de ses Fils.
    • Suprêmes recommandations aux premiers missionnaires salésiens. Développement merveilleux des Missions salésiennes en un demi-siècle.
    • Ces résultats complétés en songe
      • En songe, Louis Colle fait voir les Missions salésiennes à Don Bosco.
      • En songe, Notre-Dame Auxiliatrice fait voir à Don Bosco les principaux points de conquête de ses missionnaires.
    • Les prémices de l’apostolat salésien. — Une scène inoubliable.

CHAPITRE XX

  • UNE JOURNÉE DU SAINT
    • Lever de Don Bosco — Dieu, premier servi. – Au travail ! – La messe de communauté. – Confession des élèves. — Don Bosco à l ’autel.
    • Premier contact avec les enfants : une scène de cour salésienne.
    • Les audiences: leur durée les clients.patience et bonté du Saint.
    • Le repas de famille : une couronne de fils entourant le père.
    • L’heure de Dieu! 
    • La correspondance à expédier : solitude recherchée ; quelques lettres du Saint.
    • Retour au logis ; l’audience des Fils.
    • Le repas du soir ; en famille ; encore les enfants!
    • Prières du soir.
    • Un « mot du soir » de Don Bosco à ses enfants.
    • L’ultime prière à la Vierge Auxiliatrice. — Le repos incertain.

CHAPITRE XXI

  • L’HOMME ET LE SAINT
      • Aimable simplicité de Don Bosco qui se laisse aussi bien photographier que peindre.
  • L’HOMME. – Son physique
      • Son moral. Par bien des côtés, il semble échapper à sa race : mémoire prodigieuse, imagination portée au grand, âme de précurseur, volonté hardie, travail acharné. – Une formule qui lui est chère : À armes égales avec l’adversaire.
      • Par d’autres côtés, il est bien de son pays : Intelligence qui se joue dans le réel. – Rectitude du jugement. – Prudence mille fois prouvée. – Esprit aussi adroit que fin. – Le sourire permanent.- Un doux entêté. – Égalité d’humeur. – Bonté débordante de cœur, que ses Fils lui rendaient en gratitude.
  • LE SAINT. – La vie intérieure de Don Bosco explique tout, son âme et ses œuvres. – Ligne d’ascension difficile à saisir, d’autant plus que, au dehors, rien n’apparaît de la vie de son âme.
    • La fusion intime du Saint avec Dieu dans la charité ramène tout à l’unité dans ce cœur : sa mortification, sa pureté d’enfant, son humilité si convaincue, sa confiance éperdue en Dieu, so zèle son esprit de prières qui revêtait toutes les formes.
    • La vision des choses célestes en Don Bosco : ses songes . – Il n’a rien entrepris, ni fait qui ne lui fut indiqué en rêve.
    • Un guide descendu de l’au-delà : le petit Louis Colle.
    • La contrepartie , jalousie de l’enfer. – Deux années d’assauts diaboliques. – Les motifs de ce déchaînement de rage. – Un secret bien gardé.
    • Place de Saint Jean Bosco dans le cortège de la Sainteté.

CHAPITRE XXII

  • LES DERNIÈRES ANNÉES
    • Les quatre grandes étapes de l’œuvre salésienne. – Le développement mondial de cette œuvre. – L’œuvre de Notre-Dame-Auxiliatrice pour les vocations tardives.
    • Le voyage à Paris : montée triomphale par Marseille, Avignon, Lyon. Moulins.
    • Deux miracles entre cent.
    • Description du vieillard par la presse.
      • Journée de Don Bosco à Paris.
      • Les audiences.
      • Entrevue avec Victor Hugo.
      • Les sermons dans les églises.
      • Visites aux communautés.
    • Une scène émouvante rue de Sèvres, au sortir de la librairie Josse.
    • Un tour dans le Nord : Lille, Amiens.
    • Le voyage à Frohsdorf, au chevet du comte de Chambord.
    • La nomination de Don Rua comme vicaire général, avec droit de future succession.
    • Le premier évêque salésien : Mgr Cagliero. – Sa consécration. – Une scène touchante.
    • Le voyage à Barcelone : l’enthousiasme de la ville.
    • Encore des miracles.
      • Guérison d’une paralysie à Barcelone (1886).
      • Prédiction de vocations à Barcelone (1886).
    • Le mont Tibi dabo offert au Saint pour y dresser un temple an Sacré-Coeur.
    • Retour par Montpellier, Tarascon, Valence, Grenoble.
    • Un Ave Maria qui a produit bien des merveilles.

CHAPITRE XXIII

  • LES DERNIERS JOURS
    • La dernière messe à Rome, el l’évocation, après plus de soixante ans, du premier songe de son enfance.
    • Premiers symptômes de la fin. – Le verdict de la science.
    • Etat de la Congrégation salésienne en cette fin d’année 1887.
    • La dernière messe à Turin, le 3 décembre 1887.
    • Trois joies profondes : départ de missionnaires. Arrivée de Mgr Cagliero, visite de Mgr Doutreloux.
    • Dernières sorties. – Rencontre avec le cardinal Alimonda.
    • Les dernières audiences, les dernières confessions.
    • Une pensée obsédante : les Missions.
    • Emotion du monde entier à la nouvelle de la maladie de Don Bosco.
    • Don Bosco n’a aucun espoir, et ne veut pas prier pour sa guérison.
    • Le Viatique : l’Extrême-Onction.
    • Présence d’esprit et belle humeur du saint vieillard au milieu de ses souffrances.
    • Un répit dans le mal, obtenu par la prière de ses Fils.
    • L’intérêt que Léon XIII porte à la santé du Saint.
    • Suprêmes recommandations de Don Bosco à ses Fils.
    • La dernière communion, 29 janvier, fêle de saint François de Sales.
    • Une journée de délire. – Les derniers soupirs de ce grand cœur.
    • L’adieu muet des Fils.
    • L’agonie.
    • Bénédiction suprême donnée par le mourant à toutes ses familles religieuses.
    • La dernière bénédiction du Pape.
    • La mort di Don Bosco.
    • Le défilé de la ville devant les restes du grand apôtre.
    • Les dernières prières du soir des enfants aux pieds de leur père.
    • L’apothéose des funérailles.
    • L’ensevelissement à Valsalice.
    • Paroles prophétiques de Mgr Cagliéro.
  • ÉPILOGUE
  • CHRONOLOGIE DE LA VIE DU SAINT
  • INDEX

Reference time period: 1815 – 1936

A. Auffray, Un grand educateur Saint Jean Bosco (1815-1888), Ouvrage couronné par l’Académie Française, LIBRAIRIE CATHOLIQUE EMMANUEL VITTE, Lione/Parigi, 1947.

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